Rue de Nankin

est devenu une copropriété. (…) Les copropriétés, même issues des anciennes courées, tendent surtout à se fermer à la ville. Quand les anciennes courées offraient des axes traversants aux piétons extérieurs pour aller, via les ruelles internes, d’une rue à une autre, leurs porches d’accès sont désormais fermés par des grilles surveillés par des gardiens qui filtrent les passages, voire accessibles par des digicodes. Les nouveaux blocs urbains étant habités par des copropriétaires suivant leur capacité

de Sheffield ; elle me répondit que non, mais que probablement c’était quelque fabricant de coutellerie. Est-il possible, au moment où le visage de ma mère paraît devant moi, aussi distinctement que celui d’une personne que je reconnaîtrais dans une rue pleine de monde, que ce visage n’existe plus ? Je sais qu’il a changé, je sais qu’il n’est plus ; mais en parlant de sa beauté innocente et enfantine, puis-je croire qu’elle a disparu et qu’elle n’est plus, tandis que je sens près de moi sa douce respiration

Fête nationale Fête nationale Fête nationale Fête de l’indépend. Fête de l’indépend. Fête nationale gie d S t r a t é g ro u p e s s grand olitique et p trielle indus aise franç Lundi 12 avril 2010 à 18 heures A la Maison de la Chimie, 28 rue Saint Dominique, 75007 Paris Entrée libre sous réserve de votre inscription à res-publica@wanadoo.fr ou au 01 45 50 39 50 www.fondation-res-publica.org AVRIL 2010 – LE MONDE diplomatique 4 C ETTE CRISE ACCOUCHERA - T- ELLE D ’ UN RETOUR

se rien rappeler de lui. C’était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l’étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire. Il avait pour correspondant un quincaillier en gros de la rue Ganterie, qui le faisait sortir une fois par mois, le dimanche, après que sa boutique était fermée, l’envoyait se promener sur le port à regarder les bateaux, puis le ramenait au collège dès sept heures, avant le souper. Le soir de chaque jeudi, il

se rien rappeler de lui. C'était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l'étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire. Il avait pour correspondant un quincaillier en gros de la rue Ganterie, qui le faisait sortir une fois par mois, le dimanche, après que sa boutique était fermée, l'envoyait se promener sur le port à regarder les bateaux, puis le ramenait au collège dès sept heures, avant le souper. Le soir de chaque jeudi, il

rien rappeler de lui. C’était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l’étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire. Il avait pour correspondant un quincaillier en gros de la rue Ganterie, qui – 12 – le faisait sortir une fois par mois, le dimanche, après que sa boutique était fermée, l’envoyait se promener sur le port à regarder les bateaux, puis le ramenait au collège dès sept heures, avant le souper. Le soir de chaque

courtisane est essentiellement monarchique. Ah! quelle perte! elle devait embrasser tout son siècle, elle aime avec un petit jeune homme! Lucien en fera quelque chien de chasse! - Aucune des puissances femelles que tu nommes n'a barboté dans la rue, dit Finot, et ce joli rat a roulé dans la fange. - Comme la graine d'un lis dans son terreau, reprit Vernou, elle s'y est embellie, elle y a fleuri. De là vient sa supériorité. Ne faut-il pas avoir tout connu pour créer le rire et la joie qui tiennent

rien rappeler de lui. C’était un garçon de tempérament modéré, qui jouait aux récréations, travaillait à l’étude, écoutant en classe, dormant bien au dortoir, mangeant bien au réfectoire. Il avait pour correspondant un quincaillier en gros de la rue Ganterie, qui le faisait sortir une fois par mois, le dimanche, après que sa boutique était fermée, l’envoyait se promener sur le port à regarder les bateaux, puis le ramenait au collège dès sept heures, avant le souper. Le soir de chaque jeudi,

seul parfois. C’est lui, l’homme de terrain qui peut juger si une opération est réalisable et quand. Le reste du temps, il en réfère à Godard qui lui-même lui passe commande. Jean­Jacques Susini (au centre, cravate noire), en décembre 1960. PHOTO RUE DES ARCHIVES. AGIP DANS «LIBÉRATION» L’indépendance de l’Algérie en pages «Grand Angle» Depuis la signature des accords d’Evian, le 18 mars 1962, qui scellaient la fin de la colonisation française de l’Algérie, un demi­siècle a passé, le temps de

environnant, le modifiant et recevant en retour des flux variés. La ville reste d’abord liée à une région, c’est-à-dire à des espaces proches qui gravitent autour d’elle. Au cours des siècles, l’espace quotidien a toujours tenu compte des distances : la rue, le quartier, et plus loin la région où se situe l’agglomération. Lorsqu’il fallait se déplacer à pied ou à cheval, la taille de la ville était limitée. Aujourd’hui, les progrès des communications permettent de multiplier les surfaces urbaines et la