Ruy Blas Personnages

Dissertation Corpus : MARIVAUX, Les Fausses Confidences, 1737 BEAUMARCHAIS, Le Barbier de Séville, 1775 Victor HUGO, Ruy Blas, 1838 Mise en scène des Fausses Confidentes par Didier BEZACE, 2010 Sujet : Dans quelle mesure les éléments scéniques (accessoires, costumes, décors) jouent-ils un rôle important dans la représentation d'une pièce de théâtre et contribuent-ils à l'élaboration de son sens pour le spectateur ? Les textes de MARIVAUX, BEAUMARCHAIS et Victor HUGO, ainsi

écrit par Marivaux et s'intitule Les Fausses confidences, publié en 1737. Le second est Le Barbier de Séville, écrit par Beaumarchais en 1775. Le dernier texte, publié en 1838, a été écrit par Victor Hugo et s'intitule Ruy Blas. Ces trois textes théâtraux mettent en scène des personnages autour d'une lettre. Celle ci possède diverses fonctions dans le déroulement de l'intrigue. On se demande donc quelles sont les fonctions de la lettre au sein de chaque scène. Pour répondre, nous verrons deux aspects

BIBLIOTHÈQUE MULTIMÉDIA DE VALENCIENNES LE DRAME ROMANTIQUE Bibliographie En ouverture de la saison 2008-2009, les 26 et 27 septembre prochains, le théâtre Le Phénix propose la célèbre pièce de Victor Hugo, Ruy Blas, considérée comme un chefd’œuvre avant-gardiste du Romantisme. Lors de son apparition au milieu du XIX e siècle, le drame romantique est un genre théâtral neuf, en rupture brutale avec les œuvres antérieures. Ouverture sur le monde et sur l’histoire, refus de la distinction

impliquera des costumes d’époque. Les acteurs seront également richement habillés, leurs tenues seront flamboyantes ; on en déduira leur statut social élevé. Le costume entretient en effet un lien ténu avec le rang du personnage. Le simple port de l’épée révèle sa grandeur. Dans Ruy Blas, Don César est déguenillé, mais il conserve néanmoins son beau pourpoint. On en déduit qu’il est un noble déchu. Si la détermination de l’époque par le costume n’est pas toujours facilitée par le metteur en scène, elle

aussi, et oublia pour jamais la grâce efficace et le concours concomitant. Il prit pour sa devise : malheur est bon à quelque chose. Combien d’honnêtes gens dans le monde ont pu dire : malheur n’est bon à rien ! Séquence 3 Victor Hugo Ruy Blas texte 1 Le salon de Danaé dans le palais du roi, à Madrid. Ameublement magnifique dans le goût demi-flamand du temps de Philippe IV. à gauche, une grande fenêtre à châssis dorés et à petits carreaux. Des deux côtés, sur un pan coupé, une porte

dictionnaire d'être un édifice où l'on représente des œuvres dramatique, où l'on donne des spectacles, mais pour les auteurs le théâtre n'a pas cette définition selon eux c'est un lieu où l'on peut se libérer et presque tout dire et ce cacher derrière des personnages. Un directeur de théâtre contemporain a dit que dans le théâtre est un lieu où l'on porte des « regards critiques » et où l'on libère « les forces de l'imagination, où s'organise le rêve ». Dans cette dissertation nous allons étudier ce que ce directeur

Boileau dans son Art poétique, mêlant ainsi dans son œuvre éponyme Ruy Blas la comédie, la tragédie, et le drame, y associant différents registres. Il s’agira d’analyser comment ces quatre extraits de genre théâtral, présentent le topos de l’échange amoureux, le topos pouvant se définir par la présence d’une scène récurrente, attendue de la part en l’occurrence ici, du spectateur. Tout d’abord, les scènes 5 de Bérénice et 3 de Ruy Blas placent dans la bouche de leurs protagonistes des élans de sincérité

artifice théâtral existant depuis la création du théâtre. Il favorise l’identification des personnages, sert de porte-parole et a pour but de dissimuler le visage de l’acteur en lui-même ou du personnage dans la pièce. Il est indispensable dans la mesure où le théâtre est un art, l’art de l’illusion. Cet élément peut se présenter de différentes manières dans une pièce. Il peut être porté par le personnage, traduit par des costumes et intensifié par le maquillage, mais il peut également se glisser

iconographique. Le premier document est extrait de la pièce de Marivaux, Les Fausses Confidences, datant de 1737. Vient ensuite un second extrait du théâtre du XVIII siècle, Le Barbier de Séville, conçut par Beaumarchais. Enfin le dernier texte est tiré de Ruy Blas écrit par Victor Hugo en 1838. Ce à quoi vient s'ajouter une photographie illustrant la pièce de Marivaux, en effet elle représente l'extrait de la pièce, mise en scène par Didier Bezace en 2010. On peut remarquer que la lettre occupe une place prépondérante

Commentaire « Ruy Blas », Victor HUGO Acte IV Scène : 5 Sommaire Introduction : 2 1) La coïncidence de deux retours inattendues 2 2) Le récit de Don Guritan (vers 1877-1879) 3 3) Convergence des deux destinés 3 A) Surprise de la Révélation de Don César 3 B) Le Changement de ton du dialogue 3 4) Exaspération de Don Guritan et insolence de Don César 4 5) Annonce du Duel 4 Conclusion : 4 Introduction : Victor HUGO : (1802-1885) Chef de file du romantisme, en 1841