Sacre

détruit l’Irminsul (arbre sacré dont branches soutienne voûte céleste). - 782 : révolte de Widukind → répression : - déplacements de populations. - massacres de prisonniers. - baptêmes forcés. - menaces de mort. B – Une nouvelle géographique du sacré. La dilatation

moralisatrice. Le phénomène du sacré  Le sacré est «une force mystérieuse, fascinante et redoutable, d’une puissance inexplicable et incommensurable et qui demeure au-delà de notre emprise et de notre pouvoir.» C’est une manière spirituelle de voir le monde, l’univers, l’environnement sociale, car c’est en grande parti une expérience affective et émotionnel. On peut la définir par «l’intuition vive d’une sorte de présence mystérieuse». De plus, ce qui est sacré peut être représenté en images

nouveau. Dans l’instant du contact avec ce sentiment obscur qu’est la mort, la mienne, celle de l’autre, jaillit une puissance mystérieuse, celle de la vie poussée comme un cri. Cette expérience, qui me fascine autant qu’elle m’angoisse, c’est celle du sacré. Me perdre alors, glisser, m’extasier, sortir de moi, me déchirer pour m’ouvrir à l’autre, éclater de rire, fondre en larmes. Selon Bataille, c’est sur cette recherche fondamentale et universelle de l’intimité perdue que se fonde le phénomène religieux

religions de M. Eliade, concernant le mythe et le sacré quand il décrit l’origine du monde pour parler du récit des origines de l’institution. Les mythes sont dans la répétition, parle d’un moment merveilleux et le fondateur est présenté comme un « héros ». Il cite Eliade pour terminer cette partie sur la fonction du mythe « les mythes ne peuvent être indifféremment récités n’importe où, ou n’importe quand, mais la plupart du temps dans « laps de temps sacré » »(p 16). Les récits sur la fondation originelle

religieux dans la sphère privée. Le père lui-même représente une entité intouchable et personne ne peut échapper à cette sacralisation de la société. La voix chraïbienne, tout en imitant la langue sacrée, désacralise celle-ci de façon frontale. Il se trouve ainsi dans un entre-deux : certes, il renie le sacré, ainsi qu’un certain Islam « historique », instrumentalisé par la langue de bois de l’époque, mais il croit en l’Islam primitif, celui de l’amour. Chraïbi, ayant subi l’acculturation, connaît le

politique parce qu’elle propose une explication de la place de l’homme dans le monde. L’homme religieux croit qu’il existe une réalité absolue… Le sacré. Les rites religieux jouent le rôle essentiel dans le comportement de l’homme et dans sa conception du monde ; lui institut l’ordre sacré, l’interdit et la vie sociale. Les rites permettent l’accès au sacré en délimitant un espace et un temps propres avec des propriétés spécifiques, hors de l’espace temps profane. Les religions sont différentes, avec

traditionnelle dont chapeau, chemise et pagne pour les hommes et grande robe colorée (kabas) pour les femmes.les festivités s'étendent sur trois semaines.la journée qui marque la fin des activités est couronnée par la course des pirogue et l'immersion du vase sacrée qui généralement contient le message des ancêtres. « Le ngondo est chaque année un rite initiatique et une fête chez les Sawa (Douala - Cameroun), mis en place pour constituer une instance de discussion, de justice et de paix entre peuples précédemment

pouvons les inspirer. Voici quelques-unes des croyances et des valeurs de la spiritualité autochtone. L’existence d’un Dieu unique, spirituel, tout-puissant, créateur du ciel et de la terre ; un Dieu d’une grande sagesse. Une conscience profonde du sacré. Tout venant de Dieu, tout a une sorte de souffle de Dieu, une âme. Un grand respect pour la nature et une sorte de relation très intime à la terre. Il y a un mot-clef pour comprendre la spiritualité autochtone et ce mot est celui de RELATION, peut-être

accepte son assujettissement ? L’autorité royale ainsi que la personne du roi sont sacré de part la volonté de Dieu (I) Au nom de la conscience morale et de la foi, le peuple doit obéissance et respect au roi. (II) I La sacralisation de l’autorité royale et de la personne des rois : « Craignez Dieu, honorez le roi ». A- : « L’autorité royale est sacrée » Ici parle t’on d’autorité royale, comme le symbolise la fameuse « Le roi est

quartier à l’autre, ou d’une zone géographique à l’autre (du profane au sacré, ou inversement). Ce passage s’accompagne de rites, puisqu’on passe d’un milieu à un autre. Il faut des «formalités » matérielles, pour entrer par exemple dans une zone sacrée, ou dans un édifice sacré. La porte est la limite entre le monde étranger et le monde domestique s’il s’agit d’une habitation ordinaire ; entre le monde profane et le monde sacré s’il s’agit d’un temple. « Passer le seuil » signifie s’agréger à un monde