Salinité

évaluation : Le matériel biologique est alors évalué selon les critères agronomiques, biologiques et /ou économiques retenues tel que : Le rendement en matière sèche, Le taux de protéines, La précocité, La valorisation de l’eau et La tolérance à la salinité Sélection génétique : Le sélectionneur doit choisir le type de variétés qui lui assure le progrès génétique maximum. L’amélioration des espèces fourragères est estimée par la quantité de biomasse récoltable et son rendement de transformation en

dans les sols acides et dans les terres trop sèches. Ce dernier point est lié aux exigences hydriques de l’espèce ; la culture réussi dès lors beaucoup mieux en Algérie dans les sols argileux, à bonne capacité de rétention. PH: 6 à 7 Salinité : 1,92 à 3,2 g / l   3 à 5 mmhos / cm -1   c) Exigences hydriques Sur le littoral algérois, les apports sont de 1000 à 1500 m3/ha pour les primeurs, de 2000 à 2500 m3/ha en saison et arrière saison. 7. Zones de production Primeur : Alger, Blida

211) Depuis les années 1960, la mer d'Aral a perdu la moitié de sa surface, les ¾ de son volume, il y a un assèchement d'une mer fermée qui devient un désert salé. Les eaux de la mer d'Aral sont polluées par les engrais, les pesticides et sa salinité a augmenté. Ces modifications ont des conséquences sur la faune et des conséquences socio économiques : toute l'activité de la région qui était orientée sur la pêche a disparu. Quelles sont les cause de ce déséquilibre ? C'est l'irrigation du

échasses, ou rhizophores, de certains palétuviers leur permettent de s’ancrer dans la vase et de résister au flux et reflux des marées 7 La teneur en éléments fins de des sols est très variable avec un pH très acide, souvent inférieur à 4 et une salinité également très variable. En fait, le milieu étant largement inondé d'une eau saumâtre, sujette aux légères variations de la marée, est favorable à la constitution d'un sol particulier, correspondant à ce que les géographes appellent « slikké »

mesures sont applicables à un très grand nombre de paramètres physiques: -Mécaniques: longueur, vitesse, débit, pression,… -Electriques: tension, intensité, puissance… -Thermiques: température, résistance thermique… -Chimiques: PH, concentration, salinité… Unités: chaque intensité de la grandeur à mesurer doit être accompagner de l’unité fondamentale correspondante. L’incertitude: Le résultat de la mesure x d’une grandeur X ne peut pas être défini par un seul nombre. Il faut le caractériser par un

* Quantité/stocks et flux : en tout 1,4 millions de km3 au monde. Océans 97%, Glace 2% (énorme!), eaux souterraines 0,6% (pas entièrement accessible, si >800m de prof on a pas technologie ni argent). Lacs salés et mers intérieures ont degré de salinité des eaux de sfc élevé pê à cause de surexploitation humaine. 7.10-7% dans rivières et fleuves (assure les besoins des populations). Capital eau/hab est énorme (=contenu de la boîte) mais revenu/hab (=ce qui sort de boîte) est 22m3/jour/hab (=flux

maritimes et des accès aux ports maritimes sauf celles qui sont à l'amont du front de salinité dans les estuaires de la Seine, de la Loire et de la Gironde ; -les eaux côtières du rivage de la mer jusqu'à la limite extérieure de la mer territoriale ; -les eaux de transition des cours d'eau à l'aval du front de salinité ; -les eaux de transition des canaux et étangs littoraux salés ou saumâtres. Le front de salinité est la limite à laquelle, pour un débit du cours d'eau équivalant au débit de référence

insectes ravageurs des cultures, et de tolérance à certains herbicides. En outre, le génie génétique ouvre de nouvelles possibilités, jusqu’alors peu exploitées, en termes d’adaptation des plantes à des conditions extrêmes telles que la sécheresse, la salinité, le froid ou les maladies (résistance au doryphore de la pomme de terre, par exemple). Arguments contre la production d' OGM: http://www.ogmdangers.org/action/communique/com_09_05_06.htm AG 1: Des rendements faibles: Le seul gain de rendement

partie du compartiment planctonique. Elles passent toute leur vie en pleine eau. Le poids de leur corps est composé de 98 % d'eau et de 2 % de matières sèches6 (contre 63 % d'eau pour le corps humain)7, cette composition variant en fonction de la salinité du milieu. Ainsi Aurelia aurita contient de 95,3 à 95,8 % d'eau en Méditerranée, 97,9 % dans la mer du Nord et 98,2 % en mer Baltique8. Leur masse gélatineuse a une densité d’eau voisine de celle de l’eau de mer, ce qui explique que la majorité

concentration du sel on expérimenta le procédé de la graduation à Rosières et à Dieuze : ce fut l'occasion d'une querelle qui aboutit à l'abandon du procédé. D'ailleurs, la saline de Rosières fermait en 1760 en raison entre autres de la baisse du taux de salinité. A partir de 1756, la Ferme lorraine s'orienta vers la production du "gros sel" plus pur et obtenu par cuisson lente. (Cf. les informations recueillies dans la chronologie en fin de partie. Concernant le XVIIIe siècle, les documents sur les salines