Révolution 1830

l'opinion et les élus républicains. Les classes populaires parisiennes (ou tout du moins une partie d'entre elles) craignent de se voir une nouvelle fois frustrées des bénéfices de « leur » révolution de septembre 1870(renversement du Second Empire). Déjà, après les journées révolutionnaires parisiennes de juillet 1830 comme après celles de février 1848, suivies des élections de mai 1848, les classes aisées avaient confisqué le pouvoir politique à leur profit en installant la monarchie de Juillet et le Second

se rassemblèrent à gauche sous l’étiquette de «patriotes» (majoritairement le Tiers-Etat). Après la Révolution, cette opposition s'est instituée dans la culture politique des systèmes d'assemblées, même si d'autres comme groupes opposants émergèrent, tels que les «montagnards» proches des tribunes du peuple, et la «plaine». Au XIXème siècle, cette opposition s'est étendue à l'Europe et, en 1830, à l'Amérique du Sud sous l'influence révolutionnaire, puis durant les XIXe et XXe siècles, aux pays décolonisés

sont porteurs de symboles tour à tour approprié par les acteurs. Tout au long de notre période, la vision de la manifestation évolue profondément, dans un premier temps, rien ne les différencies des émeutes et révoltes ayant marquées le XIXe siècle, 1830, 1848 ou encore 1871. Les différents organisateurs de manifestations vont alors s’efforcer de leur donner une autre image, leurs permettant de progressivement s' institutionnalisée, jusqu’à une démocratisation quasi-totale. Avant le décret du 23 octobre

d’épistémologie comparative de la sociologie. Le fragment ci-dessous définit clairement l’objectif de l’ouvrage : p. 17 « Ce livre s’attache à analyser des idées élémentaires, en particulier celles qui caractérisèrent la sociologie européenne dans la période 1830-1900, période cruciale pour le développement de cette science car c’est alors que des hommes comme Tocqueville, Marx, Weber et Durkheim posèrent les bases théoriques de la sociologie contemporaine. » On peut y ajouter ce complément théorique : p

thèmes comme l’introspection, la nature.. _Mme de Staël « importe » le mouv. d’Allemagne(Del’Allemagne 1810-1813). _situation de la France : paysage en ruines(qui donnera naissance au thèmes de la nostalgie et des ruines) après la révolution de 1789 ; la France est devenue une république, mais les incertitudes dans l’avenir. _naissance de la société industrielle : course à la fortune, individualisme : l’écrivain issu de la petite bourgeoisie ou de la noblesse ne trouve pas

: internationale http://www.histoire-image.org/pleincadre/img/p.gif Introduction :       Bien qu’écrite en 1871, en exil, L’Internationale ne connut la gloire qu’en 1888 ! Son auteur, Eugène Pottier, participa dès son jeune âge à la révolution de 1830 puis se retrouva sur les barricades en février 1848. Membre de la Commune de Paris en 1871, élu maire du IIe arrondissement, condamné à mort par les Versaillais, il échappa miraculeusement à la répression qui décima les survivants il gagna la

dans un contexte de tension international, ils ne veulent pas que l'armée soit fragilisée et défendent l'honneur de la patrie et de l'armée. Ils défendent le principe de l'autorité au détriment d'un homme. Pour les dreyfusards, l'honneur de la révolution française, de la DDHC, aucun homme ne doit être victime de l'arbitraire de l'état. Aucune raison d'état ne doit justifier que les droits humains soient bafoués. C'est à ce moment là qu'en créer la Ligue des Droits de l'Homme. C'est le conflit entre

visages de la société moderne16 Partie 1 : La France de 1870 à 1914 Elle peut être divisée en deux : 1870-1899 ;1899-1914. Chapitre 1 :1ere instauration d'un régime politique qui se caractérise par des mutations éco-sociale entrainées par la révolution- industrielle et le colonialisme. Chapitre 2 : Seconde période, consolidation des acquis de la 1ere période, la 3eme république connait une radicalisation, les changements économiques et sociaux sont désormais intégrés, le modèle colonial est

élan et leur force. Cette idée de violence est mise en relief par les allitérations accumulées (gorges gonflées de guerrières ; brandissaient des bâtons). Cette mise en scène fait penser au tableau d’Eugène de la Croix La Liberté guidant le peuple, 1830. Cette marche, enfin, est ponctuée par la Marseillaise, chant de combat par excellence. De plus, le "claquement des sabots" résonne comme un fracas de bataille. Alors que la description réaliste était vue par les bourgeoises enfermées chez elles

s’intéresse aux logiques discursives, puisqu’il a symbolisé une réunion éphémère mais puissamment symbolique, celle de la révolution sociale et de la révolution politique. Plusieurs courants de la pensée sociale se sont exprimés, et si les moyens prônés ont divergé, il n’y a pas à se tromper sur les fins que tous poursuivaient : exprimer leur fidélité à l’héritage de la Révolution française. Fort de cette représentation, le chercheur porte d’emblée un regard subjectif sur un événement dont il aura eu