Résumé Variation énigmatique

 faut‐il ou non présenter les poèmes  de Léopold Sédar Senghor du côté des arts africains ?  Conséquences de ces divergences de vues, les querelles sur la classification des arts sont nombreuses10  dans l'histoire de l'art et dans l'esthétique. Claude Roy résume ainsi ce pluralisme de la notion d'art, dont  pourtant la dimension religieuse et symbolique est toujours centrale :  «    La notion d’art, qu’il s’agisse de l’art nègre, de l’art crétois ou de l’art impressionniste, reste à la fois  imprécise, ineffable et irritante

de la tutelle de l’État. Elles règlent et administrent leurs affaires d’une manière autonome. Doc. 2/ Jean CARBONNIER, La religion, fondement du droit ? In Droit et Religion, Archives de philosophie du droit, Paris, Sirey T. 38, 1993, p. 17-21 RÉSUMÉ. — La religion peut-être créatrice de règles de droit, soit par la médiation de la morale, soit même directement ; elle peut aussi renvoyer au pouvoir laïc la charge de légiférer. Mais le droit, c’est encore un jaillissement spontané de justice

], Ma terre se transforme [...] Ma terre devient fragile » (p.9). La répétition du possessif inscrit la relation à la terre dans un rapport d’appartenance, voire d’interdépendance. Le « je » est soumis aux mouvements de la terre : « J’épouse ses variations » (p.9). Le terme épouser signifie « s’adapter exactement à », ce qui implique une identification et la création d’une unité : le « je » ne forme plus qu’un avec la terre. On comprend alors pourquoi les verbes exprimant la rupture, la modification

« c’est l’identité, le moi conscient de lui-même » (p10) = sujet complexe qui s’est lentement élaboré au cours d’une existence particulière et autonome - Bio = le parcours vital, la continuité, cheminement de cette identité unique et singulière : la variation existentielle autour du thème fondamental que constitue l’auto, le moi => entre auto et bio se trace rapport difficile de l’âtre et de son existence, de l’identité et de la vie, rapport que tout le monde connaît entre individualité et déroulement

(les mots légèrement familiers sont acceptés) 1) Résumer le roman sans utiliser la lettre a 2) Résumer au maximum le roman en faisant des phrases sans utiliser la lettre e (à la manière de Perec dans La Disparition) • Ecriture sous contrainte syllabique 3) Résumer le chapitre 10 (à la recherche de Gabriel- la conduite intérieure du Sanctimotronais) en utilisant les sons ke/ki/kan/kou/ku/ko/ké/kon autant que possible 4) Résumer ce passage en utilisant les sons be/bi/ban/bou/bu/bo/bé/bon

..................................................................................... p PARTIE 2 : PHASE QUALITATIVE INTRODUCTION ........................................................................................................ p 1. LE RESUME DES RESULTATS ........................................................................... p 2. LA SYNTHESE DES POINTS CLES .................................................................... p 3. L’ANALYSE .......................................

l’antiquité grecque. En effet, la question de l’art a été l’objet d’usage chez les anciens, dans la culture grecque et sujet de réflexion chez Homère et Platon.[footnoteRef:9] Selon Platon, la politique semble supérieure à l’art dans la mesure où l’art se résume au divertissement. Aristote considère cette théorie essentielle dans la cité. Cette utilité de l’art est inhérente à l’espèce humaine. D’Aristote, faisant la promotion de l’art en son temps nous autorise à travers cette de continuer cette lutte intellectuelle

histoire universelle. Et c’est histoire est dite au point de vue cosmopolitique, cela signifie que l’histoire suit un fil conducteur qui vise à parvenir à une unité entre tous les Etats du monde. C’est ici le sens du mot « cosmopolitique » qui est une variation du terme « cosmopolite » qui signifie en grec « citoyen du monde ». Cette idée du cosmopolitisme remonte à l’antiquité et on la retrouve chez Diogène de Sinope ainsi que chez les stoïciens. Pour Kant, l’histoire a un sens, et ce sens, c’est celui

présents à chaque étape, de la création à la rédaction. Leurs commentaires, leur présence, leur dévouement m'ont stimulée tout au long de ce hasardeux chemin. Je leur en suis profondément reconnaissante. TABLE DES MATIÈRES LTSTE DES FIGURES RÉSUMÉ v . Vl INTRODUCTION CHAPITRE I LA MORT SUR SCÈNE: DE LA NARRATION À LA MONSTRATION 4 5 La mort et le sommeil 7 1.1.2 La mort et son exposition 9 1.1.3 1.2 Espace et temps: du rite au théâtre 1.1.1 I.J

Grec Pythagore (582-500 av J-C) et désigne étymologiquement l’amour de la sagesse (philia, amour ; sophia, sagesse) C’est cette définition que fera sienne Socrate (469-399 av J-C) à l’encontre des sophistes qui croyaient tout savoir. Sa sagesse se résume dans sa célèbre formule : « je ne sais qu’une seule chose, c’est que je ne sais rien ». Socrate dira plus précisément encore que seul celui qui se sait non sage peut désirer atteindre la sagesse. Platon (428-348 av J-C), son illustre disciple est