Sahraoui

binationaux[239]. Le taux de migration est négatif (-0,33‰), car le taux d'émigration n'est qu'en partie compensé par l'immigration de populations venues des pays du sud. L'Algérie abrite notamment dans la région de Tindouf près de 165 000 réfugiés sahraouis[240] ayant fui le Sahara occidental en 1975. Les Algériens sont principalement berbère (amazigh). Il est probable que les Haratins aient disputés des territoires aux Berbères avant d'être totalement refoulés vers les oasis du Sahara algérien[241]

Mais cette autonomie concédée par l’homme d’Etat, dès lors qu’elle s’épanouit en dehors de la politique nationale, est parfois difficile à maitriser. Danielle Mitterrand, par exemple, en use largement. Si elle est empêchée de visité les réfugiés sahraouis, elle ne se prive pas d’autres interventions tout aussi dérangeantes pour la diplomatie française, qu’il n’est pas toujours possible de contrecarrer. Dans le magazine Elle, en juin 1989, elle se défend : « C’est vrai qu’en recevant le Dalaï-lama

Intérieur Brut PME : Petites et Moyennes Entreprises PMI : Petites et Moyennes Industries PNA : Plan National d’Action PNUD : Programme des Nations Unies pour le Développement PSRE : Programme de Soutien à la Relance Economique RASD : République Arabe Sahraouie Démocratique SIDA : Syndrome de l’Immunodéficience Acquise SMIG : Salaire Minimum Interprofessionnel Garanti SNAFAM : Stratégie Nationale de la Famille Algérienne SNMG : Salaire National Minimum Garanti SPRAR : System for the Protection of Asylum

dans un système qui se caractérise par la « superposition des structures, le chevauchement des attributions, la dilution des responsabilités et l'émiettement des efforts » 72 Conscient de ces difficultés, et résolu à mettre un terme au problème Sahraoui, le souverain marocain a lancé, dans son discours du 3 janvier 2010 les bases d'une régionalisation avancée, ou élargie, qui pourrait constituer les contours de la nouvelle organisation régionale marocaine. 2) Le processus de régionalisation élargie

 Les 7 pays non membres de l'ONU, reconnus par au moins un membre de l’ONU : - La République d'Abkhazie/La République de Géorgie. - La République d'Ossétie du Sud/ La République de Géorgie. 65 - Le Front du Polisario (« la République arabe sahraouie démocratique ») / Le Maroc. - La République du Kosovo/La République de Serbie. - La République turque de Chypre du Nord/La République de Chypre. - L'État de Palestine (observateur depuis 2012) / L’entité sioniste (« Israël ») Etat membre non

présumés voleurs sont d’autres manifestations de la charia imposée aux populations locales. Ces groupes sont aussi historiquement liés au trafic de drogue et à l’enlèvement de maliens et d’internationaux, comme des activistes solidaires avec le peuple sahraoui ou des diplomates algériens. Ils se sont fortement réarmés après que la chute de Khadafi en Lybie ait dispersé des armes lourdes dans la région. Un groupe de l’armée malienne a prétexté la faiblesse et la connivence du président Amadou Touré pour

Mauritanie dévoilent des intérêts divergents. La création du Front Polisario (Front populaire pour la libération de la Seguiet El-Hamra et du Rio de Oro), constitué de militants nationalistes, en mai 1973, et le déclenchement de la lutte armée des Sahraouis contre l'Espagne pour accéder à l'indépendance, n'empêche pas que, en 1974, le Maroc et la Mauritanie signent des accords secrets pour le partage du Sahara occidental. L'O.N.U., de son côté, vote pour un arbitrage par la Cour internationale de justice

l’Iran –, le golfe dit Arabe ou Persique, ou encore le Liban, dont l’existence est toujours refusée par la Syrie. Sur la terre africaine, s’ajoutent à cette liste les contentieux concernant le Sahara entre Marocains et Algériens, entre Marocains et Sahraouis, entre Libyens et Tchadiens… Les désaccords sur la détermination du plateau continental et la question de Chypre sont la reproduction des heurts interminables entre les nationalismes grec et turc. Il reste toujours évidemment le problème du conflit

OCCIDENTAL avril (K 2007, n° 4, 47900). 11. Le Maroc soumet au Secrétaire général des Nations Unies un plan d’autonomie pour le Sahara occidental. Le Front Polisario rejette et présente un plan alternatif fondé sur l’autodétermination du peuple sahraoui (LM 13/04/07). 18. Ban Ki-moon souligne dans son dernier rapport « qu’il n’existe que deux possibilités : soit une prolongation indéfinie de l’impasse, soit des négociations sans conditions préalables entre les parties, qui auraient pour objectif

la réalisation de ces objectifs. En 1984 avait déjà eu lieu une tentative de fusion maroco-libyenne à la suite du traité d'Oujda75 pour compenser le retrait du Maroc des instances de l'OUA (à la suite de la reconnaissance officielle du mouvement sahraoui par l'organisation panafricaine). Mais cette union binationale échoue en 1986 à la suite de la visite du Premier ministre israélien Shimon Peres à Ifrane et au bombardement de la Libye par les États-Unis (opération El Dorado Canyon), proches alliés