Route de la soie

intermédiaire : Comment la découverte de Christophe Colomb a-t-elle élargi l’ horizon géographique des Européens ? A) Un contexte favorable 1.Le projet de rejoindre l’ Asie par l’ Ouest Depuis la prise de Constantinople en 1453, la route de la soie (circuit commercial qui relie la Turquie actuelle à la chine ) et des épices est fermée aux occidentaux. Quant à la voie maritime qui contourne l’Afrique par le sud, elle est contrôlée par les Portugais. Bartolomé Diaz est en effet le premier

Les contacts entre les deux extrémités de l'Eurasie remontent à des millénaires. Ceux-ci s'intensifient et contribuent à créer dès cette époque de véritables routes commerciales: Ainsi la route de la soie et la recherches d'épices produites en Asie par l'Europe sont l'une des causes à l'origine du mouvement de globalisation de l'économie au Moyen Âge. On considère que Bruges fut le premier « cœur » du capitalisme et de l'économie de marché au XIVe siècle. Puis, la recherche de voies commerciales

et de nouveaux se sont éveillés ; les routes des échanges se dont déplacées. La plus grande partie des marchandises provenant d'Orient n'empruntent plus les cols des Alpes pour atteindre les villes de foire d'Allemagne ou de Champagne. La nouvelle route est maritime et relie Gènes et Venise à Londres et Bruges par le détroit de Gibraltar. De la les marchandises partent vers les villes hanséatiques (Brême, Hambourg, Riga, etc.). Les villes de foire continentales périclitent alors que les ports de l'Atlantique

tomber dans l’oubli les connaissances des anciens savants grecs qui avaient prouvé par leurs calculs que la terre était ronde. Les arabes, en revanche, ont conservé ce savoir et ont su établir des liens commerciaux avec l’Asie d’où ils acheminent la soie et les épices très recherchées par les riches européens. En ce XVème siècle, les voyages dans le vieux continent ont déjà été réalisés. Marco Polo a atteint la Chine. Mais les besoins économiques, les Turcs musulmans qui bloquent les accès vers l'Asie

elle avait un toit supportÈ par quatre montants de fer o ̆ s'attachaient des rideaux qu'on avait relevÈs pour voir le paysage. Celui de derriËre, seul, flottait au vent, comme un drapeau. La femme, ‡ cÙtÈ de son Èpoux, s'Èpanouissait dans une robe de soie cerise extraordinaire. Ensuite, sur deux chaises, se tenaient une vieille grand- mËre et une jeune fille. On apercevait encore la chevelure jaune d'un garÁon qui, faute de siËge, s'Ètait Ètendu tout au fond, et dont la tÍte seule apparaissait. AprËs

de « comptabilité nationale » afin de rationner les réserves de grains. Il y a des relations entre les 4 autres économies-mondes. Depuis 3 000 ans l'Europe achète des produits au monde chinois, qui vendent à l'Islam, notamment avec la Route de la soie. La soie, les épices, les perles, etc … font parties des ressources échangées. Ces marchandises précieuses vont logiquement aboutir sur un échange de monnaie. La monétarisation des échanges exigent des économies-mondes mures. Seul l'Islam accepte

indonésiens sont obligés de mobiliser leurs marines militaires pour assurer la sécurité des navires marchands contre la piraterie. B. L’émergence de nouvelles voies. La route maritime du Nord-ouest : Avec l’impact du réchauffement climatique sur l’océan glacial Arctique, la fonte de la banquise va permette l’ouverture de la route maritime du nord-ouest entre le Groenland et l’Alaska, et du nord-est qui longe le littoral russe. Cette nouvelle voie suscite la convoitise des grandes puissances riveraines

fantastiques de Thomas Browne ou commente-t-il le tableau La leçon d'anatomie de Rembrandt. Il croise le destin de Joseph Conrad en route pour le Congo ou celui du poète Edward FitzGerard et fait allusion au Chateaubriand des Mémoires d'Outre Tombe. Il est aussi amené au cours de ses méditations érudites à parler de la Chine ou de la manière dont la culture du vers à soie s'est répandue jusqu'en Occident, Italie, France, Angleterre, Allemagne, et nous fait traverser ainsi l'épaisseur d'un passé à présent

somme des importations. Sont inclus dans la notion de commerce international les concessions de licences et les investissements (IDE – Investissements Directs Etrangers).   Vieux comme le monde ou plutôt comme les civilisations (cf. la « route de la soie »), l’origine du commerce international tient au fait qu’aucun pays ne dispose de toutes les ressources (matières premières) ni de tous les facteurs de production (terre, capital, travail, technologie) sur son propre territoire. Dès l’origine

La Turquie est un pays d'Asie, avec 3 % de son territoire en Europe (la Thrace orientale). Par sa localisation géographique, à cheval sur deux continents, au carrefour des axes Russie - Méditerranée et Balkans - Moyen-Orient, sur l'antique route de la soie, aujourd'hui sur le tracé d'oléoducs d'importance stratégique, la Turquie a toujours été un carrefour d'échanges économiques, culturels et religieux. Elle a fait le lien entre l'Orient et l'Occident, d'où sa position géostratégique de premier