Rôle De La Scénographie

théâtre. Aujourd’hui, il est mis en scène par Emmanuel Dekoninck, qui ayant déjà joué dans cette pièce en tant qu’acteur sans arborer les méthodes du metteur en scène de l’époque, a décidé de l’adapter à sa façon. Ronald Beurms s’occupe de la scénographie et des costumes, Bérengère Bodin de la chorégraphie et Thomas Vanneste de la lumière. Les acteurs sont : AntojO (le médecin, le chuiche, le sous-directeur…), Marie du Bled (Chloé), Fanny Dumont (la souris), Michelangelo Marchese (Nicolas, le prêtre…)

éclairages dramatiques de Bassano. b) Les Noces de Cana et le rôle décisif des Flamands. Pour ce qui est de l’œuvre Les Noces de Cana, on peut citer en premier lieu l’influence problable d’une œuvre du flamand Frans Pourbus le Jeune : il s’agit de La Cène, œuvre qui dû faire forte impression, notamment par une organisation spatiale très maîtrisée ainsi qu’une expression cohérente du sujet. Par ailleurs, en dehors de la scénographie elle-même, le tableau des Noces de Cana offre de nombreuses analogies

à Théâtre de Colombes, la Ville de Saint Gratien (Val d’Oise), et la Cie Sara Llorca. Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National. George Dandin MISE EN SCENE Mario Gonzalez ASSISTANT Didier Girauldon MASQUES Etienne Champion SCENOGRAPHIE Bertrand Siffritt COSTUMES Sylvie Berthou Emmanuelle Ballon Michèle Amiel LUMIERES Jean Grison George Dandin AVEC Mariana Araoz Etienne Champion Peggy Dias Evelyne Fagnen Christophe Patty Guillaume Séverac-Schmitz ou Stephan Kalb Eric Tinot

l’iconographie les sépare irrémédiablement : la pose paisible et réfléchie du héros tel que l’a peinte le maître de l’Odalisque reflète une conception littéraire et classique dont est exempte la toile de Moreau et en aucun cas on ne peut parler d’une « scénographie assez semblable »3 au point même que s’il fallait vraiment appliquer le complexe œdipien à cette relation, ce serait pour envisager le « meurtre » du maître incontesté par le jeune artiste, une distance prise irrémédiablement. A l’agression brutale

peut-être les moments où leurs parents leur lisent des livres et qu'ils se font le film dans leur tête au fur et à mesure. En effet les représentations de Py et Pommerat suscitent l'imagination des enfants du début à la fin notamment grâce à la scénographie. Ce sont des expériences qui se déclinent sur plusieurs niveaux de sens (sensoriel, visuel, sonore) où le réel devient ainsi magique. Dans Pinocchio par exemple il y a parfois des lumières vives et très colorées qui renforcent la magie et la poésie

paysans de gnagnagna. Comment s’y prend-il pour vulgariser ? Passer par la fiction (roman, cinéma) Conférence Articles, site, réseaux sociaux Mais de toute façon : simplifier et être pédagogue. Faire changer le message de forme. Dans les musées : scénographie (exemple de l’expo du nu masculin qui doit être sérieuse et non choquante). (Im)médiat : médias : vont directement nous véhiculer une info. On confond le « directement » avec l’idée de rapidité. Mais erreur sur immédiat : qui veut dire passé ds

silence. …Il ne se sert de son esprit mordant que lorsque l’indignation l’emporte ». Ce sont autant de traits qu’il possède en commun avec ses devanciers de Stello et de Quitte pour la peur. Vigny dans sa correspondance, insiste sur le fait que le rôle du Quaker est aussi important que ceux de Chatterton et de Kitty Bell » importance de sa présence tout au long de la pièce, il est en scène continuellement pendant les deux premiers actes ; il n’est absent au troisième acte, que dans trois scènes :

est au centre de l’orchestra. Le théâtre consiste donc à rendre visible l’invisible non seu-lement grâce à la fiction du texte qui ressuscite les héros morts et réinterprète les mythes anciens, mais aussi grâce au phénomène hallucinatoire de la scénographie (orientation du théâtre face au soleil, durée du spec-tacle : 12 heures, mélange de danses et de chants survivances des premières "transes" religieuses, simu-lacre qui rend l’invisible visible dans le corps des acteurs comme dans la statue du dieu)

Cavaillon (84) Mar 12 fév 20:30 Théâtres en Dracénie Draguignan (83) Sallinger | page 2 © Jasper Johns - Flag Sallinger Pièce de Bernard-Marie Koltès Mise en scène Catherine Marnas Assistant à la mise en scène Julien Duval Scénographie Carlos Calvo Lumières Michel Theuil Création sonore Madame Miniature, Lucas Lelièvre Costumes Dominique Fabrègue assistée de Édith Traverso Fabrication costumes et décor ateliers du TNS > DISTRIBUTION Muriel Inès Amat (TNS) Marie Desgranges

arrière de la basilique, deux bibliothèques se font face, dédiées l'une au grec, l'autre au latin, image du bilinguisme de l'empire. Elles encadrent la colonne trajanne qui fait le récit illustré de la guerre contre les Daces. Enfin, cette véritable scénographie monumentale s'achève par le temple dédié au divin Trajan après sa mort. Le forum de Trajan illustre le contenu idéologique de l'imperator victorieux à la tête de ses troupes, thème de la statue équestre de Trajan au centre de la place, et reproduit