Rue Des Boutiques Obscures

réalisé, Thérèse et Laurent se suicideront en avalant du poison sous ses yeux. 4. LES LIEUX : Le passage du Pont-neuf (sorte de corridor étroit et sombre) au bout de la rue Guénégaud, qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine : 30 pas de long et 2 de large, dalles jaunies, gluantes et usées. A gauche, des boutiques obscures et à droite, une muraille sur laquelle les commerçants (bouquinistes, cartonniers, marchands de jouets pour enfants) ont placé des armoires. Marchande de bijoux faux. Pas

romancier emploie le présent de l’indicatif de description : « Une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de

transformation par l'apparition des buildings immenses, l'industrie se développe, le nombre de voiture explose... II/ Description de l'œuvre: Un seul regard balaie la scène dans son entier. Le décor est un bar, avec à l’arrière-plan, de l’autre côté de la rue, des magasins dont les vitrines sont plongés dans l’obscurité. L’œil accède à l’intérieur comme à l’extérieur de l’établissement car la structure est faite de panneaux de verre parfaitement transparents. Un couple est accoudé devant un comptoir. Leur

CLASSE : Jean-Joachim Goriot était, avant la Révolution, un simple ouvrier vermicellier, habile, économe, et assez entreprenant pour avoir acheté le fonds de son maître, que le hasard rendit victime du premier soulèvement de 1789. Il s'était établi rue de la jussienne, près de la Halle-aux-Blés, et avait eu le gros bon sens d'accepter la présidence de sa section, afin de faire protéger son commerce par les personnages les plus influents de cette dangereuse époque. Cette sagesse avait été l'origine

« trente pas de long et deux de large » l.4-5, mais aussi des formes : « des formes bizarres » l.24, ainsi que de la lumière : « reflets » l.21.Le lieu est réaliste car Zola utilise aussi des lieux réels comme « la rue Guénégaud » l.1 ; « le passage du Pont-Neuf » l.2 ; « de la rue Mazarine à la rue de Seine » l.3-4. Puis pour la description du passage du Pont-Neuf Zola utilise le présent de l'indicatif dont sa valeur est la vérité générale. Zola l'utilise pour augmenter l'immersion dans le lieu qu'il nous

Thérèse Raquin Chapitre 1 Au bout de la rue Guénégaud, lorsqu’on vient des quais, on trouve le passage du Pont-Neuf, une sorte de corridor étroit et sombre qui va de la rue Mazarine à la rue de Seine. Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées, descellées, suant toujours une humidité âcre ; le vitrage qui le couvre, coupé à angle droit, est noir de crasse. Par les beaux jours d’été, quand un lourd soleil brûle les rues, une clarté blanchâtre

et du progrès de la médecine. Description d'un lieu en détail : Ce lieu est inquiétant, presque un personnage. Le début de ce roman commence un premier paragraphe avec des complément circonstanciels de lieux "rue Guenegaud" "le passage du Pont-Neuf", "rue Mazarine à la rue de Seine" pour indiquer ou est le passage du Pont-Neuf. Et ensuite par une description du passage par une énumération "Ce passage a trente pas de long et deux de large, au plus ; il est pavé de dalles jaunâtres, usées

L'un miaule en grondant comme un tigre en furie ; L'autre roule sa voix comme un enfant qui crie. Ce n'est pas tout encor : les souris et les rats Semblent, pour m'éveiller, s'entendre avec les chats, Plus importuns pour moi, durant la nuit obscure, Que jamais, en plein jour, ne fut l'abbé de Pure. Tout conspire à la fois à troubler mon repos, Et je me plains ici du moindre de mes maux : Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront des cris aigus frappé le voisinage Qu'un

subjectivité du narrateur et la fonction symbolique de cet extrait. 1/ Une description très minutieuse et objective : 1) Les précisions spatiales : L’écrivain mêle à la fiction des éléments des lieux réels, comme le passage du Pont Neuf, la rue de la Seine, rue Mazarine (…) lieux qui existent vraiment. Les noms propres ancrent le récit dans la réalité et suggèrent une certaine connivente du lecteur avec le narrateur « Lorsqu’on vient des quais de la Seine ». Le narrateur utilise le présent de vérité

avoir été pris dans une rafle, Albert Modiano est emmené à Austerlitz pour un convoi. De façon surprenante, il sera rapidement libéré par un ami haut placé. L'identité de cet individu demeure floue. On suppose qu'il s'agit d'un membre de la bande de la rue Lauriston, c'est-à-dire la Gestapo française. Ayant pour habitude de rencontrer son fils dans des lieux hautement fréquentés, comme les halls de gares et d'hôtels, Albert Modiano est toujours préoccupé par de mystérieuses affaires. Patrick décide à