Ruthène

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couches populaires et petites bourgeoises jouent un rôle de plus en plus conscient et politique, cet essor aboutissant à la vague révolutionnaire européenne de 1848. Des peuples sans État se soulèvent : des Italiens, des Roumains, des Slovaques, des Ruthènes (autre nom des Ukrainiens), des Serbes. En Hongrie, ce sont précisément les minorités qui s’attaquent à l’État central qui les ignore voire les opprime. La crise est provoquée à la fois par des revendications nationalistes et démocratiques. Mais

Slovènes qui fédère les Slaves du Sud de l'ancien empire ; 21  La Ruthénie et la Slovaquie (61 633 km²) rejoignent les Tchèques de Bohême et Moravie dans l'État nouvellement créé de la Tchécoslovaquie qui fédère les Tchèques, Slovaques et Ruthènes de l'ancien empire ;  L'Autriche, bien qu'elle n'ait rien demandé, se voit attribuer le Burgenland majoritairement germanophone (4 020 km²). 22 VIII. Traité de Sèvres Le traité de Sèvres, conclu le 10 août 1920 à la suite de la Première

avérée. En Europe centrale, les mouvements amorcés depuis 1820 s’approfondissent. L’Etat autrichien s’affaiblit, les minorités contestent la suprématie autrichienne au sein même du territoire de l’Empire : les Hongrois comme les populations slaves (Ruthènes, Tchèques, Croates, Serbes) réclament le droit de former des Etats-Nations, en Allemagne, les positions autrichiennes sont battues en brèche par la Prusse (le zollverein : unification douanière des Etats allemands), en laquelle s’incarnent les espoirs

disposer d’euxmêmes n’est que partiellement appliqué. Certaines situations contiennent les germes de conflits futurs : - la Tchécoslovaquie compte 6 millions de Tchèques, 3 millions de Slovaques, 3 millions d’Allemands et d’importantes minorités ruthène, hongroise et polonaise; - il est interdit à l’Autriche d’espérer un quelconque rattachement à l’Allemagne (Anschluss); - au Proche-Orient, les Britanniques ne tiennent pas les promesses faites avant la guerre de créer un grand royaume arabe et d’établir

et sociale qui valorise l'identité commune que partageraient les différents peuples slaves (Polonais, Tchèques, Slovaques, Slovènes, Croates, Serbes, Monténégrins, Macédoniens, Bosniaques, Bulgares, Belarusses, Ukrainiens, Kaschoubes, Sorabes et Ruthènes) et qui préconise leur union politique, en général sous l'égide de la Russie [3] Mot allemand qui signifie Exigence absolue, clause imposée par la force [4] Un armistice est une convention signée par plusieurs gouvernements mettant fin à des hostilités

des élites), ainsi que des Tziganes. Plusieurs nationalités, compactes mais de taille restreinte, ont été "privées d'État", et se considèrent plus ou moins légitimement comme opprimées par l'ethnie majoritaire: Croates de Yougoslavie, Slovaques et Ruthènes de Tchécoslovaquie. Enfin les pays vaincus ont le sentiment, souvent justifié, d'avoir été "punis" par une application très biaisée à leurs dépens du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes: de vastes zones de l'Ukraine et de la Biélorussie (réunies

germaniques. Chapitre 2 : La Gaule dans l’Empire Romain La conquête de la Gaule : On dit qu’il n’y a pas de Gaule, mais des gaules. C’est pourquoi César disait : « la guerre des gaules » : en effet il existe différents peuples comme les celtes ou les ruthènes, on parle aussi de la gaule transalpine (GTA) ou de la gaule cisalpine (GCA). La GTA composée des Alpes et de la Belgique, appelée aussi gaule chevelue, ou encore dans le territoire actuel de la France dans la narbonnaise qui est une province en

abolirent en Transylvanie le servage de la majorité orthodoxe qui, sous la conduite d'Avram Iancu, avait hésité à soutenir les révolutionnaires hongrois contre les Russes orthodoxes. Les Habsbourg accordèrent aussi des droits civils aux Serbes, aux Ruthènes (Ukrainiens) et aux Roumains. Même si les concessions réalisées à la fin de la guerre en faveur des peuples non-autrichiens de l’Empire marquent la fin d’un certain impérialisme autrichien, cet évènement marque surtout le salut de l’Empire d’Autriche

l’Empire ottoman. Un peu en marge de ses collègues, Casimir Delamarre est l’un des seuls à s’être fait le représentant de la volonté de reconnaissance internationale des intellectuels ukrainiens de l’époque : pour lui, les « vrais » Russes sont les Ruthènes plus que les Polonais. L’un des principaux buts de cette mouvance est en effet de renommer les Russes : ces derniers sont des Touraniens dont le nom historique réel devrait être « Moscovites ». L’usurpation du terme de Russie par les Romanov n’est