Ruelle

empli du long cri d'une sirène, le vent qui apportait la rumeur presque éteinte de la ville en état de siège et les sifflets des vedettes qui rejoignaient les bateaux de guerre, passa sur les ampoules misérables allumées au fond des impasses et des ruelles; autour d'elles, des murs en décomposition sortaient de l'ombre déserte, révélés avec toutes leurs taches par cette lumière que rien ne faisait vaciller et d'où semblait émaner une sordide éternité. Cachés par ces murs, un demi-million d'hommes :

La Rue Saint-Vincent, Montmartre La photographie ci-dessus nous montre bien la volonté d’Atget de sauvegarder la mémoire des ruelles de Paris qui sont en train de disparaître à cette époque. Ce cliché a été pris dans la rue Saint-Vincent en plein cœur de Montmartre en 1900. C’est une photographie mesurant 17 cm de hauteur et 21,3 de largeur. Aucun indice ne peut nous aider à dire où nous sommes car le paysage ne ressemble en rien au Paris que nous connaissons aujourd’hui. On ne retrouve pas

d’emprunter un chemin détourné afin de profiter un peu de cette atmosphère agréable, mais ses pas la menèrent vers un quartier qu’elle connaissait mal. Tentant de retrouver son chemin, elle revint sur ses pas. Elle n’était pas à son aise dans ces ruelles sombres, qui lui étaient inconnues ; elle était de plus en plus nerveuse, et il lui semblait entendre d’étranges sons, semblables à de lointains râles de douleur, que l’écho rendait fantomatiques. Elle avait aussi l’impression que ceux-ci étaient

Autrefois protégée d'un rempart tourné vers l'intérieur des terres, ce dernier fut mis à bas durant le protectorat français afin d'affirmer son pouvoir sur la ville. La médina est une sorte de labyrinthe de ruelles étroites qui se croisent dans tous les sens. Dans les souks, les odeurs changent d'une ruelle à l'autre, au gré des boutiques d'artisans et de leurs produits. Les noms des rues correspondent aux anciennes corporations présentent ici : rue des armuriers, rue des menuisiers, les tisserands, les

fête que j’attends tant. Nous avons, aujourd’hui, parcouru toute la ville ; épiez toutes les vitrines et magasins ; cherchez dans les moindres recoins, les ruelles, les impasses, dans l'espoir de dénicher enfin ce que l'on cherchait depuis au moins trois longues heures. Alors que j'avais perdu tout espoirs, en pénétrant dans la dernière ruelle, c'est là, je la vis dans cette vitrine, je le sue dès l'instant où je l'aperçu que c'était celle-là, celle qu'il me fallait, que je chercher en vain. Elle

Donc comme je disais, je passais par les usines, et je ne voyait pas plus loin que… CHRISTIAN …Ton nez CYRANO, fulminant …Mon bras. Je pensais justement que ce serait une bonne soirée pour une embuscade, dans ces ruelles noircies, j’… CHRISTIAN …effleurait le danger du bout du nez CYRANO, se crispant …je m’assurerais de toute façon que j’enverrais n’importe quel assaillant se flanquer le pousse dans le… CHRISTIAN Nez

des cartonniers, dont les étalages gris de poussières dorment vaguement dans l'ombre. Toute l'âme du 8ème arrondissement de Paris est là. Parmi ces structures haussmanniennes, se trouve différentes ruelles sinistres par leur étroitesse et de leur obscurité. Au sein d'une de ces ruelles, la ruelle de la Môme, sur une des vitres de la porte était écrit un nom d'homme et de femme : Bertrand et Béatrice Lefèvre, en caractère rouge. Âgé de trente-deux ans, Bertrand était d'origine de la Normandie

la fin. Le soleil se couche. Il est d’une couleur rouge orangée, tel un coucher de soleil de cinéma. Un voile fin de brume se lève, faisant place à une atmosphère lugubre, comme dans un film d’horreur, d’où des personnages sortiraient des petites ruelles non éclairées. Les lumières sont allumées. Cette rue, qui dans la journée est noire de monde, est déserte. Les stores des boutiques sont fermés avec des cadenas. La boutique de téléphones portables a des barreaux ; ceux-ci ressemblent à des barreaux

une de ces sombres ruelles pouvant être des passe partout éventuels mais elle était suivi par Miguel. Ce pélo avait un passé plus que criminel Il était très haut placé au sein de l'échelle mortelle il se dit que ce fut une victime assez potentielle pouvant assouvir à son désir irréel Il se rapprochait de plus en plus bel mais la jeune fille fit tomber son bas d'jartelle elle a du s'accroupir pour ramasser son bout d'ficelle et vit une ombre grossière dans la petite ruelle mais elle était

En quoi cet incipit de roman répond il aux fonctions d'un incipit traditionnel ? Éléments de l'incipit habituel  Un incipit vu comme une tragédie classique Cadre spatial : quartier du Duomo, ruelle, marché, Gènes Cadre temporel : en ce jour, le soleil d midi, l'air du matin, quatre ans + tôt Personnages : les femmes et les jeunes du quartiers, pêcheurs, foule, poissonier, Salvator Piracci (commandant, ne travail pas, solitude, idée macabre du marché, habitué de ce dernier, se sent épié