Ruse de guerre

Renartclasse de 5° Séance 4, séance de lecture: le thème de la ruse, du piège Texte « Isengrin dans le puits » I- RAPPEL: Ysengrin, Ysen-grin, il signifie en ancien néerlandais « féroce comme le fer » ou « casque de fer », loup bête et cruel, éternel ennemi de Renart, toujours dupé. Son épouse, Dame Hersent la louve, fut jadis « violée » par Renart ; d'où une éternelle rancœur. Il est l'oncle de Renart. Renart : le goupil espiègle, rusé, personnage principal de ces récits. Complexe et polymorphe

applicable sans distinction à tous les héros épiques. En effet, certaines épithètes peuvent être appliquées indifféremment à plusieurs personnes : Diomède (par exemple Il., VI, 12) comme Ménélas (par exemple Od., XV, 14) sont dits « au puissant cri de guerre » (βοὴν ἀγαθὸς / boên agathos). En revanche, d'autres sont personnelles : seul Zeus est « porte-égide » (αἰγίοχος / aigíokhos), seul Achille est dit « aux pieds légers » et seule Athéna est dite « aux yeux pers ». L'épithète peut également indiquer

profit cette retraite forcée pour écrire la majeure partie de son œuvre d'historien et d'écrivain : Le prince  (1513, publié en 1532), Discours sur la première décade de Tite-Live (1513-1519), L’Histoire de Florence (1525), Discours sur l’art de la guerre (1519-1521), les comédies La Mandragore (1520) et La Clizia (1525). L'œuvre théorique de Machiavel constitue un retournement de la philosophie politique héritée des grecs. Machiavel ne se préoccupe pas de concevoir le meilleur régime possible : démasquant

est de courte durée, et s'avère être totalement ironique Il est en effet tout de suite après contredit par l'expérience du penseur: "Les princes qui ont fait de grandes choses sont ceux qui ont tenu peu compte de leur parole", ceux qui, "grâce à la ruse", et non pas la fidélité, sont parvenus à leur fin. Machiavel expose donc dans ce texte les bases de sa philosophie. Ce n'est pas l'idéalisme qui prédomine, mais bien le réalisme. Ce n'est pas avec des idéaux que l'on peut progresser. La seule et unique

l’aspect moral de l’Etat. Il est courant de penser que l'État se doit d’agir justement. Pourtant Machiavel définit ici, l'État comme un faux-semblant de la justice, agissant immoralement. Donc, dans notre extrait, il décrit l’avantage de la tromperie, la ruse dans la manière de gouverner et le paraître de l’Etat pour rester au pouvoir. L’Etat est-il moralement juste? Pour analyser cet aspect de l’Etat, nous commencerons par étudier la définition de la tromperie avec l’exemple d’Alexandre VI, qu’effectue

collectivement. Cette définition assez négative que le sens commun attribue au détour évoque d’emblée l’idée de ruse. Étymologiquement (recusare en Latin), la ruse renvoie en effet à l’esquive et au faux-fuyant. Une telle représentation pourtant, beaucoup trop simplificatrice, doit être nuancée : le corpus de textes mis à notre disposition nous invite ainsi à une réinterprétation critique de la ruse. Aux évidences illusoires et souvent immédiates qui amènent à condamner toute forme de détour, Denis

nécessairement tromper ?Aristote, philosophe grec du IVème siècle avant Jésus-Christ, définit l’homme comme un animal doté de paroles. L’être humain a recours au langage articulé pour s’exprimer, communiquer et échanger avec les autres. Mais qu’arrive-t-il s’il ruse par la parole ? Si en parlant, il a recours à des procédés habiles mais déloyaux afin d’obtenir ou réaliser ce qu’il désire ? En agissant de cette manière, il semble abuser de la confiance de l’autre, se jouer de lui en usant de mensonges : pour autant

victorieusement. LA GUERRE DE TROIE : La guerre de Troie est un conflit légendaire provoqué par l'enlèvement d'Hélène, reine de Sparte, par le prince troyen Pâris. En rétorsion, Ménélas, l'époux bafoué, lève avec son frère Agamemnon une expédition rassemblant la plupart des rois grecs, qui assiège Troie et remporte finalement la victoire. La guerre de Troie est le cadre dans lequel se déroule l'épopée homérique de l'Iliade qui met en scène les dieux et les héros grecs et troyens. Cette guerre a probablement

qui incarnait la divinité féminine, la science dont elle disposait était incomparable avec celle des dieux ni encore moins des mortelles. La métis est aux antipodes de la force. Il est vrai qu’Ulysse allie ruse et force (guerrier) Néanmoins les achéens n’aurait pu sortir vainqueur de la guerre de Troie sans l’intelligence Rusée d’Ulysse. L’homme aux milles ruses préfère mettre en œuvre des hauts stratagèmes plutôt que d’avoir recours à la force. La Métis d’Ulysse est multiple et diverse elle a su

prendre à Ulysse , Poséidon s’en prend aux Phéaciens et transforme le bateau en rocher. ¤ hiérarchie , il faut toujours demander l’avis à Zeus. Les dieux agissent par stratégie , par ruse pour tromper la vigilance de Poséidon. « l’homme aux mille tours » =) désigne à la fois les dieux et surtout Athéna. La ruse n’est pas la propriété d’Ulysse. ¤ seule confrontation des dieux comparée à l’Iliade est entre Poséidon et Zeus et encore c’est une confrontation courtoise. ¤ ils n’apparaissent jamais