Réquisitoire Le Cid

civilisation. Ils discutent ensuite des « conventions de la vie amoureuse » (fidélité, pudeur…) en vigueur en Europe, en les comparant à la nature. Ensuite, les compagnons poursuivent sur les conséquences négatives de ces lois, qui sont suivies d’un réquisitoire contre les sociétés européennes qui ont rejeté les lois naturelles, faisant de l’homme civilisé un être malheureux. Le beau temps revient, marquant la fin de la discussion et la poursuite de leur promenade. III. LES PROTAGONISTES DU SUPPLÉMENT

pour ne pas trahir les préceptes maternels. Cette œuvre est considérée comme le premier roman moderne de la littérature française. • Une tragédie de Corneille ou un autre tragédie de Racine : A choisir parmi les titres suivants. Le Cid (Corneille, 1637), Horace (Corneille, 1640), Andromaque (Racine, 1667), Bérénice (Racine, 1670). • Une autre comédie de Molière : Le Misanthrope (Molière, 1666), Les Femmes savantes (Molière, 1672), Dom Juan (Molière, 1665). XVIIIe

il cite plusieurs grands auteurs dont Corneille et Racine dont le talent fut contraint de respecter ces règles classiques. Corneille tenta de combattre contre ce qui entravait son inspiration mais se résigna à faire du Cid " ce qu’il fallait qu’il soit ". Mais qu’aurait été le Cid, sans les retouches qu’il fut obligé d’apporter ? Quel chef d’œuvre véritable aurait-il été, se demande Hugo. De plus ces dramaturges ne furent pas les premiers à se soulever contre ces règles, d’autres avaient déjà prouvé

défaut de bon goût, de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L’attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C’est toujours un spectacle misérable que de

que le registre polémique ? « Polémique »vient du grec « polemos », la guerre. Ce registre se caractérise par une agressivité exprimée par le locuteur qui cherche à discréditer violemment la thèse à laquelle il s’oppose. 13) Qu’est-ce qu’un réquisitoire ? Tout discours dont l’objectif est d’accuser. 14) Qu’est-ce qu’un plaidoyer ? Tout discours dont l’objectif est de défendre. 15) Qu’est-ce qu’un pamphlet ? C’est une œuvre brève violemment polémique qui tourne en dérision une personnalité

mort, un animal, un personnage imaginaire ou une chose personnifiée récuser : refuser d’accepter (en tant que juré, expert ou témoin), contester, n’accorder aucune valeur registre : tonalité propre, caractéristique d’une œuvre ou d’un discours réquisitoire : thèse développée contre quelqu'un ou quelquechose stigmatiser : blâmer, flétrir publiquement, dénoncer violemment (quelquechose) trivial : très commun, courant, d’une simplicité et d’une évidence qui ne satisfont que les esprits peu instruits

défaut de bon goût, de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l’art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L’attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C’est toujours un spectacle misérable que de

défaut de bon goût, de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l'art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L'attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C'est toujours un spectacle misérable que de

disant toujours un peu plus que le précédent), soit descendante (mot disant toujours un peu moins que le précédent). La gradation est habituellement constituée d’au moins trois termes. Exemples : «  Va, cours, vole et nous venge ! » – Corneille, le Cid « Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. » – La Fontaine Hyperbole Il s’agit d’exagération des faits, d’une idée, afin de frapper le lecteur. Exemples : « Les Français ont frappé avec cœur et force. / Les païens sont morts

défaut de bon goût, de la conviction à défaut de talent, des études à défaut de science. Il se bornera du reste à des considérations générales sur l'art, sans en faire le moins du monde un boulevard à son propre ouvrage, sans prétendre écrire un réquisitoire ni un plaidoyer pour ou contre qui que ce soit. L'attaque ou la défense de son livre est pour lui moins que pour tout autre la chose importante. Et puis les luttes personnelles ne lui conviennent pas. C'est toujours un spectacle misérable que de