Sacrilège

d’Eschyle, on le disait très mauvais comédien. Il créée de 3eme acteur dans la comédie, ainsi que des Périactes. (Entre les episodes et les stacimons). Il elate aussi des faits de société et s’interesse entre autres aux actes de violence, des sacrilèges, et des rapports au pouvoir. Ce qui l’interesse principalement : les conflits entre les hommes et les dieux. Le chœur a donc moins d’importance, (grace au 3eme acteur). Il a écrit 123 pièces, mais seulement 7 ne nous sont parvenus. _Les trachiniennes

longues heures à discuter sur la littérature allemande. Mary Shelley eut alors l'idée d'un roman qui raconterait comme un homme, sans être Dieu, réussirait à créer un homme en utilisant une énergie quasi divine, l'électricité, considérée comme un sacrilège par les anciens, et aux conséquences terribles, d'où le sous-titre du roman «Le Prométhée moderne» qui fait allusion au Titan qui avait volé le feu sacré pour le donner aux hommes. Il faut préciser que l'époque est celle des débuts de la maîtrise

clairement son choix, c’est-à-dire que protéger son épée d’un éventuel ravisseur est plus important que sa propre vie. En l’occurrence, comme Durendal est un objet sacré, l’éventualité qu’elle se retrouve entre les mains d’un païen représente un sacrilège. Aussi, Roland emploie ses dernières paroles à louanger son épée : « Ah, Durendal, comme tu es belle et claire, et blanche! Et contre le soleil, comme tu luis et flamboies! […] Ah, Durendal, comme tu es belle et très sainte! » Les caractéristiques

rend compte alors de la gravité de ses agissements, puisqu’il se retrouve être l’auteur d’un crime qui vient sceller la perte irrémédiable d’un amour qui lui est cher au point d’assassiner son concurrent (vers 50 : Je deviens parricide, assassin, sacrilège). Désabusé de surcroît, Oreste tente de saisir la réaction d’Hermione, à présent située aux antipodes de ce qu’elle annonçait avant que l’irréparable ne soit commit (vers 20 : [...] ne m’avez-vous pas ; Vous-même, ici, tantôt, ordonné son trépas)

objet sacré est mis en correspondance avec toute une série de choses et d’idées appartenant au monde profane et naturel : «passé», «soleil», «souvenir» ; par la comparaison du souvenir de cette femme avec un ostensoir, le poète réalisa une synthèse sacrilège du sensuel et du spirituel. Le poète utilise surtout les expressions: “son, sa” et à la fin “ton, moi’’. La poésie abonde d’un lexique du mouvement: “venir, vibrant, tournent, valse, vertige, encensoir, frémit, vestige”, d’un lexique de la nature

retenait à la vie n'est plus », puis par une hyperbole et oxymore « le plus beau sang du monde ». De même, elle exprime, par la conjonction de coordination « mais », l'assouvissement d'une vengeance, celle d'avoir emporté avec elle les gardiens sacrilèges qui ont profané le sang de son aimé, dans un euphémisme « mon ombre s'envole Bien accompagner ». Après avoir avoué ses actions illégales tout en dévoilant ses intentions, Roxane s’insurge aux lois du sérailCommence alors le réquisitoire de Roxane

« quel étrange petit bonheur, doux comme un péché ou une boisson clandestine » qui ne peut se comprendre qu’en référence à la fin du texte (« sujet interdit dans la nuit ») et à la culpabilité que révèle l’ensemble du Livre de ma mère : n’est-ce pas sacrilège d’évoquer la figure sacrée de la mère morte ? n’est-ce pas un « péché de vie » (voir p. 141) de continuer à être heureux (notamment par l’écriture) malgré sa mort ? Les différentes alliances de mots mettent justement en lumière l’ambivalence du bonheur :

cauchemar. 3. La femme, souveraine diabolique Le pouvoir de la femme-vampire n’est pas que charnel : elle détient des savoirs mystérieux dont elle se vante (vers 5-6 : allitération en [s] et diérèses). Une puissance telle qu’elle aboutit au sacrilège (vers 15-16) souligné par l’hypallage (vers 15, ce sont en réalité les hommes "qui se pâment d'effroi") : dotée d’un savoir mortifère, la femme prend des allures sataniques. II. L’envers de la volupté : la mort A. Un poète affaibli ? 1.

moments y sont sans csq ( le profane) et d’autres dont les csq engagent une responsabilité telle qu’on sait pas ce qui va arriver (le sacré) - ex : le chasseur a l’habitude de tirer des biches ds la foret, mais si c’est une biche sacré, il commet un sacrilège et pour le réparer il faut faire un sacrifice (cf guerre de troie) - sacré religieux mais aussi sacré plus trivial (dinde de Thanksgiving, plus belle la vie) qui relevenr de l’archaisme - notre premier rapport au sacré releve du sommeil => le premier

valeurs morales : bravoure, sens de l'honneur, respect des femmes, de la religion, de la parole donnée. Or Dom Juan met en danger ce code social : il ne respecte pas les normes sociales, refusant par exemple la charité au Pauvre et l'obligeant au sacrilège. Il ne respecte pas les sacrements : ni le mariage ("c'est un épouseur à toutes mains"), ni les funérailles (scène du tombeau). Il ne respecte pas la parole donnée : à Donne Elvire, mais aussi à Monsieur Dimanche ! Enfin, il ne respecte