Rythme cérébral

poings, de pieds, il brise le partage » où les nombreuses virgules donne un rythme cassé. On pourrait même dire que c’est un clin d’œil au rythme haché qu’on a après s’être battu. On retrouve cette impression de discours haché avec le rejet « les deux bouts » (v.3) « Des tétins nourriciers »(v.4) et le contre-rejet « il brise le partage »(v.5) « dont nature… » (v.6).Cela coupe la phrase et donc accentue cette idée de rythme brisé. De plus le fait qu’Agrippa d’Aubigné ait choisie de retranscrire les

utilisant le /s/ on accroche sur les mots un peu plus et on lit le poème lentement. Cela permet de prendre le temps pour lire le poème et aussi il ajoute au séduction du poème. L’allitération est un effet sonore qui aide à donner au poème un meilleur rythme et de fluidité. C’est une forme de répétition, donc il aide aussi à la musicalité de poème. On note aussi que le dernier vers de chaque strophe est le même que le premier vers de la même strophe, sauf la strophe finale. Par exemple, la deuxième strophe

Présentation et analyse de l'œuvre << Le Déserteur >> est sa chanson la plus célèbre parmi les 461 qu'il a écrites. Elle a été écrite à la fin de la guerre d'Indochine, juste avant la guerre d'Algérie. Le premier interprète fut Marcel Mouloudji qui modifia certaines paroles avec l'accord de Boris Vian. Analyse des paroles : Cette chanson est composée de 12 quatrains en rimes embrassées, soit 3 strophes musicales. Il s’agit d’une lettre adressée à « Monsieur le Président » par un homme ayant reçu

sur l’impossibilité de l’homme à fixer le temps. Cette dernière est signalée par les invocations au temps : il est capricieux (vers 21-22, 30-31, 37, 41), il est celui qui donne et qui reprend, il a un caractère inlassable, éternel (vers 36). Le rythme est vif : notamment dans les deux premières strophes, il y a absence de points et très peu de coupes. Les enjambements (vers 3, 4, 7, 8) rallongent les vers. La fragilité de l’homme est mise en valeur et donne une tonalité élégiatique et lyrique au

tranquille tableau en mouvement avec la présence au début de ce vers l'adverbe « sinon ». 2 vers décrivent donc la blessure et la mort du chevreuil: v 10/11, victime d'un « trait meurtrier » au v 11. La violence de la mort se traduit par une phrase au rythme rapide et par la sonorité en [R] « meurtrier, empourpré » v 11 II/L'écriture codifiée d'une scène de première rencontre:

consiste à 1. « Je t’aime / Je t’aime pour toutes les femmes que répéter un mot ou groupe je n’ai pas connues / Je t’aime pour tous les temps de mots en début de ver sou où je n’ai pas vécu » de phrase afin de créer 2. …………………………………………………………………………… un rythme particulier. 3. …………………………………………………………………………… D’OPPOSITION FIGURES Figure 8 : ………………………………………………………… Figure de style qui consiste à 1. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé. exagérer la réalité de façon 2. Ce n’est pas facile d’être un

  « A l’hospice » (Chanson), « Que la fièvre maigrit) (Melancholia). II) Le choix de la forme poétique Dans le poème Chanson, Hugo utilise une ballade avec la mise en valeur du refrain « Pauvres petits ». Il utilise des sizains qui donnent un rythme saccadé pour nous rendre plus attentif. Dans le poème Melancholia, il fait le choix de l'alexandrin, qui fait pensée à la mélancolie pour nous sensibilisé. Dans le poème L'Enfant, la construction du poème alterne alexandrin et octosyllabes. Ces

décrites plus haut, réfère à la tradition bucolique, attachée au lyrisme. Aux images et aux connotations, s’ajoutent les sonorités et le rythme, qui font du poème un chant, qui rend compte, au-delà des mots, par les sensations, de l’amour exprimé : des allitérations en [m] du vers 1, la répétition des sonorités en [ar] dans le rythme binaire au vers 6, les rythmes binaires des vers 2, 5, 9 et 10, rendent compte de la douceur et de l’harmonie de cet amour. Enfin, le lyrisme permet un nouvel échange

1942 Publié dans les Armes de la douleur Courage estun poème en vers libres qui comporte 40 vers. Il y a plusieurs anaphores : « Paris » v.1, 2, 3 et 4 ; « c'est » v.8 et 9, il y aussi des effets de répétition (rythme du poème) pour montrer la situation désastreuse de Paris. Il y a une personnification « Paris a faim Paris a froid » v.1 A travers Paris, la capitale, c'est le peuple français qui est désigné. La figure de style de la comparaison est très présente :

V15-16 le plaisir V14 la culture - le rythme de ce dialogue est aussi représentatif de la supériorité que s’octroie Marot sur le rimart Macé : Du vers 9 au vers 20, le poète introduit un dialogue dans son épître, entre lui-même et un providentiel (pour la rime) Henri Macé. Le rythme régulier des six premiers décasyllabes (en rimes brisées, 4 syllabes/6 syllabes) avait été cassé aux vers 7 et 8 (rythme 2/2/6, puis 4/5/1). Marot disloque à nouveau son rythme aux vers 9 et 10 où « quelque rimart »