Sacre Et Religion Royale

les règles jugées gênantes. Les règles ne sont pas toutes inibitrices. Ces menaces qui pèsent contre le droit, il faut rappeller que le droit est lié à la société, tout comme les religions et il n'y a pas de société organisée sans droit. Les tenants de la laïcité la plus rude (intellectuels) veulent créer une religion républicaines, universelle et mondiale. Tout cela est un lien social. Ceux qui nous gouvernent (dominus mundi). Il n'y a pas de société sans normes, et il faut répéter le vieil adhage

HISTOIRE DU DROIT C'est contre cet émiettement que s'est battis cet État royal, au profit du roi et de son gouvernement une souveraineté . Dans les souvenirs que les générations ont gardé de l'époque féodale, la féodalité est une sorte de repoussoir, modèle négatif, d'anarchie, désordre, d'absence de commandement central que l'on cherche à éviter. L'histoire sert à bâtir certains mythes qui continuent de peser dans le présent et l'avenir. Nous vivions dans une période de remise en cause de l'état

Lorsqu'il se présente au baptême, saint Rémi l'interpelle en ces termes : "Courbe doucement la tête (...) ; adore ce que tu as brûlé, brûle ce que tu as adoré ! " » D'après Grégoire de Tours, Histoire des Francs, VIe siècle. 1. Attaché à Dieu et à la religion. 2. Évêque de Reims. Questions : - Que symbolise l'usage de l'huile sainte ? - Que signifie la dernière phrase Par la suite, Clovis fait de nombreuses conquêtes qui agrandissent le royaume Franc. La bataille de Vouillé (507) « Le roi Clovis rencontra

fonction de la société (espace et temps) Il faut donc examiner le contexte qui forme le cadre ou les institutions naissent et évoluent. Pour comprendre une institution il faut comprendre la société, cad les mentalités, les religions, les mouvements sociaux, l’économie … Obj : examiner l’ancienne société française, pour essayer de dégager les élèments important qui permettent de comprendre aujourd’hui les institutions.

monarchie anglaise est à la fois proche des monarchies continentales, et pour autant à ses spécificités qu'on ne peut lui retirer. Tous les attributs royaux, se retrouvent en elle (toute-puissance de la personne royale, elle a ses juristes qui lui ont conféré une ascendance divine, elle possède un protocole, une étiquette, et plusieurs symboles royaux...) Pour autant, son histoire, depuis la chute de l'empire romain dans laquelle elle prend ses racines, jusqu'à maintenant, peut légitimement se considérer

© La découverte de l'Antiquité: le rapport au passé est un rapport construit par chacune des époque historique. Par ex, au M-A, l'antiquité est apparut comme un repoussoir, ce n'est pas un modèle, on se construit en partie contre, contre la religion politique. Mais en même temps, certain monastère recopie certaines œuvres de l'antiquité. C'est à partir de la renaissance, 15é,16e que l'antiquité devient une valeur, équilibre architecturale, valorisation de l'antiquité. Ainsi que dans l'humanisme

ne survivent pas au-delà de 15 ans. Pierre Goubert a dit : «  sous l’Ancien Régime, il fallait deux enfants pour faire un adulte.  » Cette réalité, on la constate dans les registres mais aussi dans les généalogies royales (les enfants royaux mourraient aussi jeunes). Au total, il y a une forte natalité et une diminution de la mortalité. Cela suffit à provoquer un gonflement de la population. Vers les années 1540, la population française a rattrapée sa démographie du début du

pourquoi lui?…) D’autres lois viendront s’ajouter à ces règles fondamentales. Section 1 : Les règles traditionnelles de dévolution de la couronne Elles remontent au moyen âge et elles appliquent de faire la distinction entre le roi et la fonction royale. La première règle c’est l’hérédité de la couronne. La couronne de France n’est pas élective (on n’élit pas le roi). Elle est héréditaire, c’est au 14e siècle que la règle c’est définitivement fixé sous le nom de « loi salique » : la couronne se

régularité de son travail, par ses levers et couchers publics, il marque la ressemblance, imprimée dans la pierre. Partout le décor de Versailles mêle les représentations et les attributs du dieu : lauriers, lyre, trépied aux portraits et aux emblèmes royaux. Louis XIV réside au centre du château : au premier étage ou trois appartements lui sont réservé. A la cour, il impose l’étiquette, règles auxquelles doit se soumettre la noblesse Louis XIV rejette Paris, la capitale, pour aller vivre a Versailles

l’antiquité, la conception chrétienne effectue une distinction entre d’un côté le pouvoir spirituel de l’église et la religion (domaine des âmes) et de l’autre coté le pouvoir temporel de l’état et la politique s’occupant du domaine des choses matérielles des hommes. Cette distinction était une idée absolument nouvelle pour les populations de l’antiquité car dans les cités antiques la religion était un élément essentiel de la vie politique. Selon la pensée païenne de l’antiquité tout citoyen se devait