Résumé Le Petit Prince

sés  en deux camps : ceux appartenant à l’Eglise, et ceux se rapprochant plus de l’Etat ;  puis, étudierons les relations qui existent entre ces personnages et les personnages  princpaux.        I­ Présentation des personnages  1.1­ L’Eglise  Le petit moine​  :   p.60  ­ 16 ans et Saxon  ­ Volonté de venger les saxons qui se sont fait envahir par les normands “me  délivrer de ma honte” : il est arrêté par des soldats “Il rôdait autour du camp. Il avait un  couteau sous sa robe”  ­ est “muet” face aux questions de Becket à son arrestation 

Molière : Résumé de sa vie : Jean-Baptiste Poquelin fut acteur, dramaturge, metteur en scène, directeur de troupe… mais c’était avant tout un auteur comique. Sans cesse atteint de maladies, Molière connut de grands succès aussi bien que l’échec total. Il était à la fois adoré par ses amis et détesté par un grand nombre d’ennemis. Impitoyable pour le pédantisme des faux savants, le mensonge des médecins ignorants, la prétention des bourgeois enrichis, Molière voua sa vie au théâtre. Les étapes

Albert Cohen naît à Cordoue mais ses parents, petits commerçants juifs, quittent la grève en 1900 pour s'installer à Marseille. Je me souviens aussi de nos promenades du dimanche, en été, elle et moi, tout jeune garçon. On n'était pas riches et le tour de la Corniche ne coûtait que trois sous. Ce tour, que le tramway faisait en une heure, c'était, en été, nous villégiatures, nos mondanités, nos chasses à courre. Elle et moi, deux faibles et bien vêtus, et aimant à en remontrer à dieu. Je revois

à celui qu'on avait oublié depuis la fin de la guerre. Résumé : Belle du Seigneur conte l'histoire de Solal et d'Ariane d'Auble ; une passion flamboyante se désagrègeant peu à peu. Ariane d'Auble, jeune aristocrate protestante, candide et joyeuse, a épousé Adrien Deume, un petit bourgeois qui travaille à la Société des Nations. Sa belle-mère est mesquine et son beau-père insignifiant. Solal, juif séducteur, au caractère ironique, grand prince, est le responsable hiérarchique d'Adrien Deume. Mais le

LA PRINCESSE DE CLEVES Madame de La Fayette Mme de La Fayette, née d’une famille de petite noblesse bénéficie d’une éducation littéraire et mondaine. Elle est donc familiarisée avec la Cour et ses intrigues, ce qui lui permet de la décrire, voire de la dénoncer dans son roman La princesse de Clèves, roman issu du mouvement classique. Nous sommes dans les premières pages du livre et nous assistons, grâce à une focalisation omnisciente, à l’arrivée du personnage éponyme. Nous allons montrer comment

La bibliothécaire Résumé Guillaume est élève en classe de cinquième. Chaque nuit, il observe depuis sa fenêtre  une vieille dame qui écrit toute la nuit dans l'immeuble d'en face. Puis, lorsque la lumière de son appartement est éteinte, d'une façon étrange et répétitive, une jeune fille d'une quinzaine d'années sort de cet immeuble. Une nuit, Guillaume décide de la suivre. Guidé par le claquement de ses talons sur le sol, il la suit et se retrouve alors dans la bibliothèque de la ville en

intemporelle consacré un sens et sentiment des personnages. Pelléas et melisande : C'est un drame intemporel, avec une atmosphère de légende : les personnages apparaissent sans histoire, on ne connaît pas leur passé. Personnages : Golaud: petit-fils d'Arkel. Il tombe amoureux de Mélisande alors qu'il chasse. Il est jaloux et est toujours à l'affût. Pelléas:demi-frère de Golaud. Il tombe amoureux de Mélisande quand celle-ci est au château. C'est quelqu'un d'indécis, qui ne sait pas prendre

 Français  Dissertation : « Les hommes construisent trop de murs, pas assez de ponts ». Actuellement, au vu de la société dans laquelle nous vivons, cette citation prend tout son sens et je suis parfaitement d’accord avec elle. En résumé, elle signifie simplement que l’homme est plus intéressé par son intérêt personnel plutôt que par sa relation avec les personnes qui l’entourent. Ceci dit, il y a quelque chose qui est au dessus des intérêts personnels, quelque chose qui lie les gens entre eux :

diversité de religion qui a passé si avant, qu’ung mesme peuple, vivant soubs mesme prince, s’est clerement divisé en deux pars" ( p.35) . De ce mal, en ressortent deux autres : La haine et la malveillance quasi- universelle entre les sujets du roi ainsi que l’accoutumance à une sorte d’irrévérence envers le magistrat. Il développe l’idée selon laquelle un peuple qui n’est pas obligé de suivre leur prince en matière de religion dérive progressivement vers le fait de n’avoir que leur conscience

maréchal en 1703. Quant à l abbé de Polignac, il fit des études brillantes au collège parisien de Clermont. Ses débuts en tant qu’ambassadeur sont modestes. En 1693 il est désigné pour l’ambassade de Pologne ou il fut chargé d’assurer l’élection du prince Conti favori de Louis XIV. Il entra en grâce en 1701, puis partit séjourner en Italie jusqu’en 1710. Rappelé en France il est nommé avec le maréchal d’Huxelles plénipotentiaire en Hollande et assiste aux conférences de Geertruidenberg en juin 1710