Route de la soie

(Au XVème siècle, les européens trouvent en Orient (Inde, Chine, Japon) des produits de très grande valeur pour eux : la soie et les épices. Mais la route terrestre est contrôlée par les Ottomans. Le commerce et le transport de ces marchandises est donc rendu très difficile et très coûteux. La meilleure solution serait d'atteindre directement l'Orient par une route maritime contournant l'Afrique.) Les axes : * Les mentalités avant les Grandes Découvertes, au niveau politique économique

provinces orientales, elle n’avait plus eu d’empereur à demeure depuis le milieu du IIIème siècle. Byzance était quant à elle bien placée : à la croisée de deux continents et de deux mers, à l'une des extrémités occidentales de la Route de la Soie, ouverte aussi sur la Route des Épices menant à l'Afrique et aux Indes, c’était une très bonne base pour garder la frontière danubienne absolument cruciale, et elle était raisonnablement proche des frontières orientales. Constantin éprouva sa valeur en tant

tout ce qu'offre le monde. Elle devient la place principale des échanges commerciaux. La puissance impériale est un des pilés du développement général de la métropole britannique. En colonisant l'Inde, l'Angleterre a mis la mains sur la « Route de la Soie » et sur les matériaux qu'elle concerne comme les pierres précieuses, le porcelaine, les étoffes de laine ou de lin. Ainsi, l'Inde pouvait fournir l'Angleterre en matières premières qui serait ensuite manufacturé pour être revendu. Ces échanges

d’accoster et de tromper Le voyageur qui le découvrirait en cet endroit posté, Et lui demanderait sa route ? J’imaginais alors le rire De ce crâne grimaçant, et voyais sa béquille désœuvrée Tracer mon épitaphe dans la poussière du chemin, III Si d’aventure, sur son conseil, je m’engageais Sur la sente sinistre qui, aux dires de chacun, Cache la Tour Sombre. Malgré tout, j’obéis Et suivis la route indiquée par son doigt : la gloire, Ni l’espoir rallumé par la vision de l’arrivée ne me poussaient,

* Arthur RIMBAUD   (1854-1891) Mémoire I L'eau claire ; comme le sel des larmes d'enfance, L'assaut au soleil des blancheurs des corps de femmes ; la soie, en foule et de lys pur, des oriflammes sous les murs dont quelque pucelle eut la défense ; l'ébat des anges ; - Non... le courant d'or en marche, meut ses bras, noirs, et lourds, et frais surtout, d'herbe. Elle sombre, ayant le Ciel bleu pour ciel-de-lit, appelle pour rideaux l'ombre de la colline et de l'arche. II

— Le petit frère — (il est aux Indes !) là, devant le couchant, sur le pré   d’œillets.   — Les   vieux   qu’on   a   enterrés   tout   droits   dans   le rempart aux giroflées. L’essaim des feuilles d’or entoure la maison du général. Ils sont dans le midi. — On suit la route rouge pour arriver à l’auberge vide. Le château est à vendre ; les persiennes sont détachées. — Le curé aura emporté   la  clef  de  l’église.  — Autour  du parc,   les   loges des gardes sont inhabitées. Les palissades sont si hautes qu’on ne voit

plus ou moins d’espace maritime nécessaire pour permettre la navigation. Cette fonte des glaces laisse donc place à l’apparition de deux nouvelles routes maritimes,( que nous pouvons voir sur la carte du doc 1 ) que sont la route « Nord-Est » qui longe le Canada et la route « Nord-ouest »qui elle longe la Norvège et la Russie . Sur ces deux routes maritimes se trouve le « détroit de Béring » permettant de relier l’océan Arctique à l’océan Pacifique. Néanmoins, malgré cette fonte des glaces, l’océan

l'ouest. La Turquie est considérée comme faisant partie parfois de l'Europe, parfois de l'Asie. Par sa localisation géographique, à cheval sur deux continents, au carrefour des axes Russie - Méditerranée et Balkans - Moyen-Orient, sur l'antique route de la soie, aujourd'hui sur le tracé d'oléoducs d'importance stratégique, la Turquie a toujours été un carrefour d'échanges économiques, culturels et religieux. Elle a fait le lien entre l'Orient et l'Occident, d'où sa position géostratégique de premier

semblable à la saucisse européenne, utilisant de la viande de chèvre et d'agneau. Au Moyen Âge, on faisait de la saucisse de qualité à laquelle on ajoutait des épices et des aromates que l'on rapportait d’Orient à grands frais par la fameuse route de la soie. On rapporte entre autres que dans l’empire byzantin la saucisse de sang aurait été pendant une époque interdite, à cause d'un problème d'empoisonnement alimentaire, fréquent à l'époque. Une tradition anglo-saxonne datant de la Seconde Guerre

fournis d'un point à l'autre — le sel contre le mil, la laine contre des objets artisanaux. Le commerce des esclaves s'effectua longtemps à travers le Sahara central. Des reliefs de désert façonnés par le vent et l'eau. Source Encarta La route de la Soie en Asie centrale fut parcourue par des caravanes qui ramenaient d'Extrême-Orient les étoffes et le thé. Les haltes nécessaires au repos et les lieux d'échanges sont à l'origine de villes édifiées dans des oasis : Tamanrasset, Samarkand, Tachkent