Réformes Budgétaire

succès de leur politique de lutte contre l'implantation du communisme sur le continent américain, les États-Unis vont intervenir dans la politique intérieure des États d'Amérique latine. En 1951, le président du Guatemala entame un programme de réforme agraire et d'indépendance économique par rapport aux États-Unis. Ces derniers le considèrent alors comme dangereux. Ils manœuvrent pour l'accuser d'être communiste et participent au renversement du régime en 1954. Une dictature militaire est mise

majuscule. La réforme grégorienne est une politique menée sous l'impulsion de la papauté. Commencée sous le pontificat du pape Léon IX, elle entend entreprendre le redressement de l'Église, mais c'est le pape Grégoire VII (1073-1085) qui a laissé son nom à la réforme. Elle comporte trois projets principaux : - Affirmation de l'indépendance du clergé : les laïcs ne peuvent plus intervenir dans les nominations, ce qui entraine des conflits entre le pape, les rois et les empereurs - Réforme du clergé :

esprit scientifique et technique pour y parvenir. Ils sont intéressés par l'étude de l'homme, de son rapport à Dieu, de sa place et son action sur le monde. Par leur réflexion, ils contribuent à l'entrée de l'Occident dans la modernité. I. La réforme protestante et ses réformateurs : un nouveau regard sur la religion 1. Un climat religieux favorable : le développement d'une volonté de retour aux sources du christianisme • La pensée des humanistes et des réformateurs s'est développée durant

gouverne protestant royaume Bohème. Saint Empire=regroupement entités politiques sur lesquelles l’empereur a + ou - le contrôle. Dans contexte, nommer dirigeants catholiques=moyen d’assurer cohésion. * Ferdinand 2 veut donner suite à la contre-réforme et redonner une place prépondérante au catholicisme. Ordonne de faire raser un temple protestant à Prague. Bcp+ nombreuse que pop. catholique, pop. protestante=colère et se sent trahi par l’empereur, qui décide de soutenir le roi de Bohème. *

Les réformes religieuses I - L'initiateur de la réforme : Martin Luther est né le 10 novembre 1483 à Eisleben, dans un monde plein de changements et d’inventions (découverte de l’Amérique, imprimerie par Jean Gutenberg…). Il est le fils d’un fermier qui déménage d’Eisleben à Mansfeld et change de métier grâce à l’achat de parts dans des mines de cuivre. Dès 1491, sa famille est une des familles les plus populaires à Mansfeld et Martin reçoit une bonne éducation et fait des études de droit

fossé va largement se creuser entre des riches toujours plus riches, des pauvres toujours plus pauvres. Lorsque disparaît cet entre deux, la cité est mure pour la guerre civile. Le seul moyen d'éviter cette guerre civile, il aurait fallu engager des réformes qui permettent de nouveau la création de cette indispensable classe moyenne. C'était compter sans l'égoïsme viscérale de la majorité de la classe dirigeante et lorsque cet égoïsme vient à obscurcir l'intelligence, on peut craindre le pire. La

VII ( 1073 – 1085 ) pense que toutes les critiques que l'on peut faire à l'église sont dues à l'investiture laïque qui permet aux empereurs et aux rois de nommer les évêques et les abbés sous prétexte qu'ils sont aussi seigneurs féodaux. Avec sa réforme grégorienne, le pape Grégoire VII interdit cette méthode et s'oppose à l'empereur du Saint-Empire. Ses successeurs, poursuivent cette lutte pour l'indépendance de l'église vis-à-vis des seigneurs laïcs et le renforcement de l'autorité du pape. Sous

L’urgence de faire avancer la sixième reforme de l’État Plus personne ne parle des dossiers institutionnels et c’est très bien ainsi ? Non ! Lorsqu’elle entrera en application, la sixième réforme de l’Etat aura des répercussions très concrètes pour tous les citoyens. Elles seront visibles, par exemple, sur les feuilles d’impôts de chacun. Les Régions disposeront en effet de l’autonomie fiscale et prélèveront donc, comme le font déjà les communes, des centimes additionnels à l’impôt des personnes

connut un véritable succès de son vivant, et influença nombre de grands peintres après lui, comme en témoigne l'apparition du courant du Caravagisme. Analyse : On peut y voir le symbole de la Vertu triomphant du mal et un parallèle avec la contre-réforme catholique en cours combattant l'hérésie à l'époque où ce tableau est peint. Elle présente un puissant jeu chromatique entre ombre et lumière, grâce à un violent éclairage latéral traversant la scène. Le peintre y exprime toute sa maîtrise de la

inacceptables pour l’église. Un autre mouvement apparait et consiste a rendre le coté noble de l’église en canalisant la violence du monde féodal en interdisant les combats le jour du dimanche. La différence se fait sentir lors de la réforme Grégorienne ; cette réforme est importante pour comprendre le lien entre le pouvoir et l’église. En 1175, Grégoire VII écrit un texte qui s’appelle « dictatus papae » avec comme premier acte posé la primauté de la papoté romaine sur l’empereur. Le pacte est accepté