Réquisitoire Meurtre

Droit I. Faits et procédures 1) Les Faites Le Président mène le débat, il rappel les faits avant de procéder aux différents interrogatoires : Les Accusations envers le prévenu sont graves, tentatives de meurtre sur la personne de sa mère. Les Faits se sont déroulés dans la soirée du 25 mars 2009 à 18h30. Le prévenu, un homme d’une quanrantaine d’années vivant chez sa mère, a frappé à plusieurs reprises cette dernière armé d’un tisonnier, il lui a infligée 7 à 8 coups partout sur le corps

met en scène Meursault, un « héros » indifférent au monde qui ne parvient pas à donner un sens à son existence et qui éprouve ce sentiment de l’absurde à travers sa vie monotone. Condamné pour un meurtre qu’il a commis malgré lui, il assiste passivement à son procès. Après avoir entendu le réquisitoire sans appel du procureur, il écoute la plaidoirie caricaturale de son avocat qu’il ne semble pas comprendre  et le récit d’un procès devient lui-même procès. Comment le décalage entre l’attitude de

Écriture d’invention : "20 ans plus tard, Marie écrit aux juges qui ont condamné son père. Vous ferez de cette lettre un réquisitoire contre la peine de mort." Marie 9 décembre, 1849, Paris. 25, rue de la justice Monsieur les juges, Je viens vers vous aujourd’hui, fille de celui que vous même avez mis à mort il y a vingt ans de cela, pour vous exprimer ma souffrance éternelle et mon immense colère

Introduction au Droit pénal général Cas pratique : Distinctions : Assassinat, Meurtre et homicide: L’homicide est le fait de donner la mort à un être humain, on distingue l'homicide volontaire et l'homicide involontaire. Meurtre : c'est un homicide volontaire Assassinat : meurtre avec préméditation Distinctions : Accusé, prévenu, inculpé (personne mise en examen) : Accusé : personne qui est poursuivie devant la Cour d'assises Prévenu : personne poursuivie devant un tribunal correctionnel

du « meurtre » du fils Calas et les conditions du procès de Jean Calas. Il effectue une démonstration implacable, qu’il met au service d’une dénonciation de la justice du XVIII° siècle. 1. Termes du texte difficiles : l.12-13 « Lavaisse » : jeune ami de la victime, invité à souper chez les Calas le soir du drame. l.17 « zélée » : qui manifeste une vive ardeur à servir la cause de Dieu et de la religion. l.21 « conversion » : fait de se convertir, de changer. l.27 « parricide » : meurtre du père

rhétoriques sur la guerre puis commence à y répondre afin de diriger la pensée du lecteur vers l’horreur de la guerre pour justifier son refus, sa haine et son dégout pour celle-ci. Dans ce texte, par le biais du personnage de Bardamu, Céline fait un réquisitoire contre le concept de la guerre. Il la nomme « Horreur », allégorie qui signifie insupportable, insoutenable à voir. « On est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté » est une comparaison basée sur une antithèse. En effet, l’auteur compare

L'étranger – Albert CAMUS Première partie : Le meurtre Le livre commence par la réception d'un télégramme annonçant la mort de la mère de Meursault. Après son retour des funérailles, Meursault décide d'aller à la piscine, où il rencontre une ancienne collègue du bureau, Marie, dont il (re)tombe amoureux. Le lendemain, en retournant du travail, Meursault introduit dans son récit quelques voisins de paliers dont Raymond, qui lui sollicite son aide en lui demandant conseil pour une histoire

satire est d'autant plus sensible parce qu'on a des expressions fleuries. Meursault s'est rendu coupable d'un crime sans en connaître véritablement le motif. Il semble assister en spectateurs à son propre procès, retranché en lui-même devant la réquisitoire du procureur qui lui reproche son insensibilité au moment de la mort de sa mère, mais aussi devant le plaidoyer de son avocat face auquel il semble aussi dubitatif. Meursault donne une image de passivité : la narrateur exprime son étonnement devant

tuer mais il a choisi pour ce faire le moyen le plus affreux : une hache. N’oubliez pas qu’il a terrassé M. Delacelle en lui assénant cinq coups de hache. Un seul n’aurait-il pas suffi ? Et tout cela pour quoi ? Mesdames et Messieurs les jurés, ce meurtre n’a été orchestré que pour une simple séparation entre deux hommes apparemment très proches. La mort de M. Delacelle ne serait justifiée que par cette séparation ! Bien sûr, vous avez entendu les dépositions des autres prisonniers : « Claude Gueux

journalistique. 11 Le roman d’Agatha Christie, Cinq Petits Cochons, est bâti sur la juxtaposition de cinq récits apparemment identiques, écrits par cinq suspects d’un vieux meurtre. Poirot, lecteur émérite, les superpose pour comprendre, onze ans après les faits, qui est l’assassin. Rashomon raconte quatre fois le même meurtre, mettant en scène à chaque fois un récit différent (le meurtrier présumé, la femme du mort, le mort luimême, un vieux prêtre). Il en découle une réflexion particulièrement intéressante