Rue de La Baume

J’étais au sommet de la colline de Mauror. À ma droite la nouvelle Casba de l’Alhambra, à ma gauche, au loin, la vieille Casba avec, au-delà des murailles, les minarets blancs de mon faubourg d’Albaicin. Le grondement que j’avais entendu dans la rue était maintenant assourdissant. Cherchant des yeux la source du bruit, je regardai vers le bas et ne pus retenir un cri d’horreur. « Dieu nous ait en pitié, c’est le déluge de Noé ! » marmonnait mon hôtesse derrière moi. » L’image qui s’offrait

Colifilms Diffusion. Directeur de la rédaction : Joël Magny Rédacteur en chef : Michel Cyprien Conception graphique : Thierry Célestine. Tél. : 01 46 82 96 29 Impression : I.M.E. 3 rue de l'Industrie – B.P. 17 25112 – Baume-les-Dames cedex Direction de la publication : Joël Magny Idoine production 8 rue du faubourg Poissonnière 75010 – Paris idoineproduction@orange.fr Achevé d’imprimer : décembre 2008 Harry, dix ans, est le fils aîné d'une famille qui vit à Buenos Aires. Son père

températures surfaciques moyennes intérieures et extérieures dans les maisons "A" et "C" …………………………………………………………………………………………… Figure VI-10:Tracé du gradient thermique au niveau de la paroi extérieure de la maison "C" ….. Figure VI-11 : Prospect de la rue bordée de maisons (maison "C" à droite)………………………… Figure VI-12 : Variation des températures moyennes intérieures et extérieures et celles du feuillage dans les maisons "A" et "C" …………………………………………………………………….. Figure VI-13: Evolution des températures

tantes maternel souhaitent tous que ces deux cœurs uni pour toujours, se séparent à jamais. __________ Hâyat Ben Hassine. Servante d'Allah. Dévouée à mon Créateur, et à ma famille. Je suis obligée de travailler pour ne pas qu'on se retrouve à la rue. On vit dans un quartier comme les autres dans la France dîtes par tous d'en bas, là où il n'y a pas de futur semble-t-il. Après les médias, ce sont eux-même habitant de cet endroit qui le répète maintes et maintes fois pour se l'encré dans leur poitrine

allée, Les halos de tes cris, nous étions à guetter Mais seul tu es parti, la nuit était tombée. Bien sûr on t’a veillé en récitant des psaumes, Bien sûr tu écoutais, même dans ton dernier somme, Bien sûr dans la douleur, ces chants sont comme un baume, Mais qui sait deviner toutes les pertes de l’homme. Là-haut ils t’attendaient et je les vois danser, De t’avoir laissé, toi l’époux seul resté, De t’avoir chéri, la fille trop tôt montée, De t’avoir précédé, tes quatre frères cadets. Ici bas tous

cette mémoire lui disait, mais au moment où cet esprit emprunté avait réalisé que le torrent jaunâtre n’était pas de la boue mouvante mais un prédateur cauchemardesque, il était trop tard pour courir. Mais elle se mit à courir. Elle était dans une rue, accélérant sa course pour survivre, assourdie par les cris. Elle trébucha sur son voisin tandis qu’un paquet de Parasites se jetait sur lui. Elle sentit le jet de sang humide ; elle se figea un instant trop long, regardant avec horreur ce corps se

dire qu'avoir le vertige c'est être ivre de sa propre faiblesse. On a conscience de sa faiblesse et on ne veut pas lui résister, mais s'y abandonner. On se soûle de sa propre faiblesse, on veut être plus faible encore, on veut s'écrouler en pleine rue aux yeux de tous, on veut être à terre, encore plus bas que terre.  Milan Kundera  (L'insoutenable légèreté de l'être, trad. François Kérel, p.118, Folio n°2077)   • Il avait bonne conscience. Elle n'avait pas beaucoup servi. 

ministre des travaux publics et des transports conformément à la législation en vigueur en République du Bénin. Immatriculée au registre de commerce sous le numéro RC 11/B 7204. Elle dispose d’un siège établi à Cotonou (au Bénin) sis au Carré 321 Rue du Capitaine Adjovi. Elle est jusque là la première compagnie agrée de droit béninois. Elle se veut une compagnie au service de tous les clients de l’Afrique et du reste du monde. Elle dispose de diverses représentations ou escales à travers le continent

Anne-Marie s'aperçut qu'elle avait été belle. A peu près vers le même temps que Charles Schweitzer rencontrait Louise Guillemin, un médecin de campagne épousa la fille d'un riche propriétaire périgourdin et s'installa avec elle dans la triste grand-rue de Thiviers, en face du pharmacien. Au lendemain du mariage, on découvrit que le beau-père n'avait pas le sou. Outré, le docteur Sartre resta quarante ans sans adresser la parole à sa femme; à table, il s'exprimait par signes, elle finit par l'appeler

Anne-Marie s'aperçut qu'elle avait été belle. A peu près vers le même temps que Charles Schweitzer rencontrait Louise Guillemin, un médecin de campagne épousa la fille d'un riche propriétaire périgourdin et s'installa avec elle dans la triste grand-rue de Thiviers, en face du pharmacien. Au lendemain du mariage, on découvrit que le beau-père n'avait pas le sou. Outré, le docteur Sartre resta quarante ans sans adresser la parole à sa femme; à table, il s'exprimait par signes, elle finit par l'appeler