Sacre québécois

siècle, le sacre pouvait avoir lieu à Saint-Denis ou à Sens, bien que l'on préférat déjà Reims, où Clovis avait été baptisé. Par la suite, tous les rois sont sacrés à Reims, sauf Louis VI, sacré à Orléans, et Henri IV, à Chartres. Les villes des sacres sont toutes d'importants centre religieux : Saint Denis abrite une prestigieuse abbaye ; Reims, Sens, Orléans et Chartres disposent d'une cathédrale. Ce sont également des villes liées aux rois de France par leur histoire. Le rituel du sacre fut fixé

moines du monastère de Saint-Alban. A cette occasion, on récita une prière implorant Dieu de protéger la pureté des mains de son serviteur. De même, lors de leurs couronnements, les rois de France recevaient une paire de gants blancs. Les mains sacrées du roi ne devaient pas être salies au contact d’objets impurs. Après la cérémonie, les gants étaient brûlés afin d’empêcher toute utilisation postérieure par un profane. Les gants offrent donc à la fois une protection matérielle et spirituelle

Bref, maire du Palis, membre de l'aristocratie, qui fait enfermer le dernier roi Mérovingien, Childéric III dans un monastère et le fait tonsurer (mort civile). Pépin le Bref a obtenu le soutien de l'église et de l'aristocratie par l'élection et le sacre qui est nécessaire pour apporter une légitimité à un pouvoir usurpé.

doctrine ou de l’éthique chrétienne, aux dépens des autres. \ Constitution de groupes dissidents par rapport aux courants et aux institutions majoritaires. SACRE : Cérémonie religieuse pour le couronnement d’un souverain, des rois, des empereurs. En France le cérémonial du sacre est inauguré avec celui de Pépin et de ses deux fils en 751. Le sacre du roi est considéré comme la confirmation de son droit divin et comme sa promotion au dessus au dessus de la hiérarchie féodale.

PHILOSOPHIE LA RELIGION Le fait religieux est universel . Le divin n'est pas dans toutes les religions . Deux points communs : La séparation entre le sacré et le profane la présence de rite . Prosélyte = faire des adeptes ( religion chrétienne et musulmane ) Le sacré peut être positif ou négatif . La religion opère 2 liens : 1 verticale ( visible et invisible ) 1 horizontale ( gens de même croyances ) Les religions monothéistes ont des caractères communs = 1 Dieu créateur

relatives à des choses sacrées, c’est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent. Le second élément qui prend ainsi place dans notre définition n’est pas moins essentiel que le premier ; car, en montrant que l’idée de religion est inséparable de l’idée d’Église, il fait pressentir que la religion doit être une chose éminemment collective. Roger CAILLOIS, L’Homme et le Sacré, I. Toute conception

théologique puis utilitaire des jardins domine des jardins de l’Antiquité à ceux de l’occident médiéval Au moyen age, les jardins emplissaient plusieurs fonctions et pouvaient être de nature différentes, sacré ou utile, il avait alors une grande fonction symbolique. Le jardin est alors le point de chute du sacré au moyen age dans les différentes sortes de jardins. A) Le jardin, symbole du paradis et du jardin d’Eden, Référence fondamentale de la culture occidentale, le jardin d’Eden se présente sous une

(colonisation). 2. le sacré et le profane Les premières sociétés s'organisent à partir de la séparation de deux domaines : le sacré et le profane. sacré : ce qui relève du divin, de l'invisible. La délimitation d'un espace réservé, sacré (lieux, dates, objets, valeurs ..) est pour l’homme un moyen de reconstituer une permanence, perdue dans le devenir, la dispersion, la condition mortelle. C'est aussi un moyen de se concilier l'au-delà ou l'invisible. (idée de sacré // idée d'origine, idée

avec « au creux » Champ lexical de la violence : « opiniâtrement », « doigt curieux », « s’y coupent », s’y cassent les ongles ». « le perle » est l’enfant, le fruit de l’amour du poète et de l’huître. Donc : l’huître mêle sacré et profane, âme et corps. Symbole de la création poétique Le poète comme créateur Plaisir et douleur de la création La poésie est un plaisir et une épreuve qui ne porte que rarement ses fruits « parfois très rarement

Auteur • Signaler ce document • • • • Sommaire • Article précédent • Article suivant [pic]Texte intégral 1 Tel Michel Leiris qui disait sa fascination pour les spectacles sportifs et soulignait leur  dimension sacrée, Philippe Gaboriau veut nous faire partager ici les émotions toujours vivantes qu'il a connues dans la culture populaire de son enfance, mais sans être dupe et en y apportant, selon le mot de Richard Hoggart qu'il reprend,  « une attention oblique »