Résumé Variation énigmatique

Senghor : « Il a plu… », p. 234 ; – Bonnefoy : « Le Myrte », p. 235. 2. Une séquence construite autour d’un recueil et d’une forme ou d’un registre Dans ce cas, il peut paraître souhaitable de débuter la séquence par la sensibilisation des élèves aux variations de la forme retenue, ou aux modulations des tonalités du registre choisi, avant de s’attarder sur les poèmes du recueil faisant l’objet d’une lecture approfondie. Exemple : une séquence qui serait construite autour des Fleurs du mal avec pour objet

comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé des notes puis successivement l’examen de : les sources (page 11) l’intérêt de l’action (page 12) l’intérêt littéraire (page 16) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 18) l’intérêt philosophique

(1737) comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé des notes puis successivement l’examen de : les sources (page 11) l’intérêt de l’action (page 12) l’intérêt littéraire (page 16) l’intérêt documentaire (page 17) l’intérêt psychologique (page 18) l’intérêt philosophique (page 24) la destinée de l’œuvre (page 25) la scène I, 14 (page 27) la scène II, 15 (page 29). Bonne lecture ! Résumé Acte I  Au début de la matinée Scène 1 : Arlequin, valet d’Araminte,

âmes ; le poète, de l’ombre opaque, fait brusquement jaillir la lumière. La nuit se dissipe soudain. Le fond de la toile s’éclaire et laisse apparaître l’ange qui porte la gerbe d’âmes. Cette antithèse entre la sombre moissonneuse et l’ange souriant résume poétiquement les croyances spiritualistes de Victor Hugo. Conclusion : cette courte pièce marque le retour à l’apaisement et à l’espérance après une longue crise. Les Contemplations sont un chef-d´oeuvre de maîtrise et de variété dans le maniement

Sont évoqués les bateleurs, un joueur d’orgue de Barbarie, une danseuse... Le montreur de marionnettes ouvre son théâtre et fait apparaître trois personnages : Pétrouchka, une Ballerine et un Maure auxquels ils donnent vie par une incantation énigmatique. Les poupées se mêlent à la foule pour exécuter une « danse russe » endiablée. 2ème tableau : Enfermé dans sa chambre, Pétrouchka se lamente et trépigne car il ne peut rejoindre la Ballerine dont il est amoureux. Celle-ci lui rend visite mais, effrayée

University of Toronto © Copyright by Najwa Wadih Daou 2012 Représentations de la femme dans les récits orientalisants français du dix-huitième siècle Najwa Wadih Daou Doctor of Philosophy Graduate Department of French University of Toronto 2012 Résumé La présente thèse explore les représentations de la femme dans des récits orientalisants de sept auteurs français du XVIIIème siècle, classés par ordre alphabétique : Caylus, Crébillon, Diderot, Mme de Genlis, Hamilton, Montesquieu et Voltaire. Les

hiérarchie: au bas, la sécurité ; au sommet, la vertu » (symptomatique de la pensée de Le Play) (NB: Le Play s'intéresse aux faits sociaux, se questionne au point de vue du sens de l'organisation, le sens religieux de l'organisation.) Résumé du texte : « La meilleure hiérarchie: au bas, la sécurité ; au sommet, la vertu » La société procure à chaque individu les deux biens indispensables, c’est-à-dire, la connaissance de la loi morale et la possession du pain quotidien.

les pensées et les sentiments de leurs contemporains. Idée bien illustrée par cette conclusion d'une édition critique de La Bruyère : 3 Au terme d'une lecture attentive, le livre des Caractères apparaît étroitement lié à son époque, qu'il résume et qu'il exprime à merveille. En cette fin du règne de Louis XIV, il porte témoignage des irritations et des inquiétudes qui tourmentent les esprits qui réfléchissent, il reflète mieux qu'aucun autre livre "les sentiments qui animèrent la France en

C’est là l’effet le plus visible, mais il y en a d’autres du même type et toujours sujets à certaines variations (voir comment le vers 344 : « Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse » reprend dans une hiérarchie inversée les deux procès du vers 324, qui étaient placés sur un pied d’égalité - rôle de la copule « et » - au vers 305). Particulièrement intéressantes à étudier, les variations subies par l’hexasyllabe lyrique par excellence « O Dieu, l’étrange peine ! » : simple incise frôlant

détail». Il allait indiquer aussi : « Moi et Eliade, nous avons les mêmes origines, un fond commun. J'avais aussi le même esprit que Tristan Tzara.[…] Chez Cioran aussi il y a cette pensée profonde qui m'anime, puisée dans une attitude roumaine que résume le vers d'Eminescu : "Faites, Seigneur que je disparaisse à tout jamais dans le néant" (‘’Prière d'un Dace’’). Il y a chez Cioran cet appel du néant et cette peur du néant qui est mon angoisse permanente. » Prolongement de l’adolescence ou révolte