Réquisitoire Meurtre

dans les cinq dernières années. On relève qu'à New-York, trois cambriolages sur cinq, et trois vols de voitures sur quatre, sont le fait de ceux qu'on nomme « teen-agers », tandis qu'à Philadelphie, plus de la moitié des délits criminels, tels que meurtres, attaque à main armée, viols, incendies volontaires, sont l'oeuvre de moins de 18 ans. Fort heureusement, nous n'avons pas à déplorer en France de tels pourcentages, et si on considère qu'en 1847 10.000 mineurs de 16 ans furent traduits devant

sanction juridique a été minime. En effet, la qualification devant la cour d'assise a été «  destructions et dégradations de bien par un moyen dangereux commis en bande organisé » ce qui semble moin grave qu'une accusation de type « tentatives de meurtres » ou encore « homicide volontaire ». On voit donc que les conséquences des actes commis par des délinquants juvénile sont tout de même assez importe même si la sentence juridique parait plus douce.

nous montre une scène qui se déroule devant « la virtirne de chez Potin » - l’homme regarde tous les produits dont il a tant besoin. Puis, il se déplace vers un bistrot où il aperçoit des croissants et du café-crème. La dernière partie décrit le meurtre fait par cet « assassin », ce « vagabond ». C’est un fait divers qui est vraiment frappant – l’assassin tue pour ne pas voler que deux francs. Ce qui est remarquable dans le poème, c’est le manque de rimes (un vers libre) et de ponctuation. En

de personnage mythique (Goliath, Samson). Cette '' héros'', sans jugement moral, trouble et fascine en même temps, un être qui demeure inexplicable. Pourtant, son aspect sublimé présentes des facettes contradictoires: sa brutalité et sa colère ( meurtre, combat) face a ses paroles poétiques (il cite Hugo et Dante) bouleverse et perturbe le lecteur. Son raisonnement et sa lucidité mène à la constatation de son intelligence pourtant sa folie présente dérange. De plus Zucco porte un regard différent

à propos de l’éducation trop laxiste qu’elle donne à son fils. « Mais quelle éducation lui donnez-vous là, Madame Desbaresdes », (Chap1, p.15). « Je vous plains » (Chap5 p.75). Depuis le meurtre, qui a été un élément déclencheur, elle passe toutes ses fins de journées dans le même café où elle parle du meurtre et d’elle-même avec Chauvin rencontré dans ce même café. Anne est fascinée par la fusion de l’ « amour » et de la « mort » qu’elle voit dans le crime des amants. Le fait qu’Anne boive du

sommeil » : dans ces phrases, on ressent de l'émotion : Meursault exprime des sentiments personnels par rapport à une vie qui ne lui appartient plus. Ce souvenir de la plage est perçu comme lointain par Meursault (dans une vie antérieure, avant le meurtre) : le son vient de dehors : « jusqu'à », « à travers tout l'espace », espace relativement ample, la structure « pendant que ... -ait » a pour but de montrer que c'est un son qui met du temps à lui parvenir, la sonnette du marchand de glace symbolyse

C'est vrai qu'elle n'existe pas sous cette forme dans le code pénal par contre on trouve deux articles en faire allusion. L'article 222-1: « Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni de 30 ans de réclusion criminelle » et l'article 222-3: « Le meurtre commis avec préméditation constitue un assassinat. Il est puni de réclusion criminelle à perpétuité. Donc si je fais un bref résumé, l'euthanasie active est considérée comme étant un homicide et l'euthanasie

mère qui se regardent, au parloir, le "Au revoir, maman" perçu par Meursault pouvant sonner comme un écho au deuil qu'il a lui-même si bizarrement vécu ; et aussi dans l'article de journal lu et relu par Meursault dans sa cellule, où le récit du meurtre d'un fils par sa mère illustre, de façon mélodramatique et concrète, l'envers du crime dont on accusera principalement Meursault lors de son procès. - le soleil : Mer et soleil sont, dans la perspective de l'été, naturellement indissociables. Quand

de prendre de l'ampleur et d'infecter davantage notre société. A ces arguments s'opposent les points de vue des adversaires de la peine capitale. Tout d'abord ils soulignent que la peine de mort ne répare rien, qu'on ne peut pas compenser un meurtre par un autre, qu'elle ne rend pas la vie aux victimes et qu'elle assouvit tout au plus un désir de vengeance, certes subjectivement compréhensible, mais moralement répréhensible. En outre ils déclarent que chaque individu, donc aussi le criminel le

remarquais l’attitude d’un jeune homme qui paraissait affolé. Je questionnais l’une d’entre-elles pour en apprendre un peu plus sur ce qui venait de se passer. Le maire du village, Monsieur Marchand m’informa que Madame Boudin venait d’être victime d’un meurtre. J’entrais dans la maison et fut horrifié lorsque je vis cette femme allongée sur le sol en carrelage blanc, éventrée et la tête ensanglantée. L’homme était positionné près de la porte de la chambre et semblait paniqué. Un couteau de boucher était