Sacrement de mariage

(« Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne »). On voit que Dom Juan n’a aucune limite sociale et qu’il se moque des sacrements du mariage. On trouve aussi une périphrase (« épouseur à toute main ») qui déshumanise Dom Juan. Il apparait comme quelqu’un qui sacrifie tout à ses appels sexuels, il s’intéresse à toutes les femmes et pour parvenir à ses fins, bafoue le sacrement du mariage qui « ne coûte rien à contracter », dit-il.

désir : « les baisers » (l.1), « leurs caresses » (l.2), « ses gentillesses » (l.3), « le goût de ses lèvres » (l.3)… Or nous sortons juste du mariage et Duroy pense déjà à l'infidélité avec sa maîtresse Mme de Marelle. Il y a donc ici une subversion des valeurs religieuses. Puis, l'auteur pour insister sur le manque de respect de George vis-à-vis du sacrement religieux, décrit la sortie de l'Eglise avec une illumination comme si la fin de cette cérémonie était pour lui le début de la liberté : « Les

partir de 1640, il y eut la création d’une contre- réforme. Celle-ci trouva son origine dans la lutte que menait l’Eglise catholique contre l’Eglise protestante. Cette contre-réforme s’appuyait sur des organisations comme la Compagnie du Saint –Sacrement, qui on va le voir, allait avoir un rôle important dans l’interdiction de Tartuffe. Elle a eu aussi de l’influence dans les affaires de l’Etat. Mais sous des pressions fiscales grandissantes, des révoltes éclatèrent. Ce qui poussa, la régente

étaient persécutés par le gouvernement romain. Avec sa conversion, le christianisme est devenu une religion autorisée dans l’Empire romain (et est devenu plus tard la religion officielle), et l’église s’est liée au pouvoir du gouvernement romain. Ce mariage entre l’église et l’Etat a abouti à la formation de l’Eglise Catholique romaine, et a amené cette église, avec le temps, à raffiner sa doctrine et à développer sa structure . Les chrétiens étaient persécutés avant 313 car ils étaient monothéistes

EC1_2AJCI01_Le Monothéisme portante est le Je vous salue Marie, qu’on apprend en même temps que le Notre Père. 4.4 • Les sacrements • les sept sacrements de l’Églises catholique sont : les sacrements d’initiation (baptême, confirmation, eucharistie), les sacrements de guérison (pénitence, extrême-onction), les sacrements du service (mariage, sacrement de l’ordre). • le Baptême chrétien remplace la circoncision juive, comme rite d’entrée dans l’Église. Sa référence est le baptême de Jésus

(Pâques, Ascension, Assomption, Noël…) qui rythment l’année : outre des messes, elles donnent lieu à des repas ; (Mercredi des cendres : lendemain de mardi gras, et 1er jour du carême. Jour de pénitence. Se priver pendant 40 jours. Jeûne, pas de mariage, pas de grossesse. Cendre car rappelle que l’homme est de la poussière. Cela rappelle les 40jours que Jésus a passé à jeûner dans le désert. Dimanche de Pâques : résurrection du Christ, 3 jours après la Passion. Ascension : 40 jours après Pâques.

règles, des règles qui peuvent être superposées. Par exemple, le mariage religieux peut se superposé au mariage civil mais il n'a aucune force juridique, i-e qu'il n'est pas reconnu depuis la révolution française. Les règles religieuses et les règles juridiques peuvent s'opposer. Par exemple le droit civil admet le divorce mais le droit canonique (de l'église catholique) refuse le divorce puisqu'il a fait du mariage un sacrement ( sacrement= rituel institué par jésus pour donner la grâce soit signe visible

(comportant respectivement 5, 4, 7, 8 et 7 scènes) et en vers (1962 alexandrins) de Molière représentée pour la première fois au château de Versailles le 12 mai 1664. Molière écrivit cette pièce en réaction aux agissements de la Compagnie du Saint-Sacrement. Elle ne comportait alors que trois actes. Quoiqu'ayant plu au Roi, elle fut aussitôt interdite sous la pression des dévots qui accusaient Molière d'impiété et lui reprochaient de donner une mauvaise image de la dévotion et des croyants. Molière

des fêtes religieuses qui rythment aussi les travaux agricoles. La vie de chacun se déroule, de la naissance jusqu'à la mort, dans un cadre religieux : le sacrement du baptême, la mariage à l'église, l'enterrement dans le cimetière chrétien en sont les grandes étapes. Le clergé conseille les paroissiens, encadre les fidèles. Il impose le mariage et la confession des péchés au moins une fois l'an, il s'occupe aussi de l'enseignement, tout cela lui assure un contrôle efficace de la vie des fidèles

Le divorce dans le droit romain Selon Portalis, le mariage est « un engagement inviolable stipulé au profit de l’Etat, au profit de la société générale du genre humain ». Cela signifie que l’objet du mariage est non seulement de perpétuer l’espèce mais aussi d’agréger les individus dans la société. Ainsi, les rédacteurs du Code civil de 1804 voulaient rétablir l’ordre dans la société après la période révolutionnaire. Cette ambition d’améliorer les rapports entre les individus se réaliserait grâce