Sabinien

prétoire. L'œuvre est diverse, le plus souvent se sont des traité théorique, synthèse et les manuels d'enseignement = institutes par exemple Gaius. Les controverse de la doctrines l'enrichissent. En particulier sous le principat: les Proculiens et les Sabiniens vont d'opposé. Apppoges qui va pendre fin au 3eme siècle. Elle va alors s'appauvrir, perdre en qualité. Tout en étant mise entièrement au service de l'État. Paragraphe 3: Le droit du bas empire. Du principat au dominat l'empereur à mesure

les individus. D’ailleurs, la détermination d’un terme générique (contractus) destiné à embrasser toutes les obligations ayant pour source un fait licite et volontaire, nécessita deux siècles : intuition du juriste Labéon (de l’école de Droit des Sabiniens), au 1er siècle après JC, reprise et développée par ses continuateurs. Parler de contrat, dans le sens que nous lui connaissons, est un anachronisme sous la République. En effet, le vocabulaire est diversifié pour désigner les actes juridiques donnant

droit » chaque fois qu’on doit résoudre un cas, on doit définir toutes les notions, rechercher le sens juridique des termes, il conseille de rechercher la notion par rapport a des auteurs, de les comparer. Il y a deux écoles de jurisprudence, les sabiniens et les proculiens. - Julien : c’est l’auteur de l’édit perpétuel. - Gaius : 2eme S - Papinien (fin du 2eme S) - Paul (fin du 2eme S) - Ulpien (fin du2emeS) Ils ont fait des recueils, « RESPONSA » réponse aux questions de droit, ils ont

des Stoïciens). • Effectivement, il se produisit, à la charnière de la République et de l'Empire un phénomène rigoureusement incompréhensible pour les philosophes grecs. Les juristes romains se séparèrent en deux écoles de pensée, les Sabiniens et les Proculiens. Dire ce qui distinguait les deux écoles serait une longue affaire, et l'on est loin de s'entendre à ce sujet : certains on même avancé qu'il suffisait qu'une école avance une théorie pour que l'autre prenne le contre-pied. Peu

les efforts de (( rationalisation » du droit puis de codification de la fin du me siècle puis du IVe. Ces travaux « tardifs » permirent la nécessaire vulgarisation du droit dès les premiers temps de l'Empire par différentes Écoles ( cas sienne, sabinienne ) puis la formation de cursus d' enseignement juridique à Rome ( la plus ancienne ) et à Beyrouth ( Phénicie ) et Byzance ( les plus célèbres, après Constantin situées à Alexandrie ou Césarée de Palestine ). Puis vint l' ère des ouvrages didactiques

liesse populaire. Entre temps, a lieu la bataille d’Actium. Toute l’intelligence d’ les institutes. Au début du 1er s, naît aussi les querelles académiques. 2 écoles rivales apparaissent : Ecole des proculiens autour de Labeon Ecole des sabiniens : disciples de Capiton dont Julien et Gaius font partis. Ces jurisconsultes vont faire preuve d’une inventivité technique sans précédent. Ce sont eux qui inventent le droit et vont appliquer le texte de la loi à des situations qu’elle n’a pas

va faire école, la plupart des autres œuvres classiques vont faire la même chose : établir des règles. A cette époque, il y avait pleins de débats. Après Auguste, il semble qu’il reste 2 écoles : il y a une opposition entre ce qu’on appelle les Sabiniens, qui ont suivit Sabinus, se sont des traditionalistes. Ces traditionalistes s’opposent aux Procubains qui ont suivit Proculus et eux sont les Novateurs. Autres cas : Julien est un petit peu à part, ils sont tous issus de la Nobilitas (aristocrate)

ses consultations. Auguste va accorder à certains jurisconsultes, le droit de donner des consultations juridiques en public. . Les jurisconsultes ont écrit des ouvrages et ont analysé le droit romain. Il y a deux écoles de jurisconsultes : les Sabiniens et les Proculiens. Lors du 2ème siècle, nous avons l’apparition des jurisconsultes qui ont analyser et systématiser le droit romain. Il y a Gaius. C’est grâce à lui que nous connaissons le droit romain. C’est la première fois qu’on va diviser la

jurisconsulte de renom pour apprendre « sur le tas » le métier de juriste. Très tôt se développent donc des écoles de pensées sous forme de cercles intellectuels autour de certains juristes de renom. Deux principales écoles de pensée s’opposent : Les Sabiniens (disciples de Sabinus), conservateurs, partisans d’une interprétation stricte de la règle de droit, avec peu d’innovation. Les Proculiens (disciples de Procule), novateurs, considérant qu’il faut interpréter la règle de droit en fonction de la nécessité

controverse juridique. C'est en confrontant des points de vue différents que l'on peut accéder à la connaissance la plus certaine possible de ce qui est juste. Les juristes consuls romains l'ont développé à travers l'opposition entre proculiens et sabiniens (deux Ecoles juridiques apparues à Rome au I siècle qui structurent la formation de la pensée juridique romain). Le droit civil français se constitue aussi à partir de la découverte en Occident du corpus juris civilis au XI siècle dans les premières