Réformes Napoléon

LA REFORME ET LA CONTRE-REFORME : LA NAISSANCE DU BAROQUE A partir ou il y a un événement important dans le domaine religieux, il y a aussi un changement dans le monde de l’art qui suit. D’un côté, la réforme correspond à un retour aux sources, à la Bible, à l’ancien testament, interdit de l’idolâtrie. Le protestantisme va s’opposer à cela. La contre réforme, qui est la réaction de l’Eglise pour empêcher le développement du protestantisme, veut au contraire développer la dimension artistique.

veulent nommer les évêques, les clercs paient pour obtenir un poste important. La règle du célibat est bafouée par des prêtres vivants comme des laïcs avec femme et enfants. B. La réforme grégorienne Clercs et laïcs. Pour lutter contre ces abus, une réforme de l’Église s'engage au XIème siècle. Appelée réforme grégorienne, du nom du pape Grégoire VII, elle vise à restaurer la dignité et l'autorité du clergé, en le séparant plus nettement des laïcs. Le mot Église tend alors à désigner le clergé

a dit que le baroque monumental était un style que la papauté pouvait instrumentaliser, comme le firent les monarchies absolues, en imposant une voie d’expression à même de restaurer son prestige, au point de commencement symbolique de la Contre-Réforme catholique. Que ce fût ou non le cas, son développement eut du succès à RomeNote 4 où l’architecture baroque renouvela largement le centre-ville ; peut-être la plus importante rénovation urbanistique. Le terme « baroque » dans son sens actuel, comme

: - Simonie : achat de biens spirituels - Querelle des investitures : conflits entre les empereurs germaniques et l’Eglise à propos de la nomination des évêques. Jusqu’au XIe siècle, les empereurs nommaient les évêques donc le contrôler. Avec la réforme grégorienne, le Pape entend récupérer le pouvoir. - Usure : intérêt que produit l’argent prêté. Jusqu’à la fin du Moyen-âge, l’Eglise enterrait la pratique de l’usure (cette activité repose sur la notion de temps, ce qui n’appartient qu’à Dieu).

esprit scientifique et technique pour y parvenir. Ils sont intéressés par l'étude de l'homme, de son rapport à Dieu, de sa place et son action sur le monde. Par leur réflexion, ils contribuent à l'entrée de l'Occident dans la modernité. I. La réforme protestante et ses réformateurs : un nouveau regard sur la religion 1. Un climat religieux favorable : le développement d'une volonté de retour aux sources du christianisme • La pensée des humanistes et des réformateurs s'est développée durant

financer la construction d'églises ou de monastères pour se faire pardonner leurs péchés. 95 % de la population est analphabète et n'a qu'une éducation religieuse sommaire donnée par des prêtres qui ne sont pas tous très lettrés (surtout avant la réforme grégorienne). L'Église crée le purgatoire au XIe siècle : un lieu où les âmes pécheresses, mais pas trop mauvaises, séjournent le temps de se faire pardonner et d'aller au paradis. Les croyants sont tout d'abord regroupés par paroisses qui correspondent

décédé le 28 février 1551 à Cambridge, est un théologien et un réformateur protestant alsacien. Il est à l'origine de la confirmation protestante. Humaniste, intellectuel et théologien original, Martin Bucer est l'une des figures de proue de la Réforme protestante au xvie siècle, même s'il n'a pas bénéficié de la postérité d'un Zwingli, d'un Calvin ou d'un Luther. Grand admirateur de ce dernier, Bucer est présent à la dispute de Heidelberg en 1518, ainsi qu'à la plupart des grandes discussions théologiques

décédé le 28 février 1551 à Cambridge, est un théologien et un réformateur protestant alsacien. Il est à l'origine de la confirmation protestante. Humaniste, intellectuel et théologien original, Martin Bucer est l'une des figures de proue de la Réforme protestante au xvie siècle, même s'il n'a pas bénéficié de la postérité d'un Zwingli, d'un Calvin ou d'un Luther. Grand admirateur de ce dernier, Bucer est présent à la dispute de Heidelberg en 1518, ainsi qu'à la plupart des grandes discussions théologiques

de bizance dirigeant du clergé d’orient. En 1054, le clergé d’orient rejette définitivement l’autorité du pape, c’est ce que l’on appelle le schisme. Dès lors, le pape va renforce son autorité. D’ailleurs au 11 eme siècle Grégoire 7 entreprend la réforme grégorienne, pour rétablir la sacralité en mettant un terme au : Nicolaïsme : vie en concubinage Simonie : la vente des indulgences Il s’agit aussi d’une église qui exclu, lorsque qu’un individus ne respectent pas les règles de la religion, ils

Le monachisme (clunisiens auxquels s'ajoutent cisterciens, dominicains et franciscains) multiplie les abbayes. C'est à travers cette multiplication que la société commence à ressentir l'ampleur que prend l'Eglise à cette époque. Au XIe siècle, la réforme Grégorienne (du pape Grégoire VII) à uniformisé les pratiques (sacrement gratuit et célibat obligatoire). La chrétienté connaît cette phase d’expansion dont témoigne également l'architecture des bâtiments (églises romanes et gothiques), cela prouve