Réécriture Des Personnages Mythiques

Le commentaire Le commentaire Corpus bac : Réécritures de la fin de Dom Juan Objet d’étude : réécritures, section L - la question préliminaire ; - sujet type 1 : le commentaire : trois pages de traitement Texte 1. Le Trompeur de Séville et le Convive de pierre (1630), Tirso de Molina. Traduit de l’espagnol par M. Espinosa et C. Elsen. Fin de la dernière scène (sixième tableau, scène 20). DON GONZALO Donne-moi la main. N’aie pas peur. DON JUAN Moi peur ? (Il lui tend la main.) Ah ! Ton

narratives avec tout de même 2 récits concomitants : celui bien sûr qui concerne Massaba, le royaume déchiré du roi Tsongor ; le second centré autour du personnage du jeune Souma dans sa recherche, sa quête de vérité et spiritualité.il y a bien sûr également en parallèle les souffrances de Tsongor Enchainement et alternance des personnages, chacun ayant son moment de gloire, ses monologues et des choix à faire. Choix auxquels il ne pourra échapper Alternance également dans l’écriture entre descriptions

la suite du livre de Molière, le moment où Don Juan descend aux enfers. PLAN : A. L'auteur se démarque de la tradition 1. L’auteur inscrit ce héros dans la mythologie Gréco-romaine a. Les Enfers Les Enfers sont représentés par un personnage mythique : • Dans le mythe antique, Charon est celui qui transporte les morts dans le monde des Enfers avec une barque, il traverse le Styx; les morts doivent lui donner une "obole", c'est-à-dire une pièce de monnaie. • Champ lexical de l’Enfer

MYTHE FIN DE SIÈCLE ANNE COUSSEAU* On connaît la fortune mythique du personnage d’Hamlet au XIXe siècle, on s’est beaucoup moins intéressé au destin littéraire, scénique ou pictural d’Ophélie. Et cependant, ce personnage trouve en France dans la seconde moitié du siècle une réelle autonomie par rapport au drame shakespearien, inspirant nombre de peintres et d’écrivains. Au fil des œuvres se dessine un lent processus d’élaboration mythique, fondé sur l’édification d’un sujet qui manque à être et qui

Le nom de cette scène n’est pas anodin. En effet, d’emblée, l’auteur Edmond Rostand affirme qu’il s’agit là d’une réécriture de la célèbre scène de « Roméo et Juliette ». Ainsi, tous les ingrédients sont réunis pour revivre cette scène mythique. De ce fait, le lieu choisi est celui du jardin rappelant à la fois la pièce de Shakespeare et le jardin d’Eden. Le moment choisi, quant à lui, est celui de la nuit. Cependant, cette fois nous verrons que la nuit à une nouvelle fonction quelque peu…

divines supérieures aux lois humaines, refuse la décision de CREON et procède aux rites funéraires. REECRITURE D'ANOUILH 4 FEVRIER 1944 - Occupation allemande - Première représentation d'Antigone d'ANOUILH. La mise en scène, qui témoignait d'une recherche de l'anachronisme, et le texte lui-même suscitèrent étonnement et réactions diverses. Alors que l'auteur mettait en scène un personnage mythique de l'Antiquité, on vit tout de suite dans sa pièce, à tort ou a raison, UNE ŒUVRE D'ACTUALITE. CREON

Laurent Gaudé est à l’origine d’une œuvre caractérisée par sa grande hétérogénéité. La mise en réseaux intratextuelle de ses textes démontre l’existence d’un travail de réécriture interne dont l’étude permet de pénétrer au cœur de son processus créatif auctorial. La récurrence de motifs, et plus particulièrement le retour de personnages, met en exergue deux pratiques intratextuelles participant à l’unité de son œuvre. En effet, alors que l’écriture-gigogne souligne le fait que chaque texte porte en

vocation universelle et aspect cyclique ⇒ Claude Lévi-Strauss : récurrences thématiques et formelles organisent les mythes. Ces récurrences = mythèmes (principe fondamental d’un récit mythique, motif/schéma qui apparaît dans plusieurs mythes) DIMENSION SOCIOLOGIQUE ⇒ dans les sociétés modernes, mythes = thème ou personnage qui exerce un pouvoir irrationnel ou acquiert une dimension symbolique pour une collectivité, participent à notre fond culturel (ex mythe du Bon Sauvage, Che Guevara, Marilyn Monroe

fable d’Esope, auteur de l’antiquité souvent utilisé comme modèle par La fontaine. Dans cette réécriture des « Deux Coqs et l’Aigle », Jean de la fontaine propose une morale différente après avoir fait le récit d’un combat entre deux coqs pour obtenir les faveurs d’une poule. On peut se demander en quoi cette fable burlesque sert d’exemple à une morale. I – Une parodie du récit épique A – Des personnages symboliques «Coqs» et «Poule» : Utilisation de majuscule => représentant de leur espèce, incarne

Nervaliennes : « Gérard de Verbal », « L’air de l’eau, un opéra » et « Le Nervalois », autant de titres qui jouent sur les mots et proposent des variations autour de son œuvre. Chaque partie propose une approche différente de Nerval : découverte, réécriture, analyse invitent à le lire ou le relire, mais aussi à jouer avec ses textes pour apprendre à mieux les connaître (telle est la conclusion des Nervaliennes). « Gérard de Verbal » est une petite histoire où un enfant qui veut devenir poète rend