Sagesse Cynique

scientifique, rapproche entre raison et réel, question de la démonstration, question de la matière et l'esprit, interprétation (sciences humains, sociologie, psychologie, SES, anthropologie) la vérité qui va culminer, le philosophe aime la vérité et la sagesse, lorsque je pense quelque chose je le pense pas pour que ça me face plaisir mais parce que je dois le penser car c'est la vérité, même si celle-ci est douloureuse. Le philosophe affronte la question de la mort. La politique : l'art de vivre ensemble

ainsi on distingue les vertus théologales visant la divinité , la foi ,l’espérance ,la charité  , la croyance etc. ..; et les vertus morales visant plus particulièrement le comportement de l’Homme , la justice ,le courage , la prudence , la sagesse , l’honnêteté , la fidélité etc.…. ; par exemple pratiquer la prudence c'est prévoir ou l’on va se diriger pour emprunter le chemin le mieux orienté. La vertu spirituelle est donc bien différente des habituelles vertus naturelles : l’Homme est

vertus et leurs esprits, plus que les vertus et les esprits des hommes: mais qu'elle les a doüées de pareille vigueur et de pareille faculté à toute chose honeste et loüable. Voyons ce qu'en juge apres ces deux, le tiers chef du Triumvirat de la sagesse humaine et morale en ses Essais. Il luy semble, dit il, et si ne sçait pourquoy, qu'il se trouve rarement des femmes dignes de commander aux hommes. N'est ce pas les mettre en particulier à l'egale contrebalance des hommes, et confesser que s'il ne

Le sage représente l'homme bienheureux. Chaque homme, en réfléchissant aux condition de leur satisfaction, en choisissant de bons ou de mauvais désirs, engage le sens et la valeur de son existence. Selon Épicure, la sagesse peut être atteinte par le bonheur. Le bonheur pouvant être défini comme un état de satisfaction suprême qui constitue un état stable et durable. Le principe de l'éthique épicurienne est l'Eudémonisme. Cela consiste à placer dans le bonheur la fin ultime de la vie humaine. Épicure

L'Épicurisme est une école philosophique fondée à Athènes par Épicure en 306 av. J.-C. Elle entrait en concurrence avec l'autre grande pensée de l'époque, le stoïcisme, fondé en 301 av. J.-C.. L'épicurisme est axé sur la recherche d'un bonheur et d'une sagesse dont le but ultime est l'atteinte de l'ataraxie. C'est une doctrine matérialiste et atomiste. Son héritage a été revendiqué par le matérialisme moderne (Marx notamment[1]). Le but de l'épicurisme est d'arriver à un état de bonheur constant, une sérénité

quand je serais grand. J’ai répondu « heureuse », ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, j’ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie ». John Lennon. Tu m’aime ? Prouve le. Les paroles c’est bien mais les actes c’est mieux. La sagesse c’est quand on sera dans le trou les amis ! Parlons peu, parlons bien, parlons de chien, bref mon ex va bien. Genre tu me déteste mais tout ce que je fais t’interesse. Les jaloux sont comme les fous et les ivrognes, ils ne se rendent jamais compte

connaˆt nos aptitudes on sait ‡ peu pr…t quel m‚tier choisir pour le futur. La connaissance de soi pourrait donc amener ‡ la sagesse, elle donnerait sens ‡ la vie et permettrait d’atteindre la pl‚nitude. D‚s lors une question se pose : comment peut-on y acc‚der ? La connaissance de soi semblerait indispensable ‡ l’Homme car elle l’aiderait ‡ atteindre le bonheur, la sagesse et la pl‚nitude. Mais pour se connaˆtre il faut tout d’abord savoir que l’on existe : l’Homme a besoin de se voir en tant qu’…tre

a en charge l'éducation de son élève et il lui sert de référent. On remarque qu'il y a aussi une relation amicale qui se crée entre le maître et l'élève, des liens humains vont se tisser entre eux. Le Mentor incarne certaines valeurs, comme : la sagesse, la vertu et la raison. C'est dans ce chemin là qu'il veut emmener son élève. On retrouve donc dans ce personnage certaines valeurs humanistes et une éducation humaniste. Il s'agit de faire de ce personnage un homme accompli, d'élever un individu

humaniste. Il fut ses études à l’école normale supérieure de la rue d’Ulm où il fut l’ami de Louis Althusser (un philosophe devenu fou). Il propose une métaphysique matérialiste, une éthique humaniste et une spiritualité sans Dieu, présentée comme “une sagesse pour notre temps”. Selon certains il serait proche du bouddhisme, pour d’autres il serait comme « chrétien athée ». Mais lui se définit comme “athée fidèle” Il enseigna la philosophie, fit des conférences dans les universités mais après il s’est

l'homme à donner cours à sa légitime exigence de bonheur. N'est-ce pas là, d'ailleurs, le sens de l'eudémonisme rationaliste antique et classique, qui appelle les hommes à bien user de leur raison pour oeuvrer à la réalisation du double projet de la sagesse et de la justice, c'est-à-dire à la fondation d'une vie heureuse personnelle et collective ? Cependant notre imagination nous donne l’illusion qu’un certain nombre de choses est possible sans voir les moyens des réaliser ces désirs. Une inquiétude