Rue Des Boutiques Obscures

1 Le titre : Rue des Boutiques Obscures : # Adresse où Guy doit aller pour trouver de nouvelles pistes pour son investigation. # Paris dans les années trente quartier de petits magasins de vêtements, qui appartenaient à des juifs qui s’appelaient « les boutiques obscures des soldeurs des années trente ». Le terme boutiques obscures a des liens avec les juifs. Guy est juif, tout comme Modiano. ( ?) 1ere phrase du livre: « Je ne suis rien. Rien qu’une silhouette claire, ce soir-là, à la terrasse

Je vais vous présenter un extrait de « Rue des boutiques obscures » écrit par Patrick Modiano en 1978 qui a remporté le prix nobel de littérature en 2014. Patrick Modiano est un auteur contemporain du XXème siècle obsédé par la période de l’occupation, qu’il tente de reconstituer. Il erre entre le passé et le présent, entre la réalité et l’imagination. Il développe principalement dans ses œuvres les thèmes de la solitude, de l’absence et du souvenir. Ses personnages sont souvent louches, traqués

Pour information: je nais pas réussi a trouver toute les réponses aux questions. Je demanderais a quelqu'un de la classe si il/elle a trouvé la réponse ensuite je t'enverrais un message. MODIANO, RUE DES BOUTIQUES OBSCURES Faites une recherche sur Modiano et répondez à ces questions: 1.Patrick Modiano est né le 30 juillet 1945 à Boulogne-Billancourt. Il a vécu la seconde guerre mondiale car il est né en juillet 1945 et la guerre se finira 3 mois plus tard, en septembre 2.Son père est

roman travaille pour la Résistance en même temps que pour la Gestapo française. Les personnages principaux du roman sont inspirés des deux personnages vrais, dirigeants de la Gestapo. Le bureau 3 bis square Cimarosa dans le roman est inspiré du 93, rue Lauriston (qui apparaîtra dans d’autres romans) où les deux hommes avaient leur bureau, choisi pour la cour et le sous-sol, où les membres de la Gestapo torturaient des prisonniers, afin que les voisins ne pussent pas les entendre. Les boulevards

"Et je ne me souviens plus si, ce soir la je m'appelais Jimmy ou Pedro , Stern ou Mc evoy " Vous rédigerez la suite de ce monologue intérieur de Guy Roland en veillant à mettre en avant les difficultés psychologiques liés à l'amnésie et à proposer des souvenirs cohérents pour chacunes des 2 identités proposés. - souffrances liés à sa mémoire  -fabriquer des souvenirs cohérents       "  Et je ne me souviens plus si, ce soir la, je m'appelais  Jimmy ou Pedro, Stern ou Mc evoy. Lequel avais-je

 La quête dans Perceval le Gallois ou le Conte du Graal, Rue des boutiques obscures et Dora Bruder : une comparaison * Naam : P.J. van der Bent studentnummer : 0376264 datum: 22 maart 2006 * Sous la direction de Prof. dr. M.B. van Buuren. * Mémoire de fin d’études de langue et de culture françaises. * Université d’Utrecht, Faculté des lettres. Table des matières Pages

EXPLICATION INCIPIT DETHÉRÈSE RAQUIN Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine Ce passage a trente pas de long et deux de large ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse Par les beaux jours d'été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté

Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre tombe des vitres sales

Incipit Thérèse Raquin Effets de réel : noms de lieu (" rue Guénégaud, passage du Pont Neuf, rue Mazarine, rue de Seine) Précisions chiffrées: le lieu est mesuré (adjectifs numéraux) (" Ce passage a trente pas de long et deux de large ") Précisions des détails : ( adjectifs de couleurs, de matières et de formes) ( adverbes) Un lieu sans esthétique : : Rien n'est Beau : décor sordide, misérable, crasseux, étroit, humide (Zola insiste beaucoup sur cet aspect : " suant toujours une humidité âcre

------------------------------------------------- Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu'on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité acre; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. ------------------------------------------------- Par les beaux