Résume De Alcool Apollinaire

______________________ Sommaire ______________________ Tutorat suite ■ Correction du DM • Grille de notation du commentaire composé Repérages sur le texte 3 de Chamisso ■ Dostoïevski (1821-1881) • Biographie • Genèse du Double • Résumé du Double Repérages sur le texte 4 de Dostoïevski

comment la poésie a pu trouver dans l’amour une autre manière de considérer l’existence et d’habiter le monde. Ainsi s’explique que la relation amoureuse s’élargisse presque toujours dans les poèmes à des dimensions universelles : le corps aimé peut y résumer un paysage pour ouvrir au chant du monde, le lien des amants devenir l’utopie d’une communication qui les dépasse, ou la passion révéler une expérience du temps pariant sur l’intensité plutôt que sur la permanence. Si louange ou plainte on pu aussi

d’étude : La poésie Deux poètes entre tradition et modernité : Charles BAUDELAIRE et Guillaume APOLLINAIRE Texte n°1 : L’albatros (BAUDELAIRE) Texte n°2 : A une passante (BAUDELAIRE) Texte n°3 : Zone (BAUDELAIRE) Texte n°4 : Le pont Mirabeau (APOLLINAIRE) Texte n°5 : La chanson du Mal-aimé (APOLLINAIRE) Conclusion/Synthèse sur les Fleurs du Mal de BAUDELAIRE et Alcools de Guillaume APOLLINAIRE Objet d’étude : le Roman Séquence 1 : Du héros à la crise du personnage Texte n°1 :

y a-t-il rien qui vous élève Comme d’avoir aimé un mort ou une morte On devient si pur qu’on en arrive Dans les glaciers de la mémoire A se confondre avec le souvenir On est fortifié pour la vie Et l’on n’a plus besoin de personne Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 Elsa au miroir C’était au beau milieu de notre tragédie Et pendant un long jour assise à son miroir Elle peignait ses cheveux d’or Je croyais voir Ses patientes mains calmer un incendie C’était au beau milieu de notre tragédie Et

scène de Jean Meyer). Il mourut à Paris le 19 février 1951 d'une congestion pulmonaire Contexte littéraire Comme contemporains d'André Gide, on peut citer : Alain-Fournier (1886-1914), auteur de Le Grand Meaulnes ; Guillaume Apollinaire (1880-1918), auteur de Alcools ; Antonin Artaud (1896-1948), auteur de Théâtre et son double ; Jean Cocteau (1889-1963), auteur de Orphée ; Paul Claudel (1868-1955), auteur de Soulier de satin ; Paul Valéry (1871-1945), auteur de La Jeune Parque ; Pierre Louÿs

ordre moral, car ce serait encore plus ridicule que les efforts déployés au cours de ces quatre cents pages d’ennui pour nous convaincre - comme si nous l’ignorions ! - que notre époque va mal. Relisons simplement dans ce registre Sade, Mirabeau, Apollinaire, qui, eux au moins, savaient ce qu’écrire veut dire. Un livre impossible. Une source de polémiques. La critique abandonnait sa tiédeur et ses compliments convenus pour se diviser entre inconditionnels et contempteurs résolus. C’était tout ou rien :

fièvre jaune. » Ce discours tient à la fois du discours indirect (pour les transpositions personnelles et temporelles) et du discours direct (pour l’absence de subordination). Du fait de l’effacement de l’identité des locuteurs et de son caractère de « résumé », de récit de paroles, le discours narrativisé ressemble au récit. Mais il n’est pas possible de retrouver au mot près les paroles effectivement prononcées (celles du discours direct) : « il commença des explications sur les longitudes. » Le monologue

du |vous semblent réalistes ou non et indiquez pourquoi. | |Mal |Commentaire : Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou « L’Etrangère », Le | |- Apollinaire, « La Tzigane », Alcools |Roman inachevé | |- Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou |Dissertation : Dans son poème « Bohémiens en voyage », Baudelaire parle de

________________________-'-- Sciences sociales et humaines Du Monde 'entier ou les grands Elans créateurs du' lyrismecendrarsien , , Djah Célestin DADIE Université de Bouaké - Côte d'Ivoire Résumé Ecrivain de la modernité, Blaise Cendrars, a légué à la postérité une œuvre poétique à plus d'un titre savoureuse aussi bien par son contenu que par le mode d'exposition des vers dont il est souvent seul à savoir le secret. Dans le recueil inaugural Du monde entier, Blaise Cendrars jette

dernier vers qu'il s'agit de Paris, et le poète lui pose la question : « que vous en semble ? » Cette chute souriante révèle aussi le sentiment intime du poète perdu dans une cité trop bouillonnante pour lui. À l'inverse, Apollinaire, dans « Zone », le premier poème de son recueil Alcools paru en 1913, semble apprécier le monde moderne : « J'aime la grâce de cette rue industrielle/ Située à Paris entre la rue Aumont-Thieville et l'avenue des Ternes ». Ici, le monde est précisément localisé, restitué dans