Rue

profession de comédien, considérée comme immorale par l’Église. Dans le registre qu'il tient scrupuleusement, La Grange écrit ce jour : « Ce mesme jour après la Comédie sur les 10 heures du soir Monsieur de Molière mourust dans sa maison Rue de Richelieu, ayant joué le rosle dudit malade imaginaire fort incommodé d'un rhume de fluction sur la poitrine qui luy causoit une grande toux de sorte que dans les grans efforts qu'il fist pour cracher il se rompit une veyne dans le corps et ne vescut

scène de présentation, il s’agit, en effet de dire le contraire de ce qu’on veut faire comprendre et de laisser parler les faits et les lieux eux-mêmes. La stratégie consiste alors, non pas à en rajouter, mais à en retrancher. L’immeuble de la rue de Choiseul suggère un véritable décor de théâtre. Cet édifice tout neuf semble avoir été transporté là, comme on installe les éphémères architectures des expositions universelles. L’effet est au demeurant accentué par la riche et clinquante

Histoire de l’Art Rodolphe Stadler est un galeriste, fils d’industriels suisses . Dans sa galerie, ouverte à Paris au 51 rue de Seine en 1955, il organise des expositions autour du Body Art ( le corps et sa représentation) et publie le premier manifeste de ce mouvement. Il expose entre autres : Vito Acconci et Dennis Oppenheim, Gina Pane…Rodolphe Stadler est mort le 26 mai 2009. Rodolphe Stadler est marchand d’art , son métier consiste donc à considérer l’ art comme marchandise ; pour lui

puisque dans un certain âge, on ne pourra plus les retenir, il faudrait qu’il s’occupe d’eux même. et il faut aussi aux gens qui ont un peu les moyens, des donner à l’UNICEF un peu de don. le minimal servira. et Dieu vous paiera. Les enfants de la rue Ils sont cireurs, laveurs de pare-brise, vendeurs de cigarettes au détail ou autre. On les croise le plus souvent au carrefour des grandes avenues ou à la sortie des parkings, munis d’un chiffon sale ou d’un paquet de chewing-gum leur permettant

est le premier grand magasin français*, les Bourcicault demandent à Louis-Charles BOILEAU en collaboration avec Armand MOISANT de construire un magasin plus adapté. Il est situé dans le 7ème arrondissement de Paris au 24 Rue de Sèvres (à l'angle de la Rue Babylone et de la Rue du Bac). A la mort de Aristide Bourcicault, il légua à sa femme une entreprise de 1788 employés dispersés dans plusieurs services ( Plan de Paris *Grand magasin: http://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_magasin Thème: Thème

l’édifice pour accueillir la nouvelle compagnie théâtrale qui depuis 1860[->7], soutenue par un mouvement populaire, réclame des subsides et un lieu d’implantation. La ville en confie la conception à l’architecte Jan Baes qui crée une nouvelle façade, rue de Laeken, là où se trouvait l’arrière du bâtiment et conserve de l’autre côté l’ancienne façade de l’arsenal. L’inauguration du théâtre aura lieu en 1887[->8]. L’architecte a choisi le style néorenaissance[->9] flamand. La façade et les côtés sont

catégories dans cette compétition : celle des skieurs hommes, celle des snowboardeurs hommes, celle des skieuses femmes et celle des snowboardeuses femmes. Quelques freeriders : - Candide Thovex (ski) - Thibaut Duchosal (ski) - Xavier De Le Rue (snow) Conclusion Les sports extrêmes sont une activité de plus en plus courante et de plus en plus connu du grand public. Des compétitions sont organisées et les mesures de sécurité sont de plus en plus nombreuses ce qui permet aux sportifs

souillé par une qualité de vie bien inférieure à la nôtre, à un moral au plus bas, qui ne rêvent que de pouvoir être traités comme des personnes normales. Car vous aurez beau juger cet homme, avant d’être un misérable, un maladif, un homme de la rue, c’est avant tout un homme. Un homme que l’on se permet de juger sans connaitre. Savez-vous s’il a une famille, si le pauvre bout de pain qu’il a ramassé n’est pas pour sa femme ou un ami dans le besoin pour qui il fait passer sa propre faim après la

Barbara, Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là Et tu marchais souriante Épanouie ravie ruisselante Sous la pluie Rappelle-toi Barbara Il pleuvait sans cesse sur Brest Et je t'ai croisée rue de Siam Tu souriais Et moi je souriais de même Rappelle-toi Barbara Toi que je ne connaissais pas Toi qui ne me connaissais pas Rappelle-toi Rappelle-toi quand même ce jour-là N'oublie pas Un homme sous un porche s'abritait Et il a crié ton nom Barbara Et tu as couru

    Vers le milieu du mois de juillet de l’année 1838, une de ces voitures nouvellement mises en circulation sur les places de Paris, et nommées des milords, cheminait, rue de l’Université, portant un gros homme de taille moyenne en uniforme de capitaine de la garde nationale.     Balzac commence tout d'abord par situer l'époque du récit. Il désigne le mois ("vers le milieu du mois de juillet") puis l'année ("... de l'année 1838"). Cela permet au lecteur de se "mettre dans l'ambiance", de rentrer