Rue Cambon

Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là Et tu marchais souriante É panouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi

réflexion pessimiste sur l’amour et la vie.   Lecture   Rappelle-toi BarbaraIl pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-làEt tu marchais sourianteÉpanouie ravie ruisselanteSous la pluieRappelle-toi BarbaraIl pleuvait sans cesse sur BrestEt je t'ai croisée rue de SiamTu souriaisEt moi je souriais de mêmeRappelle-toi BarbaraToi que je ne connaissais pasToi qui ne me connaissais pasRappelle-toiRappelle-toi quand même ce jour-làN'oublie pasUn homme sous un porche s'abritaitEt il a crié ton nomBarbaraEt tu as

: « la rue des Pyramides ». Cette rue est plus ou moins connue et elle permet de situer l'action qui va se dérouler ; le lecteur apprends donc qu'elle se déroulera dans une rue de Paris, relativement proche de l'Opéra. De même la seconde ligne de cet extrait cite : « aux arbres des Tuileries ». Cette indication permet au lecteur de savoir d'où proviennent les feuilles dont il sera fait mention dans la suite du texte. On trouve également « Les arcades de la rue de Rivoli » qui est une rue de Paris

des quartiers Par un contraste aussi important qu’oppose Paris à la province, l’opposition des quartiers prend une forme considérable dans Le Père Goriot. Entre d’abord les beaux quartiers et la pension Vauquer la différence est saisissante. La rue Neuve-Sainte-Geneviève où se trouve la pension bourgeoise est la première et seule réelle description d’un quartier dans le livre. Balzac nous livre d’ailleurs une bien triste vision de ce quartier, c’est un lieu désert, morne et misérable. Mais Les

profession de comédien, considérée comme immorale par l’Église. Dans le registre qu'il tient scrupuleusement, La Grange écrit ce jour : « Ce mesme jour après la Comédie sur les 10 heures du soir Monsieur de Molière mourust dans sa maison Rue de Richelieu, ayant joué le rosle dudit malade imaginaire fort incommodé d'un rhume de fluction sur la poitrine qui luy causoit une grande toux de sorte que dans les grans efforts qu'il fist pour cracher il se rompit une veyne dans le corps et ne vescut

résumé. Depuis combien de temps habitez-vous le quartier ? Je suis arriver à Paris en 2001 (pour vos études ?) oui pour mes études , je suis journaliste […] . Au début je me suis installés dans une grande colloc à gare du nord . Nous avons déménagés rue de Meaux avec mon ami en 2006 , il y a donc 5 ans que j’habite ce quartier . Aviez-vous l’habitude de vous y rendre avant d’y habiter ? Oui j’y venais régulièrement pour allez au cinémas mk2 mais également pour profiter des nombreux bar et restaurant

 78 rue Bonaparte, 75006 Paris SOMMAIRE ATTESTATION DE STAGE : PAGE 2. PARIS, VILLE CAPITALE : PAGE 3. LA MAIRIE DU 6e ARRONDISSEMENT DE PARIS : PAGE 3. ACTIVITES EFFECTUEES DURANT LE STAGE OUVRIER : PAGE 5. ENTRETIEN AVEC

Tout d’abord, nous pouvons constater que ses souvenirs sont très précis, au niveau des lieux et des couleurs, citons : « Cours Bréhant » (l.1, 6) ; « rue des Feuillantines » (l.11) et « ma chambre »(l.17) pour ce qui concerne les lieux, et pour les couleurs qui sont retranscrives de manière étonnante notamment dans la précision de ces dernières comme nous le voyons :  « bleu gris très pâle » (l.12) et 

banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés, perdus au | | | |milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait. | | | |Mais, comme elle débouchait enfin sur la place Gaillon, la jeune fille s’arrêta net de surprise. | |

est un élément très important, plus le poème avance et plus le cadre spatial ce ressert ; «Il pleuvait sans cesse sur Brest » là on se trouve au-dessus de la ville, on a une vue globale ensuite le cadre spatial se ressert encore ; « je t’ai croisé rue de Siam » et pour finir « Un homme sous un porche s’abritait ». On a un effet de resserrement autour du poète, de Barbara et de l’homme. Une sorte de cocon se crée où le bonheur est omniprésent et que rien ne pourra venir perturber cette atmosphère