Rugissement

fait le poète pour les rendre vivants ? - personnification : les éléments réalistes agissent de façon fantastique : en volant, s'allume, tourmente... Les éléments abstraits sont aussi personnifier (antonomase) La Nuit le saisit à la gorge, rugissement - animalisation : Négative serpent et renard, agents du démon Et est-ce que cette ville se présente d'elle-même devant le lecteur, est-on en énoncé en énoncé coupé ? Axe 3 : Un narrateur met en scène cette vision fantastique mais

occasion, Montra ce qu'il était, etlui donna la vie. Ce bienfait ne fut pas perdu. 10. Quelqu'un aurait-il jamais cru Qu'un Lion d'un Rat eût affaire ? Cependant il advint qu'au sortir des forêts Ce Lionfut pris dans des rets, Dont ses rugissements ne le purent défaire. 15. Sire Rat accourut, et fit tant par ses dents Qu'une maille rongée emporta tout l'ouvrage.  Patience etlongueur de temps Font plus que force ni que rage.  Résumé : La Fontaine met en scène un lion laissant la vie

barrissements et la poussière qu'il dégage alarment chaque personne présente sur le lieu...Personne n'ose vraiment y croire et pourtant c'est bien la terrible vérité. Alors que tout le monde tente de trouver une explication plausible, de nouveaux rugissements de font entendre ! Puis, suivi des cris déchirants, plus exactement des miaulements...et le rhinocéros s'en va comme il était arriver . Ça y est, le (ou les ?!) rhinocéros a fait sa première victime: le pauvre chat de la ménagère, elle témoigne

4, Napoléon a emprunté ‘apparence de son oncle -incurtion de l’auteur dans le vers 4 car il connait tout les tenants de l’histoire -le narrateur humanise les animaux “roi”, “brigand” tout en gardant leur caracteristiques bestiaries “antre”, “rugissements”. Ce qui permet de trouver le sens reel de la fable, de démeler l’alégorie (premier niveau : fable animalière, second nieau : un message codé). Les animaux parent au discours direct ce qui révele leur personnalité profonde. - C’est un pastiche

qu’il a découverts les uns après les autres par une sorte de fatalité. Il connaît son beau-frère, il lui aura écrit. Que de haine elle distille ! Là, immobile, et les yeux ardents et fixes dans son appartement désert, comme les éclats de ses rugissements sourds, qui parfois s’échappent avec sa respiration du fond de sa poitrine, accompagnent bien le bruit de la houle qui monte, gronde, mugit et vient se briser, comme un désespoir éternel et impuissant, contre les rochers sur lesquels est bâti ce

bruit des insurgés qui va donner vie à la nature. Ainsi « les chants » qui (enflent), lignes 4 et 5 vont se préciser pour devenir « un éclat assourdissant » : la Marseillaise. B) Du chant au rugissement Au fur et à mesure de l’avancée de la bande, le chant prend de l’ampleur jusqu’à devenir « un rugissement populaire ». La dimension animale déjà présente dans l’adjectif « monstrueuse » qualifiant le terme « trompettes » se précise ici. Le chant se mue en cris féroces tels ceux du lion en colère

le meurtre, les rapines3, Égorgea les passants, dévasta la forêt, Fit tout ce qu'avait fait la peau qui le couvrait. Il vivait dans un antre4, entouré de carnage. Chacun, voyant la peau, croyait au personnage. Il s'écriait, poussant d'affreux rugissements : « Regardez, ma caverne est pleine d'ossements ; Devant moi tout recule et frémit, tout émigre, Tout tremble ; admirez-moi, voyez, je suis un tigre ! » Les bêtes l'admiraient, et fuyaient à grands pas. // Un belluaire5 vint, le saisit dans ses

d’amants ! » ego surdimensionné/ « faut que j’aie une de ces deux femmes » impératif, cynique, ambition. B Milady - Le narrateur est partie prenante du portrait à charge, phrase exclamative « que de haine elle distille ! » - animalisation « rugissements sourds », « mugit », métaphore « châteaux sombre et orgueilleux » traduisant à la fois la beauté, l’attraction et une inquiétude. Des antithèses relaient l’oxymore initial « ange démoniaque » « de magnifiques projets de vengeance » Focalisation

aurait fallu consentir à ne pas être, mais il n’a pas pu se résoudre à perdre l’être, c’est-à-dire à mourir vivant. Il y a dans l’être quelque chose de particulièrement tentant pour l’homme et ce quelque chose est justement LE CACA. (Ici rugissements.) Pour exister il suffit de se laisser aller à être, mais pour vivre, il faut être quelqu’un, pour être quelqu’un, il faut avoir un os, ne pas avoir peur de montrer l’os, et de perdre la viande en passant. L’homme a toujours mieux aimé

de l'Afrique sauvage. Il est grand féroce à la chasse, mais sait être tendre avec son petit et loyal envers ses compagnons. On n'a pas vraiment envie d'en être trop près, car le lion fait partie des quatre types de fauves qui peuvent émettre un rugissement assourdissant ! On dit souvent que c'est le Roi des animaux tellement il est majestueux. Les lions ont une fourrure fauve (couleur sable). Ils atteignent 3m de long et 1,2 mètre de haut. Les lions mâles sont plus gros que les lionnes (femelles)