Régularisation Marchés Financiers

premier lieu insister sur l'importance de l'explosion du financement externe direct depuis les années 80 et le risque systémique subséquent. J'insisterai aussi sur la suprématie de la logique financière résultante de l'exposition croissante aux marchés (OPA, OPE...), la recherche de rendements plus importants pour les entreprises au détriment des investissements, le gonflement artificiel des dividendes, la spéculation sur les monnaies qui pénalise parfois les entreprises (Airbus). La logique financière

Le phénomène de la mondialisation, est un processus d’ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu mondial. Elle a connu un grand essor après la seconde guerre mondiale grâce à l’explosion des échanges économiques des entreprises à travers le monde. La principale motivation à l’internationalisation des entreprises est l’accroissement de la compétitivité prix et de la compétitivité structurelle. Renforcé par le modèle économique du libéralisme, cette mondialisation fabrique une

marché financier Dans sa généralité, c’est un marché sur lequel s’échangent des capitaux. Il est subdivisé en 2 : le marché monétaire : offre et demande de capitaux à court et moyen terme le marché financier : offre et demande de capitaux à long terme. Le support est la valeur mobilière ; de ce fait, il a recours à l’épargne public. Les intervenants Les investisseurs (demandeurs de capitaux) Ils représentent la demande. Ce sont des personnes morales qui ont besoin de financer des

LES MARCHES FINANCIERS SONT ILS EFFICIENTS ? Sommaire : I. Efficience des marchés financiers : limites et ouverture A. Théorie de l’efficience des marchés financiers B. Remises en causes empiriques de la théorie de l’efficience II. Régulation et marchés financiers A. Modalités et objectifs d’une taxe sur les transactions financières B. Remise en cause de la globalisation financière Introduction : • Jean Claude Trichet, Ex-président de la BCE dans un Entretien au Monde du 18 novembre 2009:

placement (investisseurs) Le marché Boursier est donc scindé en deux. Le marché primaire est celui des émissions de titres. Il met en relation les agents à besoin de financement c'est-à-dire les entreprises, les collectivités locales et l’Etat qui émettent des produits financiers (actions, obligations et autres produits), et les agents à capacité de financement, les épargnants, se sont essentiellement les ménages qui les souscrivent. C’est l’allocation du Capital. Le marché secondaire ne concerne que

Qu’est-ce que la Bourse ? Une bourse est un marché sur lequel se négocient des valeurs mobilières. Les émetteurs y offrent des titres que les investisseurs achètent ; ces derniers financent alors les agents économiques que sont les émetteurs. CHAPITRE 1 1 Définition La Bourse appartient au marché financier. On appelle marché financier, le marché des capitaux à long terme sur lequel se négocient des valeurs mobilières. Une valeur mobilière est un ensemble de titres émis par une personne

important que la Grèce, la Californie par exemple, sont en quasi-faillite, les marchés financiers ont décidé de spéculer sur les dettes souveraines de pays européens, tout particulièrement ceux du Sud. L’Europe est de fait prise dans son propre piège institutionnel : les États doivent emprunter auprès d’institutions financières privées qui obtiennent, elles, des liquidités à bas prix de la Banque Centrale Européenne. Les marchés ont donc la clé du financement des États. Dans ce cadre, l’absence de solidarité

générale : Le secteur bancaire marocain est devenu moderne et efficace, avec une forte présence des banques françaises. Il a connu un mouvement de concentration significatif aujourd’hui une licence d’exploitation mais sept banques contrôlent le marché. Le principal acteur est constitué par Attijariwafa. Viennent ensuite le réseau public des Banques Populaires, la BNPE et des banques contrôlées majoritairement par des actionnaires étrangères, parmi les quelles la BMCI (filiale de BNP Paribas) et

organismes financiers américains à une grande partie de la population américaine. Ces prêts à taux variable sont donc réévalués légalement chaque année. C'est pourquoi, en 2007, le début de la crise a vu augmenter les taux d'intérêts. Finalement, les ménages aux revenus modestes ayant bénéficié (hélas) de ces crédits ne peuvent plus payer et rembourser leur emprunt : C'est le début de la crise des Subprimes. S'annonce alors une réaction en chaîne de chute des marchés financiers dû à l'inquiétude

des flux financiers internationaux Deux évolutions majeures sont à souligner : une forte augmentation des flux de capitaux à l'échelle mondiale et la déconnexion progressive des flux réels et financiers. a) L'augmentation des flux financiers L'augmentation du montant des actifs financiers circulant dans le monde a été exceptionnelle depuis le début des années 1980 (voir graphique 1). Ces capitaux représentaient en 2006 plus de 350 % du PIB mondial. Graphique 1 : Poids des actifs financiers totaux*