Répartition Des Richesses

Chapitre 3: La répartition I La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée -Valeur ajoutée: solde du compte de production => VA=P-CI Richesse effectivement crée pas les organisations productives. On retranche les CI pour éviter de comptabiliser dans le production deux fois la meme chose. C’est une ressource pour les paganisations productives, son emploi: -Répartition -Ce qui est emploi pour les organisations productives est ressource pour les autres agents économiques.

l’économie ? 1.1 Des faits L’économiste étudie l’humanité dans les choses ordinaires de la vie, portant un interet sur la production, la repartition. Nous évoluons au sein d’une société dite « capitaliste » dont le seul but est le profit. Domaine d’étude de l’economiste : Production Investissement Emploi Chômage Consommation Repartition Protection Sociale Environnement Formation, qualification Division du travail (DIT) Competitivité

significatif va se creuser entre l’Europe de l’Ouest et le nouveau monde (Amérique), d’une part, et le reste du monde d’autre part (cf tableau 1). Nous pouvons donc constater qu’entre le début du 19ième siècle et la fin du 20ième siècle, les écarts de richesses n’ont pas cessé de se creuser accentué par le processus de colonisation qui bloque tout décollage industriel dans les territoires conquis surtout en Asie et en Afrique. En effet, le PIB par habitant au USA, par exemple, a été multiplié plus de vingt

12 Théories économiques de la croissance et des crises Chapitre 1 : Accumulation du capital et loi des débouchés I – Accumulation du capital et croissance A) Richesse et travail productif selon Adam SMITH 1) Introduction Adam SMITH était un philosophe ; c’est le père fondateur de la pensée économique. Dans un livre intitulé “La théorie des sentiments moraux”, il a d’abord cherché quels étaient les principes de justice permettant aux hommes de ne pas passer leur temps à se battre. Il va écrire

L’AMELIORATION DU NIVEAU DE VIE ET LE DÉVELOPPEMENT ECONOMIQUE I. L’AMELIORATION DU NIVEAU DE VIE A. PRODUCTION, CREATION DE RICHESSES ET CROISSANCE La croissance économique correspond à « l’augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en terme réels » (F. Perroux). La croissance est donc appréhendée comme un phénomène quantitatif, et l’indicateur de dimension généralement retenu est

Plus de 6 milliards d’hommes sur la Terre I. Quels sont les contrastes de richesse et de peuplement dans l’ouest méditerranéen ? La richesse globale des pays du nord de la Méditerranée se traduit par la richesse des habitants, des conditions sanitaires meilleures visibles par l’espérance de vie élevée et une mortalité infantile faible. Ce haut niveau de développement est caractérisé par un accroissement faible. Inversement les pays du Maghreb sont plus pauvres, plus féconds et ont de moins bonnes

grande satisfaction des besoins individuels des populations. Lorsque des richesses sont crées au sein d’un pays, celui- ci pourra faire en sorte de satisfaire les besoins fondamentaux des populations (logement, accès à l’eau), ce qui se traduit par une élévation du «  niveau de vie ». L’Inde vérifie bien ce raisonnement. Sa croissance augmentant depuis 25 ans, on remarque que sa population a accédé à l’eau potable. Les richesses de la croissance économique permettent donc à l’IDH de s’accroitre considérablement

L’obsession des métaux précieux Ce qui intéresse les aventuriers espagnols, ce ne sont pas les pays abondamment approvisionnés en matières premières mais régions où il y a beaucoup d’or et d’argent. Les erreurs des mercantilistes espagnols Ils confondent richesse et détention d’or et d’argent. Au niveau national, possession de monnaie n’est pas égale à capacité d’acquisition. 2/ Le mercantilisme français : Jean Bodin et l’analyse de l’inflation Jean Bodin met en évidence une relation entre quantité de monnaie

marchand. Le mercantiliste n'est donc pas de l'économie politique c'est de la politique économique. La finalité officielle de cette politique économique, est que le pouvoir du prince, la puissance de l'État augmente. Le moyen préconisé, est que la richesse économique de cet État augmente. Cette idée selon laquelle la puissance politique d'un État passe par la puissance économique de ce même état est totalement nouvelle. Elle signifie premièrement que l'économique est indépendante de la morale

(Antiquité) (Polis en grecque). Il distinguait l'économique (administration des biens sachant que les biens étaient évalués en nature. (nombre d'objets). Plus on possédait de choses, plus on était riche selon lui.) de la Drématistique (production des richesses qui concernent les biens évalués en argent dont il faut se méfier et condamner le prêt à intérêt). 2) Aujourd'hui, la discipline économique s’intéresse peu à l'économie domestique et porte d'avantage sur le cadre dans lequel se déroule les activités