Russell Credo

partis : -D’un côté, les plus modérés, sont composés principalement des évêques conservateurs d’Orient, qui sont, sur le fond, d’accord avec le symbole de Nicée mais hésitent sur le terme non scripturaire homoousios (consubstantiel) utilisé dans le Credo. Le Credo est une prière qui récapitule les articles fondamentaux de la foi. -D’un autre côté, les plus radicaux prétendent que le Fils est d’une essence différente (en grec heteroousios) du Père, ou fondamentalement dissemblable (en grec anomoios).

Science et religion : lecture suivie du livre de Bertrand Russell[1] Introduction Présentation de l'auteur : Bertrand Russell (1872-1970) possède le double statut de mathématicien et de philosophe. Professeur à l'université d'Oxford, il a reçu le prix Nobel de littérature en 1950 pour l'ensemble de son oeuvre et pour son engagement humaniste. En mathématiques (ou plus précisément en logique), Bertrand Russell est l'auteur de la théorie des types et a développé l'idée, dans son livre Principia

l’explication du texte de Bertrand Russell extrait de Science et religion (1935) (éléments de réponse) Dans ce texte, Russell souligne les maints aspects que peut prendre la vérité dépendamment de la discipline qui l’affirme. Ainsi, contrairement à la vérité immuable de la religion, la vérité scientifique a un caractère provisoire. Cependant, et en décrivant tout au long de ce texte le souci et le succès de la science àépouser le changement dans ses théories, Russell dénonce un scientisme, ou la croyance

l'explication fondamentale , la croyance de l'indémontrable. Ici, dans son texte tiré de l’œuvre « Science et religion », Russell aborde ces deux premiers thèmes mais également celui de la vérité. Il met en relation à la fois la vérité religieuse et la vérité scientifique, cherchant à les comparés et à expliquer ce qui les différencie. Il développe la méthode scientifique. Russell pense que ce qui différencie les deux méthodes, c'est leur duré dans le temps, l’éternel du dogme religieux contre l'éphémère

future. Cela montre que l’on peut croire des choses justes pour le bien fait qu’il apporte et qu’on ne croit pas n’importe quoi. Pour finir, nous allons parler du texte de Russel « science et religion » (1935), ce texte va nous montrer que la science s’oppose au dogmatise. Dans ce texte Russel nous parle d’un crédo qui sont derrière l’église il les montre comme des gens attirés par l’argent. Il raconte que ces gens sont hostiles à la science car la science va parfois contre la religion et que

de Bertrand Russell intitulé « La science et religion ». Dans ce texte ou il confronte Mythos et Logos, il cite l’histoire d’un prêtre qui demande à un homme pourquoi ne devrait-il pas commettre un meurtre? Sa réponse était qu’il voudrait éviter la pendaison. Si l’on suit cette logique, sachant qu’il y a bon nombre de crime rester impuni comment dissuader les gens de faire ce qui leur chante. C’est là que les croyances jouent un rôle capital. Comme l’explique Bertrand Russell, le credo (code de morale)

aucune des options spirituelles. Un croyant fonde ses valeurs sur la référence à une transcendance divine (cf. Augustin, Averroès, ou Levinas). Un athée ne croit pas en Dieu, mais il peut fonder ses valeurs sur d'autres principes (cf. Sartre, Bertrand Russel ou D'Holbach). Un agnostique suspend son jugement, mais il peut concevoir une morale naturelle de l'homme (cf. Protagoras, ou Hume). Bref, nulle option spirituelle ne peut être définie par simple privation, et cette compréhension positive est essentielle

Association Aldéran - 29, rue de la Digue, 31300 Toulouse Tél. : 05 61 42 14 40 - Email : philo@alderan-philo.or www.alderan-philo.org Page 2 Le Nouvel Observateur, hors série, 2005 *** Raison et religion, deux chemins de pensée différents Un credo religieux diffère d'une théorie scientifique en ce qu'il prétend exprimer la vérité éternelle et absolument certaine, tandis que la science garde un caractère provisoire : elle s'attend à ce que des modifications de ses théories actuelles deviennent

pseudo réfutations du mouvement de la Terre comme Russell l’indique dans Science et religion (1935). Mais outre, le désir individuel, le préjugé est aussi une pensée adoptée par un groupe. Sa valeur tient donc à sa valeur d’intégration sociale ou plutôt la force du préjugé est qu’il rend possible le collectif social. Penser ou plutôt croire comme les autres, c’est s’intégrer aux groupes. Toute société exige de ses membres qu’il adopte un certain credo sans quoi elle ne serait pas possible. Et même

quinze personnes, en gros, le ratio est celui-là», explique Corentin Monot. Amandine Greiner approuve : «Même dans de petites agences comme la mienne, il y a cinq planneurs pour vingt-cinq personnes, dont certains affectés à un seul client.» Le vieux credo «one account, one planer», selon lequel il y a en Angleterre un planneur derrière chaque client aurait donc perduré. «Disons que nous avons une relation très proche avec les clients et nous suivons les marques au quotidien», tempère Julien Veillon