Rustique

pas froisser les susceptibilités : à l'effort pour oublier la grossièreté chez les uns correspond chez les autres un effort de politesse et de courtoisie. On observe ainsi la volonté des "maîtres" d'apprécier ce qui relève de la simplicité la plus rustique : "On mange avec appétit leur soupe..." (l. 9), "On ne ricane point orgueilleusement de leur air gauche..." (l. 10-11). Le constant rapprochement des uns et des autres dans des activités communes (utilisation du "on" dans lequel s'inclut le narrateur

Tant que les hommes se contentèrent de leurs cabanes rustiques, tant qu’ils se bornèrent à coudre leurs habits de peaux avec des épines ou des arêtes, à se parer de plumes et de coquillages, à se peindre le corps de diverses couleurs, à perfectionner ou à embellir leurs arcs et leurs flèches, à tailler avec des pierres tranchantes quelques canots de pêcheurs ou quelques grossiers instruments de musique ; en un mot tant qu’ils ne s’appliquèrent qu’à des ouvrages qu’un seul pouvait faire, et qu’à des

structuré comme une grande comparaison. -> Le premier quatrain introduit le comparé avec « comme » qui est le premier mot du quatrain -> Le second quatrain redouble la comparaison en introduisant un second comparant avec « et comme » => COMPARANT= le rustique  Création d’un effet d’attente chez le lecteur -> Le comparé apparait dans le premier tercet -> Ce n’est donc qu’à la fin du poème que le lecteur peut connaitre la comparaison dans son ensemble -> La structure du poème incite donc le lecteur

déesse (exagération épique), aussi montrée par la position de la déesse (au dessus des nymphes). Il y a ensuite une épithète homérique : la comparaison de la déesse avec un grand chêne  aspect végétal qui convient parfaitement avec le tableau rustique, cela associe la déesse à une divinité agreste (qui a un caractère de rusticité sauvage). Cette épithète figure l’incontestable proéminence de la déesse, il y a une inspiration vers le haut et cela symbolise aussi la solidité de la déesse : on voit

La barbe drue, luisante et fine, cachait une mâchoire un peu trop forte. On se sépara après beaucoup de compliments. M. de Lamare, deux jours après, fit sa première visite. Il arriva comme on essayait un banc rustique posé le matin même sous le grand platane en face des fenêtres du salon. Le baron voulait qu’on en plaçât un autre, pour faire pendant, sous le tilleul ; petite mère, ennemie de la symétrie, ne voulait pas. Le vicomte consulté fut de l’avis de la

français » en 2009 les français se décident sur 6 critères : • A 75% sur le prix • A 50% sur la qualité et la couleur • A 15% sur les matériaux • A 10% sur les conseils du vendeur • A 5% sur la notoriété En 2010, les tendances vont vers le « rustique » ou le « contemporains » ce qui reste des styles plutôt cher. La concurrence La concurrence est forte tout d’abord car les pionniers du secteur comme Mobalpa ou Schmid après avoir constaté l’évolution du marché ont accrus leur communication

cette classe sociale. II. Des personnages antithétiques 1) Un milieu rustique - Lors de ce repas, le père Duroy est « mis en joie » et « lâchait le robinet de ses plaisanteries de choix, […], histoires grivoises et malpropres », le lecteur peut noter le manque de distinction dont fait preuve le personnage. - Le lexique de la rusticité apparait dans le 2e paragraphe « […] vieille travailleuse, de vieilles rustiques aux doigts usés, aux membres déformés par les dures besognes » met en avant

Vieux pins, l’honneur de ces forêts, Vous n’entendrez plus nos secrets ; Sous cette grotte humide et sombre Nous ne chercherons plus le frais, Et le soir, au temple rustique, Quand la cloche mélancolique Appellera tout le hameau, Nous n’irons plus, à la prière, Nous courber sur la simple pierre Qui couvre un rustique tombeau. Adieu, vallons; adieu, bocages ; Lac azuré, rochers sauvages, Bois touffus, tranquille séjour, Séjour des heureux et des sages, Je vous ai quittés sans retour

modestie et l'humilité. Or, il arrive dans le petit village de Saint-Ildefonse de façon fastueuse « […] une cavalcade rustique précédait le carrosse de Monseigneur l’évêque, traîné par deux chevaux blancs dont la queue et la crinière étaient tressées avec d’étroits rubans bleus et rouges. » La richesse exagérée de Monseigneur, est mise en évidence par le contraste entre la « cavalcade rustique » des villageois et « le carrosse » presque royal de Monseigneur accompagné de ses chevaux d’apparence méticuleusement

dans un dialogue avec un être qui est absent. Il y a construction d’une image de la femme avec inversion du mythe de la femme fleur. Donc il vaut mieux quitter les yeux de la femme bien-aimée car elle peut empoisonner. II- Un cadre de chanson rustique Le cadre construit une image négative de la femme. Il va inscrire ce thème dans un cadre bucolique qui malgré tout construit une inquiétude. A- Les lieux Tout d’abord, on a le pré qui va évoluer entre le premier et le dernier vers du poème. Vénéneux