Réforme De Clisthène

le mouvement du politique ne peut être qu’une puissance pervertie et pervertissante. Le rôle du discours politique et de sa pratique est, donc, théoriquement parlant, comme nous venons de 20 Tout indique que ce concept apparaît à l’époque de Clisthène (-408) en Grèce. Le concept de Thymos veut dire dignité et estime de soi-même. Wikipedia en anglais nous dit : « The word is also used to express the human desire for regonition ». Rappelons, toutefois, que ce mot signifie d’abord l’âme et le coeur

d’autres auteurs vont au contraire prôner l’égalité stricte où tous les citoyens doivent avoir une égale participation aux procédures de décision et de nomination. C’est ainsi que se développe l’élection et le tirage au sort. On peut notamment citer Clisthène. C’st là que commence à naitre l’idéal démocratique. Au VIe siècle, d’autres penseurs vont estimer que cette nouvelle philosophie va à l’encontre de l’ordre naturel des choses. Ces auteurs pensent notamment que la démocratie menace l’intelligence

rapidement son apogée. Athènes connaissait alors la période la plus brillante de son histoire : les guerres médiques lui avaient permis d'asseoir son hégémonie sur les autres cités grecques et d'être à la tête de la ligue de Délos (477) ; les réformes politiques de Clisthène et d'Ephialtès avaient contribué à instaurer un régime de démocratie directe ; Périclès (5) avait poursuivi leur action (entre 460 et 429), renforcé la puissance athénienne et il s'était mis à embellir la cité de nombreux temples et monuments

résistance à la divinisation d’Alexandre, mais non pas fait pas une résistance radicale. Son acclimatation a été permise du fait de certaines situations : * Dans la tradition grecque, a persisté le mythe du grand homme, le grand réformateur (Solon, Clisthène). * Par ailleurs, la philosophie de Platon et d’Aristote avaient contribué à une sorte de mythe philosophique autour du législateur parfait, qui serait une loi vivante (possèderait à la fois la science du philosophe= vérité et, qu’il serait investi

l’autorité d’un homme, qui œuvre pour le bien de tout le monde. Aux VIIème et VIème siècles av J.C., le monde grec connaît « l’âge des tyrans », qui est aussi celui des législateurs. Dotés de pleins pouvoirs, ils se chargent de défendre la cité et de réformer son droit. Venus le plus souvent de l’aristocratie et donc richement pourvus, ils entendent rétablir l’ordre et la paix sociale dans des villes, qui s’adaptent difficilement à l’essor économique et aux crises sociales qui en résulte. Toutefois, le

rapidement son apogée. Athènes connaissait alors la période la plus brillante de son histoire : les guerres médi¬ques lui avaient permis d'asseoir son hégémonie sur les autres cités grecques et d'être à la tête de la ligue de Délos (477) ; les réformes politiques de Clisthène et d'Ephialtès avaient contribué à instaurer un régime de démocratie directe ; Périclès (5) avait poursuivi leur action (entre 460 et 429), renforcé la puissance athénienne et il s'était mis à embellir la cité de nombreux temples et monuments

volontairement donnée ici de manière concise pour rendre apparente l’articulation du devoir. Plusieurs notions demanderaient normalement des définitions ou des précisions. Introduction Le régime démocratique mis en place à Athènes à partir des réformes de Clisthène (fin du VIe siècle avant notre ère) n’est peut-être qu’une parenthèse dans l’Histoire. Malgré les efforts des Athéniens, sa diffusion est restée limitée au sein du monde grec. En outre, l’indépendance d’Athènes prenant fin avec l’avènement

les agitations sociales, de Grands Législateurs composent les lois. Ces Grands Législateurs sont acceptés par le peuple, ils sont illustres. C’est par exemple le cas de Dracon à Athènes. Sa législation se trouve adoucie par celle de Solon, puis de Clisthène pour formuler le droit de la Cité. Leur œuvre n’est plus divine. Cette législation, ce Nomos, va donner à Athènes une très grande autorité et poser les bases de la Cité démocratique. B. L’impression démocratique Dans la Cité démocratique

régime politique qui est appelé communément Principat et qui reposait sur le pouvoir personnel du princeps (le premier des citoyens). Le passage de la République à l’Empire constitue une donnée fondamentale qui a déterminé pour une bonne part les réformes sociales, administratives, militaires et religieuses du Ier siècle après J.-C. Bibliographie : Les titres ci-dessous permettent une approche de la question, une bibliographie complète sera fournie lors des premiers cours. Pour aborder le programme

s’est traduit par une hausse du nombre des divorces ou des séparations. De 44 738 divorces en 1972, leur nombre a oscillé entre 105 000 et 120 000 entre 1990 et 2002, puis a augmenté entre 2002 et 2007 (avec un pic de 155 253 en 2005, suite à la réforme du divorce du 26 mai 2004 8) pour diminuer légèrement depuis et se situer à 132 977 en 2011 et 128 371 en 2012 9. À la baisse du nombre des mariages et à l’augmentation du nombre des divorces s’est ajoutée une croissance des « unions libres », en