Rue

Dalla Francis Collège : Saint Exupéry Nom de l’entreprise : Côté jardin (S.A.R.L flower shop) Maitre de stage : Mme Lefeuvre Lieu : 69 rue de la glacière 75013 Date : du lundi 16 au vendredi 20 décembre 2013 Rapport de stage : Mr.Lejeune : Professeur tuteur Sommaire : 1) Introduction A) Objectifs du stage B) Demarche du stage 2) Presentation

Cas d’entreprise Rue Du Commerce I) Analyse de la situation de l’entreprise Question 1) Les finalités de RueDuCommerce sont : La finalité financière Rentabiliser son activité, pérenniser l’entreprise. La finalité économique Créer des besoins et des services pour satisfaire les clients. Un système de communication (service téléphonique) pour répondre aux attentes des clients et de leurs contraintes, un délai de livraison en constante évolution avec un suivi du colis, une large

Le paysage est familier et il évoque la rue de Siam (ancien pays d’Asie, actuelle Thaïlande), le bateau d’Ouessant (île au large de Brest avec un phare). Ces noms propres sont ancrés dans la vie quotidienne des Bretons. Barbara, avec son sourire et sa beauté, représente la femme en général et son apparition lumineuse, soulignée par les trois adjectifs du vers 4, repris en chiasme au vers 27, contraste avec la banalité morose. Le personnage jaillit brutalement au vers 18 et les syllabes de son nom

faire des propositions de vie a Rastignaque. SObjectif : Le pacte de lecture proposé par Balzac Relever les indices qui permettent de poser le cadre spatio-temporelle Fin de l’année 1819, dans la Maison de madame Vauquer rue Neuve-Sainte-Geneviève, près du Panthéon, à Paris En quoi la présentation de paris-fait-elle de la ville une scène propice au drame En quoi cet incipit peut-il apparaître comme un faux départ ? Par rapport au pacte de lecteur proposé, montrez

saleté » « la fange » « plaines de chair pilée mêlée à de la terre boueuse » « cervelle écrabouilée ». Ce qui a pour effet d'interpeller le lecteur et de le dégouter. Ensuite, Prévert, dans son poème « Barbara », utilise des lieux réels : « Brest » « Rue de Siam » «  le bateau d'Ouessant ». L'utilisation de lieux précis donne un ancrage au texte. Aussi, la banalité des événements « il pleuvait sans cesse » « tu marchais » « un homme sous un porche s'abritait » donnent un côté encore plus réaliste.

dessins, céramiques, objets archéologiques et objets d'art...) datant de l'Antiquité jusqu'à 1848 et venant d’une grande partie du monde, de l'Europe occidentale jusqu'à l'Iran. -Les caractéristiques sont : Pays : France / Ville : Paris / Adresse : 99, rue de Rivoli, 75001 Paris Nombre d’œuvres : 35 000 en exposition 445 000 au total (dont 140 000 œuvres graphiques) Superficie : 210 000 m2 dont 60 600 m2 de galeries Nb. de visiteurs par an : 6 894 000 (2004) ; 7 553 000 (2005) ; 8 314 000 (2006) ;

aujourd’hui de vous faire découvrir ces musées dont vous n’entendez pas forcément parler mais qui ont pourtant plein de choses à vous apprendre. Nous avons donc sélectionné pour vous cinq musées originaux : Le musée de la Contrefaçon : situé au 16 rue de la Faisanderie dans le 16ème arrondissement, ce musée atypique a pris possession des lieux en 1951. Vous y trouverez une multitude d’objets contrefaits depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours, ce qui vous permettra donc de mesurer l’ampleur de ce phénomène

Le Père Goriot Tout commence avec la description de la Maison Vauquer, une pension parisienne située dans la rue Neuve-Sainte-Geneviève, appartenant à la veuve Vauquer. Plusieurs résidents y vont régulièrement, dont Eugène de Rastignac qui est un jeune étudiant en droit, un homme nommé Vautrin et un ancien fabriquant de vermicelles retraité surnommé le Père Goriot. Rastignac est issu d'une famille provinciale modeste. Il délaisse rapidement ses études et tente de percer dans la haute société

déroule dans un cadre urbain, à « Paris » (l.6) et plus précisément « Au Bonheur des Dames » (l.46). Dans l’extrait, l’auteur nous indique les lieux où passent Denise, Jean et Pépé (« Gare saint-Lazare » l.1, « Place Gaillon » l9, « rue de la Michodière » l.31, « rue Neuve-Sainte-Augustin » l.22,…). Cela se passe en « octobre » (l.24), probablement avant 1956 car le train est un moyen de transport assez courant mais la troisième classe existe encore (suppression en 1956) et à la fin du XIXème siècle

Rue Paul VerlaineJe fais parfois le rêve étrange et pénétrant d'une rue en étain blanchâtre et maternelle l'un et l'autre trottoir palpite comme une aile tandis que sa chaussée a tout son poids d'étantLes ruisseaux de plomb pur s'écoulent dans l'étang qu'engloutit une bouche à béance immortelle à chaque extrémité s'inscrit une marelle que ne traverse point le vulgaire impétrantSous un ciel de titane un seul toit promeneur lentement se déplace au-dessus des bâtisses où grouille un animal qui ressemble