Ruelle

permettent enfin aux peintres d’être vus et de faire parler d’eux. Le modèle d’association d’artistes et d’expositions indépendantes de l’administration des Beaux-Arts expérimenté par les impressionnistes, rapidement aidés par le marchand Paul Durand-Ruel, s’impose peu à peu à l’État et à la plupart des artistes à partir de 1881 en permettant l’expansion de tous les mouvements qui ont suivi. Mais Manet, considéré comme le chef de file du mouvement, ne s’est jamais associé aux manifestations de ses amis

au jardin (Camille pose pour les 4), La femme à l'ombrelle, La japonaise , et beaucoup d'autres. Pendant la guerre Franco-Prussienne de 1870-71 et la courte guerre civile qui suivit (la Commune) , Monet vécut à Londres et fut présenté à Paul Durand-Ruel, un important marchand d'art, qui devait contribuer beaucoup à diffuser les oeuvres impressionnistes. En 1874, dans une atmosphère de plus en plus hostile de la part des milieux officiels, Monet et ses amis formèrent un groupe et exposèrent dans leur

repris entre 1890 et 1900), Musée d'art moderne André Malraux - MuMa, Le Havre. Malgré tous ces désaccords, les artistes impressionnistes gagnent peu à peu les faveurs du public et de leurs pairs, notamment grâce à l'aide du marchand d'art Paul Durand-Ruel, qui les fait exposer à Londres et surtout à New York dont l'exposition en 1886 marque le premier grand succès des impressionnistes11. Mais cette réussite ne profite pas à tous : si Renoir finit par accéder à une relative sécurité financière en 1879

dame surnomé Nada marchait tranquillement dans la rue pour rentrer chez elle.Il était 23h23 ,elle revenait de son travail.Elle apperçu une ruelle qui l'a conduisait jusqu'a chez elle.En marchant,elle vit un homme ccagoulé donc elle a eu très peur.Elle revient dans ses pas mais tout d'un coup l'homme courrit après elle,et sauta sur elle.Il l'a ammené dans une ruelle qui avait été visiter par personne.Il l'a torture ,l'a viole,et tout ce qu'on peut imaginer de cruelle.Quelques minutes plus tard ,elle

balcon. Elle regarde ce qu’il y a en face d’elle, c’est à dure une ruelle sombre entre deux bâtisses. La ruelle est à peine distinguable du balcon. La chaussure n’y voit que les pavés qui composent la ruelle ainsi qu’un homme. L’homme attend contre le mur de la ruelle, il fume, les cendres rougeoyantes dévoile seulement le bas de son visage puisque le haut est recouvert de l’ombre de son chapeau haut de forme. Une femme arrive vers la ruelle sombre. L’homme mystérieux l’observe, elle continue d’avancer

eux sauront franchir le cap du troisième millénaire.     La naissance du Bazar de l’Hôtel de Ville   C’est en 1852 que Xavier Ruel, quincaillier entreprenant, vend sa boutique de Lyon et accompagné de sa femme et de ses enfants, vient tenter sa chance à Paris et s’installe dans le quartier de l’Hôtel de Ville Ambitieux et imaginatif, Xavier Ruel achète un stock de bonneterie qu’il entrepose à la périphérie de Paris, et recrute des camelots pour vendre cette marchandise dans les rues

pour qu’on change de place. Apres monter je prendrais quelques seconds puis je la démarrai, changeai la vitesse puis la conduisais par les rues de notre ville jus qu’a la maison. En arrivant la bas, mes amis qui jouaient dans notre ruelle m’observaient en applaudissant car c’était ma première fois et il passait en toute sécurité et joie. Souvenir heureux Qu’il est chaud a mon cœur quand je me rappelle de la première fois ou je conduisais la voiture pour quelques KM

et l.7, il parle du « Scintillement » des éclats de verres présent dans la rue comme s’ils étaient là pour décorer. A la l.7 il compare ces éclats de verres à des pierres précieuses ce qui a pour but de donner une image magnifique et luxueuse de la ruelle. On pourrait se croire dans un conte « féérique » (l.8) comme il le dit l.8 « un décor de conte dont il restait à trouver la trame et la princesse » ces différents éléments montres une dimension « merveilleuse » (l.8) du début du texte.

studio à l’exception de quelques scènes dans la casbah d’Alger, le dédale de ruelles, et l’atmosphère en sont parfaitement crédibles. Alger est en effet décrite comme : « Un maquis, profond comme une forêt, grouillant comme une fourmilière, un vaste escalier dont chaque terrasse est une marche et qui descend vers la mer. Entre ces marches des ruelles tortueuses et sombres, des ruelles en forme de guet-apens, des ruelles qui se croisent, qui se chevauchent(…) dans un fouillis de labyrinthes(…), des

La mosquée  (centre de l’organisation sociale). 2. La maison ou groupement de maisons (cellule de base « famille » de l’organisation sociale). 3. Le marché ou Souk (centre d’échange économique et centre de vie publique). 4. La rues, ruelles et impasses (système de communication et de liaison). 5. L’enceinte, murs de rempart (enveloppe de protection communautaire). 6. Les espaces extramuros. * Cimetieres. * Palmeraies. L’occupation du site : L’occupation du site