Réquisitoire Contre La Guerre

leurs". montre une symétrie, ainsi que "elles ont commencé à se haïr ; vus vous êtes égorgés pour elles", mais aussi une réciprocité des tournures. Il y a doubles victimes, les tahitiennes et les européens. Le vieillard utilise le vocabulaire de la guerre pour décrire les actes des européens, qui entrent dans un monde de paix. La civilisation dite sauvage a eu un comportement exemplaire alors que les européens ont emmené haine et violence avec eux. I y a aussi la distinction du tien et du mien. Les

aimerait en savoir plus long et exige des précisions. Cela oblige Las Casas à argumenter et illustrer son propos. Donc, le registre est non seulement pathétique mais aussi didactique. 1. Premier moment de la plaidoirie : un réquisitoire contre les Européens. Thèse du réquisitoire : les Européens exterminent les Indiens : « Car, c’est la vérité, nous sommes en train de les détruire ». P. 30 à 38. Trois arguments : les Espagnols « n’ont pas cessé d’asservir, de torturer, de massacrer les Indiens »

propositions relatives à l’information judiciaire, sélectionnez celles qui sont exactes.la mise en examen nécessite l’existence de raisons plausibles de soupçonner la participation du mis en cause à une infraction. l’instruction est ouverte par suite d’un réquisitoire introductif pris par le parquet. 8. – Parmi ces décisions, indiquez celles par lesquelles un juge d’instruction peut clore son information judiciaire :la mise en accusation (ou le renvoi)le non-lieu. 9.

et de nuit. » Cette œuvre poétique est l'un des points de départ de la négritude. Aimé Césaire poursuivra sa dénonciation du racisme et du colonialisme avec son Discours sur le colonialisme. « ma négritude n'est pas une pierre, sa surdité ruée contre la clameur du jour ma négritude n'est pas une taie d'eau morte sur l'œil mort de la terre ma négritude n'est ni une tour ni une cathédrale » « l'homme-famine, l'homme-insulte, l'homme-torture on pouvait à n'importe quel moment le saisir le rouer

Introduction Le document est un extrait tiré du livre premier de l’ouvrage de Flavius Josèphe, nommé Guerre des juifs et s’attardant sur la relation d’Hérode et Auguste. L’auteur, Flavius Josèphe, de son vrai nom Joseph Ben Matthias, est né vers 37 en Judée. Il participe à la guerre des Juifs contre les Romains lorsqu’il se retrouve commandant des forces révoltés en Galilée. Assiégé par Vespasien, il monte une ruse pour échapper au suicide collectif

à une communauté qui risquerait d'en être blessée. Ils commettent malheureusement de ce fait une grossière erreur d'interprétation. Il suffit en effet de se référer à la version originale de cette phrase prononcée par Pierre Desproges lors d'un réquisitoire du "Tribunal des flagrants délires" pour constater que ses motivations étaient fort différentes : Alors le rire, parlons-en et parlons-en aujourd'hui, alors que notre invité est Jean-Marie Le Pen. Car la présence de Monsieur Le Pen en ces lieux

qui ne connaissent pas la société qu'ils découvrent, offrant ainsi un point de vue objectif et totalement extérieur ; comme dans Micromégas de Voltaire où des habitants des planètes Sirius et Saturne sont confrontés sur Terre à la question de la guerre. On retrouve ce détour par l'autre dans Le Monde comme il va également de Voltaire dans lequel il choisit de placer son récit en Orient dans une époque éloignée. Il peint de cette société les vices et les biens, en passant par le regard de Babouc

Paragraphe 3 : • Périphrase « ce mandrin juif ». Mandrin était un bandit français. Cette question ranime l’horreur du comportement de David. • David était juif. Les Amalécites étaient des juifs qui détruisirent les villages de David. David veut faire la guerre aux Amalécites et cela est justifiable.  Voltaire ne justifie pas les faits. Il pose les conséquences. Le lecteur déduit lui même des exactions de David, en réalité inexistantes.  Voltaire désacralise. Paragraphe 4 : • Suppression des causes

restent une actualité. La poésie engagée ne permet plus seulement au poète d’exprimer ses sentiments mais il agit pour transformer la société. Comme par exemple le Dernier Jour d’un condamné de Victor Hugo publié en 1829, qui constitue un réquisitoire politique pour l’abolition de la peine de mort, on peut reconnaitre à l’œuvre sa valeur de plaidoyer et sa puissance romantique : « Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de

devient l'alliée de Figaro et le Comte se retrouve seul dans la quête de son désir. Elle accueille Suzanne avec tendresse à la scène 17 de l’acte III : « Embrasse ta mère ma jolie Suzannette ». Son côté féministe la pousse à se lancer dans un réquisitoire contre le pouvoir des hommes et dans un plaidoyer pour les femmes. Elle dénonce une Au XVIIIème siècle, la femme dépend entièrement de son mari et si les hommes peuvent tromper leurs femmes, celles-ci doivent rester vertueuses. Et d’après Madame