Rue de la Harpe

l'arc, à lancer des disques de pierre, à franchir d'un bond les plus larges fossés ; il lui apprit à détester tout mensonge et toute félonie, à secourir les faibles, à tenir la foi donnée ; il lui apprit diverses manières de chant, le jeu de la harpe et l'art du veneur ; et quand l'enfant chevauchait parmi les jeunes écuyers, on eût dit que son cheval, ses armes et lui ne formaient qu'un seul corps et n'eussent jamais été séparés. À le voir si noble et si fier, large des épaules, grêle des

des flots, La bouche ouverte et pleine encore de sanglots, Dardent leur yeux hagards à travers l’eau dormante. Ami, ton cœur profond est tel que cette mer Qui sur le sable fin déroule ses volutes : Il a pleuré, rugi comme l’abîme amer, Il s’est rué cent fois contre ces rocs de fer, Tout un long jour d’ivresse et d’effroyables luttes. Maintenant il reflue, il s’apaise, il s’abat. Sans peur et sans désir que l’ouragan renaisse, Sous l’immortel soleil c’est à peine s’il bat ; Mais génie, espérance

regime . Il fait successivement ses etudes aux college de Dol (de 1777 a 1782) , Rennes (1782) et Dinan (1783), obtirmt un brevet de sous lieutenant au regiment de Navarre a 17 ans . Il vient a Paris en 1788 , ou il se lie avec Jean Francois de la harpe , Jean Pierre Luis de Fontanes d’autre ecrivains de l’epoque , et fair ses debuts litteraires en ecrivant des vers pour l’Almanach des Muses . Il a ecrit beaucoup d’oeuvre comme : Rene (1802) Genie du christianisme (1802) Les Martyrs (1809) Memoires

Signifie en allemand « le prix de l’homme ». C’est une sanction pécuniaire qui rachète le crime d’un homme. Par exemple : Si l’on coupe le doigt d’un archer ou de quelqu’un qui joue de la harpe , on doit payer 100 sous. Si l’on crève l’œil d’un borgne on doit 150 sous. Le doigt d’un archer ou d’un joueur de harpe vaut plus cher que la vie d’une femme à cette époque ! Les peines publiques  Elles profitent toujours aux rois. Ce sont des peines corporelles, par exemple : La peine de mort, les mutilations

demi-dieu plutôt qu’homme, était présenté comme le maître ou même l’inventeur de tous les arts barbares, tueur de cerfs et de sangliers, savant dépeceur de gibier, lutteur et sauteur incomparable, navigateur audacieux, habile entre tous à faire vibrer la harpe et la rote, sachant imiter jusqu’à l’illusion le chant de tous les oiseaux, et avec cela, naturellement, invincible dans les combats, dompteur de monstres, protecteur de ses fidèles, impitoyable à ses ennemis, vivant d’une vie presque surhumaine, objet

musiciens, rue de Rome. Ce premier magasin, sans doute cultivant l’esprit bohème caractéristique des années d’avant guerre dans un Paris libertin, et ce particulièrement dans le milieu des théâtreux et autres musiciens a donc du choisir ce nom du nouveau monde. Nous devons admettre à notre grand dam, que nous n’avons pu retrouver le fondateur de cette maison pour nous expliquer ce nom si exotique. Ce sera la dernière erreur de ce calibre. Au fil des années, la petite boutique de la rue de Rome

il obtient un brevet de sous-lieutenant au régiment de Navarre à 17 ans, sous les ordres de son frère Jean-Baptiste (lequel le présentera à la Cour), puis est fait capitaine à 19 ans. Il vient à Paris en 1788, où il se lie avec Jean-François de La Harpe, Jean-Pierre Louis de Fontanes et autres écrivains de l'époque, et fait ses débuts littéraires en écrivant des vers pour l'Almanach des Muses. Il est alors nourri de Corneille et marqué par Rousseau. Il se marie en 1792 avec Céleste de La Vigne-Buisson

Pour joindre le service jeune public Grand Théâtre de Reims 13 rue Chanzy 51100 Reims Service Jeune Public : Caroline Mora 03 26 50 31 06 - caroline-mora@grandtheatredereims.com Laure Bergougnan, professeur relais, est présente tous les mercredis après midi 03 26 61 91 94 - laure.bergougnan@ac-reims.fr Retrouver tous les livrets pédagogiques du Grand Théâtre sur le site du CRDP de Champagne-Ardenne : http://crdp.ac-reims.fr/artsculture/dossiers_peda/dossiers_peda.htm Livret pédagogique

Caron de BEAUMARCHAIS (France) (1732-1799) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Le barbier de Séville et ‘’Le mariage de Figaro’’). Bonne lecture ! Il est né à Paris, rue Saint-Denis où son père tenait boutique d'horlogerie. À l’âge de treize ans, il quitta l'école et devint apprenti horloger. En 1753, il perfectionna le mécanisme des montres en inventant un nouvel échappement. Il devint horloger du roi. En 1755, il

gardé toute sa force créatrice. Sa voix était silencieuse et forte. Son silence était rassurant et inspirant. Il était homme de dialogue et il savait inspirer le dialogue. Maurice CARÊME - 5 Biographie Maurice Carême est né le 12 mai 1899, rue des Fontaines, à Wavre, dans une famille modeste. Son père, Joseph, est peintre en bâtiment ; sa mère, Henriette Art, tient une petite boutique où les gens humbles du quartier viennent faire leurs menus achats. Une sœur aînée, Joséphine, est morte