Rythmique

Champs Elises à Paris. Cette première représentation fut un fiasco car la différence entre les ballets classiques et le sacre du printemps est trop important. Ce qui choque le public c'est la musique, les danses, et les costumes. La musique est rythmique et violente comparer à la musique du lac des cygnes qui est mélodique et douce. Au niveau des costumes il n'y a plus de pointes et de collants comme dans d'autres ballets comme le lac des cygnes. Mais les costumes sont inspirés des costumes traditionnels

Un élève sort de la salle. Les autres choisissent un objet  qui sera le trésor et guide leur camarades par des variations de hauteur ou d'intensité. L'élève rentre et doit deviner de quel objet il s'agit, guidé par l'intensité de l' ostinato rythmique qui augmente quand il s'approche et diminue quand il s'en éloigne ou la hauteur des sons émis par ses camarades (aigu, quand il se rapproche et grave quand il s'éloigne de l'objet)   • Devine qui je suis Identifier et reconnaître

Accent tonique :souligne la dernière syllabe non muette d’un mot ou d’un groupe syntaxique. le retour de l’accent tonique crée le rythme. ex : Eternité,/ néant,/ passé, /sombres abîmes/ (Lamartine) Ce vers comporte 4 accents, donc 4 groupes rythmique ou mesures, délimités par des coupes. Scander un vers, c’est repérer les mesures qui lui donnent son rythme : ex : Juste ciel !/ Tout mon sang/ dans mes vei/nes se glace/ (Racine, Phèdre). Le rythme de ce vers est : 3/3/3/3 NB : mots qui

Œuvres complètes, t. II, < p. 303). POÉSIE ET MUSIQUE CHEZ VEKLAINE 33 1865, nous le voyons sensible aux innovations rythmiques de Baudelaire 6 . Près de vingt ans plus tard, c'est encore l'aspect musical de l'œuvre de Rimbaud, de Mallarmé, qui l'intéresse 7 . Un poète médiocre trouve grâce à ses yeux pourvu qu'il soit bon musicien; c'est ainsi que les Études rythmiques d'un de ses contemporains l'étonnent et l'enchantent au point qu'il prend la peine d'en noter « la mesure » à l'intention de

tout geste réaliste, copie du quotidien. Nous allons maintenant voir la place que va prendre l’acteur d’opéra pour Meyerhold. Tout d’abord, il faut dire que Meyerhold en se basant sur les pensée d’Appia exige de l’acteur une dépersonnalisation rythmique et passionnelle qui sera un moyen « pour faire obéir son corps au rythme et sa diction aux durées les plus étrangères de sa vie intérieur ». La musique exprime en effet la vie intérieur directement , sans l’intermédiaire d’une idée ou d’une image

dures) ▪ Images : - « Ci-dessous gît le grand meurtrier et tirant de bouteilles » >>> meurtrier de bouteilles puisqu’il les tue (les boit) les unes après les autres - « Le cruel vinicide » >>> le cruel assassin de vin ▪ Procédés rythmiques : - s’adresse directement aux personnes auxquelles il raconte l’histoire : - écoutez – vous pouvez – vous ferez - vers rimant 2 par 2 (rimes suivies) >>> vers très réguliers créant un certain rythme - répétition de 6 x qu’ ou qui

au refrain : Le chant commence par une introduction de 2 mesures posant un climat léger, gai et dynamique. Interpréter par une léger percussion qui aider du clavier installe une rythmique afro-américaine. Directement il enchaine le 1ere couplet ou l’auteur nous plante dans le « décors ». Dans le 2eme couplet la rythmique est renforcée par l’arriver de la batterie qui joue chaque temps de la mesure. Dans le refrain Noah rajoute une voix féminine qui renforce l’harmonie. Les instruments sont au complet :

et, surtout par la suppression de la ponctuation. Apollinaire l’a supprimée dans des vers réguliers. Ainsi l’unité rythmique du vers n’est pas concurrencée par la syntaxe ; il n’y a pas de pause, même là où le sens l'exige et il y en a là où il ne l'exige pas : la versification prend à contre-pied les règles du discours normal. Cette innovation permet toutes modifications rythmiques et multiplie les possibilités d'interprétation. Elle donne donc une large liberté au lecteur qui peut exprimer son

Dalila et bien d'autres encore. On va maintenant vous présenter une œuvre de Camille Saint-Saëns : Danse Macabre. Il illustre un poème d'Henri Cazalis, évoquant une danse de squelettes au rythme du violon. Trois thèmes sont développés : l'un rythmique, exposé par la flûte ; le second mélodique, énoncé par le violon solo ; enfin, la citation duDies irae Les thèmes se mêlent parfois, variant de tempo et d’intensité. Cette œuvre est joué par seulement un orchestre symphonique. Tous les instruments

tonique. -coupes: point de séparation de deux groupes rythmiques. -coupe lyrique: dans les vers classique, Racine -Cas du « e » muet: il n'est pas prononcé devant une voyelle et ne compte pas à la fin d'un vers. -synérèse: la semi consonne compte pour 1 syllabe. -diérèse: la semi consonne compte pour 2 syllabes. -Cadence: syntaxe ou le ton général du texte obligent à des accélérations ou à des ralentissements qui font varier la régularité rythmique. -Enjambement: simple débordement des groupes de