Sa Citoyenneté Sdf

plus d'argent! Je trouve cette invention très stupide. Sandra 15 ans, Canada • Je pense que ce serait bien un monde sans argent, l'argent corrompt l'homme. Hélène 15 ans Lille France • Ca serait beaucoup mieux un monde sans argent. Plus de sdf [sans domicile fixe], moins de problèmes. • L'argent est aujourd'hui malheureusement indispensable dans la vie de tous les jours. Alors, échanger sans argent quelque chose de matériel, c'est impossible. Claire, Dijon • Peut-on échanger sans

souvent conduit à découper des territoires dont l'unité humaine est fictive (ainsi une nation peut être coupée en plusieurs Etats : les basques vivent par exemple en France et en Espagne). La vocation d'un Etat-nation serait de transcender par la citoyenneté des appartenances particulières (biologiques, historiques, économiques, sociales, religieuses…) B/ LES ORIGINES DE L’ETAT Historiquement, l’État apparaît à la fin du Moyen Âge, à la faveur de la centralisation du pouvoir entre les mains d’un

constituante après qu’ils eurent fait voter trois lois capitales: celle du 11 avril 1946 abolissant le travail forcé, celle du 30 avril créant le fonds d’investissement et de développement économique et social (F.I.D.E.S.), celle du 7 mai accordant la " citoyenneté française " à tous les ressortissants des territoires d’Outre-Mer, sans qu’il soit porté atteinte aux statuts personnels. Le 20 septembre est votée la nouvelle Constitution de la République française, qui stipule dans son préambule que: la France

esclaves. Jusqu’en -451, il faut être née de père Athénien, être un homme et avoir subit l’éphébie ( instruction militaire). En -451, Périclès va définir la citoyenneté en rapport avec le filiation. On est citoyen quand on a un père citoyen et une mère fille de citoyen (et qu’on es un homme). La citoyenneté se reproduit et est définie par la citoyenneté. On estime qu’à l’époque on a entre 30 000 et 40 000 citoyens qui se voient reconnaître des droits politiques sur une population totale entre 250 000 et

effets de ces actions sur le public concerné, notamment en termes politiques ? L’auteure interroge en particulier ces professionnels de la médiation qui donnent, pour la plupart, un sens politique à leur travail, sous la forme d’une éducation à la citoyenneté. Elle rend compte également de l’observation d’ateliers destinés aux enfants ou aux adolescents qui fait apparaître, bien souvent, une sorte de déception chez les médiateurs quant aux effets réels de leur action. Les politiques culturelles locales :

d’entretien de liens sociaux. Aujourd’hui, on ne demande même plus sa route car il y a le GPS ; les « mosquitos » ont été imaginés dans le but d’empêcher le regroupement des jeunes à certains endroits ; les bancs publics sont moins longs pour éviter aux SDF d’y dormir et des produits répulsifs sont utili- sés (en France) pour empêcher les rassemblements de personnes à certains endroits… Internet propose de nombreux moyens de communica- tion, mais sans aller à la rencontre de l’autre et en restant cloîtré

Il n’y a pas de portrait type de l’exclu, toutefois son existence s’avère omniprésente. Ne sommes nous pas tous un peu quelque part des exclus à certaines périodes de notre vie ? On pourrait envisager de manière assez conventionnelle que, les SDF, les chômeurs, les étrangers sont les plus communément nommés dans cette catégorie. Ici, le problème social de la pauvreté est une question centrale de la problématique de l’exclusion. A un second niveau, on peut citer les handicapés, les retraités

aux soins des personnes démunies. Cet entretien m’a permis de comprendre les missions de l’assistante sociale aussi bien à travers ses accompagnements individualisées qu’à travers son travail de maraude pour créer du lien social et sensibiliser les SDF 15aux soins. Cet entretien m’a permis de commencer à m’imprégner de mon sujet sur l’accès aux soins. Après avoir effectué mes rechercher sur internet, j’ai pu lire la synthèse de Médecins du Monde sur l’état de l’accès aux soins en France en 2013. Cette

d’ordres I_ Le Moyen-Age La Rome antique, juridiquement, ne distingue pas les personnes en fonction des classes possédantes et des classes serviles, elle distingue les individus à partir de deux notions : la liberté et la citoyenneté. Le critère essentiel à Rome est celui de citoyenneté : est citoyen celui qui est romain d’origine, qui a adopté les coutumes, le droit romain, qui vit à la mode romaine etc. c’est un citoyen par définition libre, ce qui exclue les autres : les étrangers/barbares ne sont

politiques d'autonomisation faut-il mettre en oeuvre pour susciter de nouvelles formes de partenariat pour le développement entre l'Etat, la ville, la société civile et le secteur privé, de façon à garantir le droit à la ville et le plein exercice de la citoyenneté - c'est-à-dire de droits politiques, civils, économiques, sociaux, psychologiques et culturels qui sont inaliénables Quels systèmes de gestion novateurs peut-on trouver pour favoriser l'engagement civique ? Comment des questions de gestion urbaine