Rue de Richelieu

difficile. Sa quête le mène chez une modiste, puis chez une baronne et enfin chez un monsieur seul. À chaque fois la noce débarque sur ses talons, ahurie et maladroite, semant invariablement le trouble. La fin est comique au possible et se passe dans la rue devant chez Fadinard. Quelques répliques[modifier | modifier le wikicode] Ces citations ne correspondent pas aux exigences d’un article encyclopédique ; il semble qu’elles auraient davantage leur place sur Wikiquote. Si ces citations disposent

* Aululauria (la Marmite) l’avare * Amphitryon B – LE MOYEN-ÂGE Il n’y a plus de lieu permanent et les modèles antiques ont disparus. Subsistent cependant 2 formes de théâtre : * Le théâtre de foire : de grosses farces jouées dans la rue lors des foires, parfois inspirées des FABLIAUX du Moyen-âge. * Les Mystères : Inspirations Chrétiennes : passion du christ associées à des fêtes religieuses (chrétiennes). C – LA COMEDIA DELL’ARTE Il n’y a pas de textes écrits, juste un « canevas »

de le tuer de sa propre main. Mais la jeune fille refuse, déclare attendre réparation d'un combat régulier, ne lui cache ni son amour ni l'espoir qu'il puisse se défendre contre le roi et contre elle ; ils s'aiment mais suivront leur devoir. Dans la rue, se manifeste le contraste entre les sentiments de Rodrigue et ceux de don Diègue : trouvant enfin son fils, il lui dit sa joie et lui annonce que les Maures sont là, qui cherchent à surprendre Séville et vont débarquer pendant la nuit. Il lui suggère

placer des statues en l'honneur de huit généraux morts au champ d'honneur pendant les campagnes du Premier Empire. À la Restauration, on les remplaça par un ensemble de douze statues monumentales en marbre blanc de quatre grands ministres (Colbert, Richelieu, Sully, Suger), quatre militaires (Bayard, Condé, Du Guesclin, Turenne) et quatre marins (Duguay-Trouin, Duquesne, Suffren, Tourville). Cet ensemble trop lourd pour le pont, fût enlevé et transféré à Versailles dans la Galerie Historique. Petite

débats. Le bonheur se cherche désormais au sein d’autres civilisations, d’autres mondes, parfois utopiques, fictifs et exemplaires. II – Repères littéraires A – De l’écrivain au philosophe 1 – Le mécénat royal * Armand Jean du Plessis de Richelieu crée l’Académie française en 1635 dans le but de « fixer » la langue française, mais aussi afin de mieux contrôler les productions littéraires et artistiques. Les auteurs, protégés par des mécènes privés, se réunissent dans les salons aristocratiques

représentation d’un drame. Le théâtre est un genre littéraire particulier né en Grèce. Les circonstances derrières le sommet de victoire du théâtre se résume aux points suivants : La considération du Roi : dés le début du siècle, Louis XII et Richelieu donnent une forte impulsion à l’expression théâtral ; le premier ministre est amoureux du théâtre et encourage fortement le mécénat, aussi le roi publie en 1630 une importance déclaration soulignant l’honorabilité de la profession de comédie, le

mauvais œil: indirectement, l'auteur apporte son soutien à la campagne menée par Richelieu contre cette pratique désastreuse qui décimait la noblesse. Il est temps aussi de nous demander où se passe l'action, quel lieu permet à chacun de dire ainsi tous ses secrets. Eh bien , nous dira Corneille, c'est "dans Séville", mais suivant les nécessités, on se trouve chez Chimène, ou chez le roi, ou sur une place, ou dans une rue... Nous n'en sommes pas encore, vous le voyez, à la stricte unité de lieu, dans

perd. Ses amis le soutiennent et l’emmènent. Le public applaudit Cyrano. On vient le féliciter, une employée du théâtre lui offre à manger et à boire. Son ami Le Bret a vu toute la scène. Il est à la fois heureux et préoccupé, car le cardinal de Richelieu* était présent dans la salle et cela pourrait* attirer des ennuis à Cyrano. Le Bret lui demande pourquoi il a cette attitude avec Montfleury : « C’est par jalousie*. » 10 Cyrano de Bergerac 11 Cyrano de Bergerac 30/09/04 14:56

principaux salons sont ceux de Mme de Geoffrin, de Mme de Tencin, de Mme de Lambert, de Mme du Deffand et de Mme Lespinasse. Mme de Geoffrin (1699-1777) recevait le lundi les représentants du monde des arts dans son salon de la rue Saint Honoré. Elle recevait aussi le mercredi les hommes de lettres ou de sciences (Voltaire, Rousseau, Montesquieu, Marmontel, Marivaux, Diderot par exemple) et les puissants seigneurs et personnages en vue. Malgré ses origines roturières, à partir

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