Résumé Bérénice De Racine

classique et la Comédie Compétences évaluées : -Lire le texte littéraire, la comédie du XVIIe siècle -Construire une réflexion sur la langue, repérer les procédés du comique I. Le Théâtre Classique : La tragédie et la comédie Voici quelques résumés de comédies et de tragédies du XVIIe siècle. Ils vont vous permettre de différencier ces deux genres du théâtre classique. Pour ce faire, vous compléterez le tableau de comparaison. Ensuite, vous prendrez connaissance des extraits théoriques sur

Phèdre de Jean Racine mise en scène Patrice Chéreau du 15 janvier au 20 avril 2003 Odéon-Théâtre de ['Europe aux Ateliers Berthier Odéon-Théâtre de l'Europe aux Ateliers Berthier Groupe scolaires et universitaire, associations d'étudiants tél 01 44 85 40 33 ou 39 scolaires@theatre-odeon.fr dossier également disponible sur http://www.theatre-odeon.fr > Location 01 44 85 40 40 > Prix des places (série unique 13€ : tarif réduit - 26C : plein tarif > Horaires du mardi au samedi à 20h, dimanche à

résonner, avec un savoir-faire unique, le grondement menaçant du monde extérieur : les voix des mâles, physiquement absents de scène, les cris d’une jeune mère infanticide, les cloches de l’Église toute-puissante... Carole Lorang et Mani Muller RÉSUMÉ Dans un petit village andalou, vers le milieu des années 1930, Bernarda Alba, une femme d’une soixantaine d’années, crainte et respectée de tous, vient de perdre son mari et se prépare à huit ans de deuil, comme l’exigent la tradition et la bienséance

l'aide de la fixation de la grammaire par le biais de grammairiens tels que Claude Favre de Vaugelas. Durant ce siècle, c'est la culture française qui est mise en avant dans toute l'Europe, grâce à de grand écrivains tels que Molière, Corneille, Racine… ainsi qu'à de grands scientifiques tels que Descartes, Fermat, Pascal… De ce fait, les artistes et intellectuels français sont au cœur des réseaux culturels européens, prenant peu à peu la place des Italiens. C'est pour cela qu'en France, ce siècle

Corneille-Molière, mais aucun n’est parvenu, tant l’opposition est puissamment organisée, à se faire entendre ni à obtenir un véritable débat sur la question. Pour Denis Boissier (L’Affaire Molière, 2004) la thèse principale de cette « affaire » se résume ainsi : « Molière qui toute sa vie s’est revendiqué comme farceur, comédien et chef de troupe, directeur de théâtre, fut, plus encore, le Bouffon du Roi. En tant que tel, il n’a écrit aucune des pièces qu’il signa (ou même ne signa pas car les mœurs

chaque fois, de la manière la plus exhaustive possible, l’ensemble des figures concernées. Niveau Nom Description Exemple répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son

répétition [graphique] la figure dérivative répétition consistant à utiliser dans une même phrase deux mots ayant la même racine « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » — Corneille, Le Cid [rythmique] l'isocolie [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. » — Chateaubriand, Mémoires d'Outre-tombe, 1re partie

lafigure |répétition consistant à utiliser deux mots dans|« Ton bras est invaincu, mais non pas invincible » | | |dérivative |une même phrase ayant la même racine |— Corneille, Le Cid | | |[rythmique] l'isocolie |[Stylistique] répétition d'une cadence sur |« Quitté de mes compagnes, je me

autrui dans un texte. Ces paroles sont alors subordonnées à un verbe introducteur déclaratif suivi d’une ou de plusieurs propositions subordonnées. Elles subissent des modifications. Afin que les propos rapportés, transcrits ou non avec fidélité, résumés ou reformulés, s’insèrent sans rupture dans le discours, on supprime tout signe typographique et on obéit à la règle générale de la concordance des temps dans une phrase complexe. Le discours indirect est identifiable par : • La conjonction

cô th profane. 4. Le théâtre élisabéthain (Angleterre) XVIIème siècle. De William Shakespeare, peu de texte car aucunes protections des auteurs, éviter le plagia. Les auteurs retiennent pas cœur les textes ou ils sont codés ou simplement des résumés. Troupes itinérantes MAIS avec un th de référence. La troupe s’en va qd il y la peste. Ê acteur est la pire métier, fond de panier. Shakespeare Christopher Marleau est une racaille, endetté, avec le peu d’argent il est usurier, CRAPULES. Pas de fês