Résumé Pension Bourgeoise

humide, sauf sa barbe solaire: il porte son auréole autour du menton. Je ne sais ce qu'il dit: j'étais trop soucieux d'écouter pour entendre. Je suppose que ce vieux républicain d'Empire m'apprenait mes devoirs civiques et me racontait l'histoire bourgeoise; il y avait eu des rois, des empereurs, ils étaient très méchants; on les avait chassés, tout allait pour le mieux. Le soir, quand nous allions l'attendre sur la route, nous le reconnaissions bientôt, dans la foule des voyageurs qui sortaient du

plus modestes. En octobre 1847, le jeune Émile, qui était mal portant, qui était timide et zozotant, qui jouissait d’une enfance choyée et libre, mais était sans relations ni fortune dans cette petite ville de province conservatrice, entra à la pension Notre-Dame. Très retardé dans ses études, il n’a su lire qu'à huit ans. Il indiqua, dans une note biographique qu’il a écrite à l'intention de Daudet, qu’il y eut «une vie de froissements et de chagrins». Il était appelé «le petit Parisien» par ses

humide, sauf sa barbe solaire: il porte son auréole autour du menton. Je ne sais ce qu'il dit: j'étais trop soucieux d'écouter pour entendre. Je suppose que ce vieux républicain d'Empire m'apprenait mes devoirs civiques et me racontait l'histoire bourgeoise; il y avait eu des rois, des empereurs, ils étaient très méchants; on les avait chassés, tout allait pour le mieux. Le soir, quand nous allions l'attendre sur la route, nous le reconnaissions bientôt, dans la foule des voyageurs qui sortaient du

Mais vous vous êtes emportée16, Jane, vous devez convenir de cela ; allez, retournez à la nursery, ma chère petite fille, et reposez-vous un peu sur votre lit. – Je ne suis pas votre chère petite fille, je ne peux pas me reposer, envoyez-moi en pension le plus tôt possible, Mrs Reed, car j’ai horreur de vivre ici. – Je l’y enverrai bientôt, certes, murmura Mrs Reed, sotto voce17, et, ramassant son ouvrage, elle quitta brusquement la pièce. Je restai là, seule, maîtresse du champ de bataille. C’était

..................................................................... 54  Structure de l’analyse .............................................................................................................................................. 61  1. Résumé ............................................................................................................................................................ 61  2. Théorie ..........................................................................

Résumé - Les Lettres persanes : Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - Lettres persanes - Montesquieu Les Lettres persanes, comme l'indique le titre sont un roman par lettres, et ont été publiées pour la première fois en 1721. C'est l'histoire de deux Persans, Usbek et Rica qui, poussés par la curiosité, quittent leurs pays pour visiter le monde occidental. A travers 161 lettres, ils décrivent les moeurs européennes, critiquant certains aspects de la société, et comparent les pays visités

monde moderne et cette identification de trois trajectoires distinctes relativise l’idée selon laquelle il existe des étapes uniformes vers la modernité. Ces trois voies sont : - la première est elle qui désigne comme la voie de la révolution bourgeoise. La, il classe la révolutionnaire puritaine en Angleterre au XVIIème, la révolution française, et aussi la guerre de sécession. Dans ces révolutions, il identifie qu’un groupe social qui possède une base économique indépendante, se lance à l’assaut

libertés = régime despotique, autoritaire. Idée que s’il n’y a pas d’équilibre dans les pouvoirs, d’harmonie dans le mode d’exercice du pouvoir alors nous nous dirigeons vers le pouvoir tyrannique. La doctrine constitutionnelle de Montesquieu est de résumer ceci dans son ouvrage « De l’esprit des lois » => « pour qu’on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que par disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir. » Pour éviter tout abus de pouvoirs les trois conditions nécessaires sont : La séparation

heureusement sans conséquence, et il venait en instruire Bouvard qui, par là, fut placé dans son estime à une prodigieuse hauteur. Il était le fils d’un petit marchand, et n’avait pas connu sa mère, morte très jeune. On l’avait, à quinze ans, retiré de pension pour le mettre chez un huissier. Les gendarmes y survinrent ; et le patron fut envoyé aux galères, histoire farouche qui lui causait encore de l’épouvante. Ensuite, il avait essayé de plusieurs états, maître d’études, élève en pharmacie, comptable

certain nombre d’applications préindustrielles (métallurgie, textile, verrerie…) ; ▪ l’essor des villes (apparition d’une bourgeoisie d’affaires dont la prospérité est largement liée aux activités commerciales internationales : bourgeoise bordelaise…) ; ▪ le renouveau des routes commerciales, illustré par la création des foires commerciales (Flandres, Champagne, Lyon…) ; ▪ l’apparition des premières spécialisations industrielles (Italie du nord :