Résumé D Antigone De Sophocle

contre la peur. Rappelons le Antigone était la nièce de Créon, rois de Thèbes qui a défié les lois imposées par ce dernier et a décidé d’enterrer son frère ,Polynice, qui s’était entretué avec son frère pour obtenir le trône de Thèbes. Dans ce chapitre nous avons donc abordé différentes notions concernant l’individu moderne. Nous avons vu quelles étaient ses caractéristiques, sa façon de se placer dans le monde par rapport aux autres et aux choses qui l’entoure. Pour résumer nous avons vu que l’individu

distingués le droit positif des fondements philospohiques du système juridique. Cette position est ilustrée par un célèbre passage d'Antigone de Sophocle , le roi de thèbes Créon n'avait pas autorisé le droit d'avoir une sépulture au frère d'Antigone, Créon est ici positiviste, lorsqu'on enfreint les lois de la citée, on en subit le cout juridique. Or Antigone juge que le droit naturel prend ici le dessus, selon elle on ne peut refuser une sépulture à un être humain. Cicéron considère qu'il existe

était composé de plusieurs personnages anonymes qui intervenaient pour commenter l'action, dans la comédie et dans la tragédie. Le texte du chœur était chanté, parfois accompagné de danses, au cours des intermèdes. Exemple : Le chœur dans Antigone de Sophocle (vers 442 av. J.C.). Rem. : Le chœur a survécu dans certaines pièces du théâtre contemporain, telles qu’Antigone d'Anouilh (1944) ou de Cocteau (1922) L'acteur, le comédien : C'est l'artiste qui joue le rôle d'un personnage. Ne pas confondre

idéalistes, la valeur substantielle des normes. Très ancienne et même antique, cette idée que le droit positif doit traduire un droit d’essence supérieur et s’y soumettre a trouvé son expression emblématique dans l’échange entre Antigone et Créon (œuvre d’Anouille ou de Sophocle) : le droit peut ne pas correspondre à la justice. Pour les tenants de cette conception idéaliste du droit, la substance du droit est le seule étalon de sa valeur : la légitimité du droit ne tient pas à la seule existence de

qu'Ovide a pu intituler Héroïdes l'un de ses recueils poétiques. De même, les héros que la tragédie met en scène sont généralement des figures légendaires, tirées de la mythologie. Quel que soit leur rôle dans l'action et quoi qu'ils fassent, Ajax (chez Sophocle), Médée, Hippolyte, Andromaque ou Hélène (chez Euripide) sont des héros et des héroïnes parce que la tradition les a désignés comme tels, indépendamment de toute transposition littéraire. A cet égard, leur statut héroïque n'est donc pas problématique

Flaubert : "Le droit on ne sait pas ce que c’est." Les frontières du droit sont difficiles. Qu’est-ce que le droit ? Comment on arrive à différencier le droit d’une autre règle de conduite très proche ? Qu’est ce qu’une introduction ? C'est un résumé, un panorama ou une synthèse de tout ce que l'on verra par la suite. Définir chaque notion, c'est donner à l'étudiant l'envie de la goûter. Il serait utopiste de prétendre envisager l'intégralité des grands concepts en une trentaine heures. Par

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 7 Regards de poètes sur le monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113 Théâtre : continuité et renouvellement 8 Destins tragiques d’Œdipe à Antigone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Amour et tragédie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 140 Dossier EUGÈNE IONESCO, un auteur engagé . . .

ambigus ? Prométhée et Antigone, par exemple, auraient pu fournir un couple antithétique plus résistant : deux figures de la révolte dont la première, entachée d’hybris, est explicitement dirigée à l’encontre des dieux, tandis que la seconde, dans la tragédie athénienne du moins, est essentiellement liée aux lois de la polis ? Y a-t-il vraiment dans le mythe d’Antigone ce « Regard d’en haut » qui caractériserait le mythe littéraire ? Ou alors faudrait-il exclure Antigone de la série des mythes

d’Œdipe et de son universalité. Dans Totem et Tabou, Freud affirme l’existence du complexe d’Œdipe comme structure universelle vérifiable dans toutes les formes culturelles et comme fondement de la culture humaine. En partant de la tragédie de Sophocle : Œdipe roi, Freud prend la légende (le mythe) comme modèle et preuve de la réalité des désirs incestueux qui s’expriment dans et à travers la structure ternaire : père, mère, enfant. http://fr.wikipedia.org/wiki/Sigmund_Freud14 Cette légende

varie donc en fonction des personnes, des sujets et des conditions matérielles qui les concernent ; selon la passion ressentie, les conséquences seront alors la peine ou le plaisir, mais ces dernières ne sont pas les passions elles-mêmes, Aristote résume ainsi toutes les considérations dont il faut tenir compte afin d’appréhender les passions, et parmi elles se trouvent les caractères selon les prédispositions aux passions, les habitus, les âges et les conditions de fortune. J’entends par passions